„ ellé-même , &; qui fouirent partout fa con-
„ ftanee & fa dignité ? ”
Il y a en effet , dans ce fyftême, plus de eau-
fés vrainient confines & réellement agiffantes,
que n’en ©fit offert tous les autres : mais leurs
effets réels font bien différqns de céux qu’ il
imagine. C’eft ce que faurai l’honneur de
montrer à V. M. dans la fuite' de mes Lettres.
LET TRE XLVIII.
Formation des Montagnes Volcaniques. —
Qbjervations au Vefuve & à l’Etna.
K e W, le 1« Juillet 1776.
M A D A M E
I l n’ y aura point de disputé éfitre lA Z zÀ f e o
Mofeo & moi fur les faits fondamëfitâuS: de
fon fyftême : là Montagne nouvelles font
la bafe de ifes preuves ; ce fera ¿elle des mien*
nés, & d’après fon propre récit. Mais il én
conclut que tes fèu x fouterteins ont fouleVê les.
Montagnes; & j’èh conclurai au contraire qu'ils
n e les Ofit pas foulevêes. Cette oppdfition fin*
gulière rendra peut-être mes discufiions plus
intéreiïantcs 4 V o t r e M a j e s t é .