
peuplades lep uns se graissent, comtlie leS
Ilotten tots ; tandis que d’autres se tatouent
le , visage la. , poitrine et les bras;,. à la
manière; des Cafïrep*-. Cependant il est à
Remarquer que les couleurs qu’ empjoyeut
qeux-ci ne sont point les mêmes pour tbus ;,
que chacun les .siennes», selon que son
caprice l.e& lui fait préférer ; et <ju’ordinairement
il les -vyarie'Gbaque jour | ce qui
ren d ,, en . .quelque ; sorte, lest €Q-hnbitans,
d’une horde-.étrangers ;l’up-: l’autre , et
leur donne, l ’air : d’unp mascarade ; de car-
naval. ,'r. fJjy^Slâ ' bv* ou -
Depuis que Bans la horde de Klaas Bas-
ter j ’avpis; été b.lessé par un géranium épi-'1
n e u x , ■ j ’avois »soin , chaque, fois que. je
campois dans un, dieu nouveau , de .faire
arracher autour de moi tous ceux que j ’y
trouVois. Parmi ceux qu’on eut occasion de
détruire près du kraal de Ha-r ipay j ’en trêu-
yai une supèrbe espèce à très-longues,épi-i
nés, dont j ’ai apporté les dessins, et que
je publierai, par la suite en parlant;des,
plantes nouvelles que j ’ai rapportées de mes
voyages. ■ ieîSI •' eob
J’ai trouvé dans les mêmes environs deux
Pl.XI.