xviïj T a b l e
mariages & morts dans le bailliage
entier de Semur en Auxois, depuis
17 70 jufques & compris 17 74 *
p . 2 9 4 .. . • Autre Table des lieux
où il naît plus de filles que de
garçons dans le même bailliage de
Semur, 296 & 2 97.
T a b l e des naifiànces, mariages &
morts dans la ville de Vitteaux en
Bourgogne , depuis l’année 1770
jufques & compris l ’année 1 7 7 4 ,
p . 291.
T ab l e de la mortalité dans la ville
de Paris, comparée à la mortalité
dans les campagnes, jufqu’à vingt
lieues de diftance de cette ville,
j 03 & 304..........Réflexion fur
cette Table, ibid. & fu iv .. . Table
de comparailon de la mortalité
en France, & de la mortalité à
Londres, 306 Ù“fuiv.
T a b l i e r prétendu des Hottentotes.
Y o y e i H o t t e n t o t e s .
T a r t a r e s . Depuis que les RulTes
fe font établis dans toute l’étendue
de la Sibérie, & dans les contrées
adjacentes, il y a eu nombre de
mélanges entre lés Rufles & les
Tartares, & ces mélanges ont
prodigieufement changé la figure
Çt les moeurs de plufieurs de ces,
peuples, 4 8 5 . . . . Le type de la
race T artare, paroît fe trouver chez
les Calmouques, qui font les plus
jaidj de (ous Jes hommes, 487,
T e e f . Plante qui produit une graine
dont les Abyflms font du pain ;
manière de faire & cuire ce pain,
497.
T e r r e - d e - f eu. Defcription des
habitans de la Terre-de-feu, au-
delà du détroit de Magellan, .à la
pointe de l ’Amérique , 53 6 Ù1
j 3 7 ., . . . Température de cette
T erre, 537 «ÿ* 5 3 8.
T h e r m a l e s , eaux Thermales.
Voyei C h a l e u r des eaux Thermales.
T s u k t s c h i & C h e l A t i , noms
que l ’on a donnés aux habitans de
l ’extrémité orientale & feptentrio-
nale de l ’Afie ; cette terre s’étend
jufqu’au foixante-treizième degré,
& peut-être beaucoup au-delà vers
le pôle, 4 7 (j à f 4 7 7 .
T ü N G U S E S (les) parodient faire la
nuance entre les Samojedes & les
Tartares, 486 & 487.
V
. V A R 1 É T É S ( les ) dans l ’efpèce
humaine, dépendent entièrement
de l’influence du climat ; on doit
entendre par climat, non-feulement
la latitude, mais aufll la hauteur ou
la dépreffion des terres, leur voifi-
nage ou leur éloignement des mers,
leur fituation par rapport aux vents>
& fur-tout au vent d’Efl:, &c.
M J5I*
VÉRITÉ?.
D , E S M A T I È R „E ~S.
V é r i t é s . II y a.des vérités de
différens genres, des .certitudes de
différens ordres ; & des probabilités
, de différens degrés. Toutes les
vérités mathématiques, fe réduifent
à des vérités de définition, 47,
V i e , ce que c’eft que notre vie dans
la réalité, 4 14 & 41 5.
V i e v é g é t a t i v e de l ’oeuf & vie
végétative de la matrice dans les
ovipares & les vivipares. Voye^
( E u f .
VI' EILLESSE . Exemples de vieil—
lefîes extraordinaires, pages 405 &
fuivantes. . Confolation tirée de la
Nature pour la vieilleffe.. Lorfque
l ’âge eft complet,ji c ’êft - à - dire
quatre-vingts ans, la probabilité de
la vie demeure ftationnaire & fixe.
O n a toujours trois ans de vie
à efpérer légitimement, quelque
vieux qu’on foit, fi l’on fe porte
bien, 4 1 1 & fuivtintes.. Compa-
raifon des jouiflances de la vieilleffe
& de celles de la jeuneffe, 412. .
Confolation tirée de la morale pour
la vieilleflè , 4 1 3 .
V i e i l l e s s e . Exemple d’une
vieilleffe extraordinaire dans l’efpèce
du cheval, 408 fuivantes.
V o i x . C ’eft par l’expiration que
l ’homme forme fa voix , au lieu
que les animaux la forment par
l ’infpiration. . Obfervations qui
femblent le prouver, 447 Sa 448.
Supplément. Tome IV
V u e diftinéte& indiftintfte. Limites
de la vue diftincle lorfque les yeux
font inégaux en force , 41 q &
4 2 0 . Explication des phénomènes
• de la vue diftinéte & indiftinéte,
424-
Y
Y e u x . , Lorfque les yeux font
dirigés vers le même objet , &
qu’on le regarde des deux yeux
à la fois , fi tous deux font d’égale
force , l’objet paroît comme s’il
étoit éclairé de treize lumières
égales; au lieu qu’en ne le regardant
qu’avec un fetil oeil, ce même
objet, ne paroît que comme s’il
étoit éçlair.é de douze lumières,
. 418 & 4 19 .
Y e u x l o u c h e s . F ^ ^ S t r a -
B. I . S M E .
Y e u x l o u c h e s . Moyens de
redrefîèr les yeux louches , 430
& fuivantes. . le principal de ces
moyens eft de couvrir le bon oeil
pendant huit ou quinze jours, &
de faire agir le mauvais oeil, c’eft-
à-dire le plus foible, on lui verra
reprendre de la force par cet exercice
forcé, 431. Obfervations à
ce fujet, 43 2 dTfuivantes. Raifons
pourquoi les perfonnes louches
tournent le mauvais oeil du côté
du nez , 4 3 6 . Lorfque l ’inégalité
de force dans les yeux eft exceffive,
c