
Kô t ou fo rte re sse .
Ré sidence de Belal.
Donjon.
P la c e .
K e y s a ry ah .
5, 5, 5 Q u a rtie r d u R ifey ah .
6, 6, 6, 6 Q u a rtie rd uN a a th e r.
7 Mosquée.
8 Maison d ’Abou-Eysa.
fi TPïnorr»ftrev mérid io n ale?-
P o rte s e p te n trio n a le .
l i , i l , 11, i l A u tres p o rte s .
1 2 ,1 2 ,1 2 ,1 2 FOSSé.-
13 Colline e t v ieu x fo rt.
14 F o rt de Kh o teym.
15 A u tre co llin e iso lée e t fo rt.
CHAPITRE X I I I .
D’HOFHOUF A KATI F .
H a rd ly th e p la c e o f su c h a n tiq u ity
Or n o te , o f th e s e g r e a t m o n arc h ie s w e f in d ;
Only a fad in g v e rb a l m em o ry ;
An em p ty n am e in w r i t is le ft b e h in d .
( F l e t c h e r .)
La maison d’Abou-Eysa. — Caractère général des habitants de l’Hasa.'—
Leur aversion pour les Wahabites. — Le mouvement carmathe en
Arabie. — Histoire de l’Hasa. — Notre demeure à Hofhouf. — Description
de la ville. — Le Kôt. — Le Keysaryah. — Le Rifeyah.j4r,Le
Naathar. — Les fortifications d’Hofhouf. — Sources thermales. — Tremblement
de terre. — Végétation. -B Déclin de l’agriculture, de l’industrie
et du commerce. S Les Nabathéens. — Littérature de l’Hasa. '—>
Costumés et parures.fpp Parties de plaisir. — Notre genre de vie à Hofhouf.
— Conspiration anti-wahabite. ■—Espions nedjéens. — Une foire.
VS-. Mebarraz. — Le château. — Intérieur d’une maison. — Les jardins
et les champs de culture Omm-Sabaa. — Les eaux dé l’Hasa'. — Les
femmes d’Hofhouf. — La monnaie arabe. — Projets de voyage dans
l’Oman. B Départ d’Hofhouf.|f- Districts septentrionaux de l’Hasa.—
Le Djebel-Mushahhar. — Les Bédouins. — Les montagnes du K a tif.—
Un aqueduc. — Ville de Katif. — Le château. — La côte. — Le port. —
La marine de Feysul. — Le gouverneur de Katif. —; Le palais de Kar-
mout. — Ruines aux environs de Katif. ^ Un souper persan. — Les
Nedjéens à Katif. — Nous nous embarquons pour Moharrek.
Il était encore nuit noire. Un profond silence régnait dans
la rue et dans la maison devant laquelle nous venions de nous
arrêter. Nul autre que le maître du logis ne pouvait prendre
la liberté de se présenter à une pareille heure. Comme Abou-
Eysa n’était pas attendu, il lui fallut frapper longtemps à coups
redoublés pour se faire entendre ; enfin la voix joyeuse d’une