tieipée, pour le PJiilofophe. Car nous trouverons
ici des traces frappantes de cette bonté
qui fût la première caufe de l’exiftence de l’Univers,
& de cette prévoyance, qui, dans l’enchaînement
des effets phyfiques, a préparé
aux Etres fenfibles une fuite continuelle dé
nouveaux biens.
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L E T T R E XXIX.
Continuation du même examen — ■ Travail
des Torrens pour dispofer les Montagnes
à la fertilifation. ------ Intervention
de l’Homme.
L a u s a n n e , le 30 Janvier 17 75 .
M A D A M E
JL-^a fécondé caufe a&ive dans les Monta*
gnes que j’eus l’honneur d’expliquer à V. M.
dans ma Lettre précédente, ayant des effets
très compliqués, je crus devoir m’arrêter dans
leur expofition avant que les idées fe M e n t
trop entaffées.
Les Torrens ravagent pour ranïener un meilleur
ordre > voila ce que je me fuis engagé de
prouver. Nous avons des Montagnes trop
hautes pour la jouxffance : Pair y e f t trop fubtil,