200 H I S T O I R E IV. P a r t ie ;
rement abandonnées aux caufes ordinaires.
Grâces à Dieu nous n’ avons pas befoin de
glaces pour nous conferver des hauteurs; de
plus douces caufes les garantiront, *
L e t t r e XXXIII. d e l a T E R R E. io i
LETTRE XXXIII.
Continuation du même fu je t — Exem -
pies de Montagnes arrivées à un état
fixe dans les grandes Chaînes ----- In tervention
de l ’Homme par la cu ltu
r e , pour conjerver aux Môn-
tâgnes la plus grande partie de
! ce qui s-1 échapperait par les
T o rren s .
L a u s a n n e , le 9 Février 1776.
M A D A M E
fe Cabinet où je m’occupe de l’Hiftoire de
la Terre n’ell pas un- de ceux où l’imagination
feule infpire ; c’eft pour moi l’ obfervatoire le
plus inftruétif. Tandis que je décris les Montagnes,
j’ai fous mes yeux les effets qu?y opèrent
la Nature & les hommes: ce font elles
qui m’ ont rappellé mes ofafervations fur preste
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