riqne de tous, quant à l'hypothèfe fondamenta»'
le ; mais il eft le mieux eompofé &ç le plus con-
féquent; ce qui nous donnera lieu cPenvifagçr
l’Hiftoire de la Terre fous des faces qui ont été
trop négligées dans la plûpart des autres fyftê*
L E T T R E XLI.
Syftême de T e l l i a m i d* — Examen de
fe s preuves de diminution de la M e r ,
tirées de ce q u ife pqjfe fu r fe s bords*
L o u DR e s le 15 Avril 1775.
M A D A M E
C - / e n’ eft plus du fein des Montagnes que
j’ai l’honneur d’ écrire à V o t r e M a j e s t ï ê »
mais je n’ ai plus un ü grand befoin qu’ elîes
m’ infpirent; toutes les descriptions font venues
iucceiïïvement fe ranger à leur place, & je n’aurai
qu’à les rappeller, quand elles me feront
nécefîaires. Je vais donc, fuivant la permis*
fion que V. M. a daigné m’accorder, continuel:
à l’entretenir de la Terre, & des fyftêmes qu«
l’on a faits à fon fûjet.