O
(E ue . Il n’exifte point d’oeuf dans
les femelles vivipares ; elles ont,
comme les mâles, une liqueur fé-
minale, contenue dans les corps
glanduleux, & cette liqueur fémi-
nale des femelles , contient comme
celle des mâles une infinité de molécules
organiques vivantes , 330
& 3 31 . «. . . Vie végétative de
l ’oeuf, & vie végétative de la matrice
dans les vivipares, 3 33 . . . .
Méprife & faux principes des
Anatomiftes, au fujet de la nature
de l’oeu f, 334.
O iseaux (les) font fufceptibles des
imprelfions muficales , 446.
O p in io n en général. L ’empire de
l’opinion n’e ft-il pas aflèz vafte
pour que chacun puifiè y habiter
en repos, 39.
O rigin e des molécules organiques,
365 & 36 6 .
O stiaqu es (les) diffèrent aujourd’hui
des anciens Oftiaques ; rai-
fons de cette différence, 485.
P
P A R I S . O n vieillit beaucoup plus
à Paris qu’à Londres , page 3 1 1 .
P A r i s , mortalité à Paris. Voyeç
Mo r t a l it é .
P à t a g o n . Defcription des Patagons,
par M. Commerfon, 511.
Par M. de Bougainville, 513 é f
5 14 ............. Par le Commodore
Byron, 31 3 & 5 1 6.. . . Difcuf-
fion au fujet de la grandeur des
Patagons, 5 1 y & fuiv antes. . La
différence de grandeur donnée par
les Voyageurs aux Patagons , ne
vient que de ce qu’ils n’ont pas
vu les mêmes hommes ni dans les
mêmes contrées ; & tout étant
bien comparé, il paroît certain que
depuis le vingt - deuxième degré
de latitude fud jufqu’au quarante-
cinquième, il exifte en effet une
race d’hommes plus haute & plus
puiffante qu’aucune autre dans
l’Univers, 525.
P a t a t i , nom que l’on a donné aux
habitans d’une terre encore peu
connue, entre le fleuve Jenifcé
& le golfe Linchidolin ; cette terre
du continent de l’Afie s’avance
jufqu’au foixante-treizième degré,
& peut - être beaucoup au - delà,
4 76 & 47 7-
P e a u , déforganifation de la peau
dans les Blafards , 5 3 5 ^ fuiv, .. .
Autres exemples de la déforganifation
de la peau, 570 & fu iv ....
Homme qui avoit la peau chargée
de piquans comme un porc-épic,
570 ir 3 7 1___Portrait & defcription
d’un enfant chargé de
taches furmonte'es de poil pareil à
cehii du veau & du chevreuil,
pages 571 év fuiv antes.
P é ch in ien s . Voyei Pygmées.
P e r t e é t G a i n . Dans tous les
jeu x , la perte cil toujours plus
grande que le gain ; elle eft infiniment
plus grande que le gain,
lorfqu’on halàrde tout fon bien;
elle eft plus grande d’une fixième
partie, lorfqu’on joue la moitié de
fon bien ; & quelque petite portion
de fa fortune qu’on hafarde au jeu,
il y a toujours plus de perte que
de gain, & c’eft par cette raifon
qui n’étoit pas même loupçonnée,
que l’on eft plus fenfible à la perte
qu’au gain , ,7 0 à “ 71 -
PESANTEUR; mefure de la pefan-
teur, 1 42 . . . . Pefanteur fpéci-
fique, 145.
P euple qui mange des fauterelles.
Voyei Sau te r e l le s .
P ié t é . Éloge de la piété, 15.
P O I D S du corps de l’homme, relativement
à fa grandeur, 396.
P O I D S (pécifique de la matière.
Voyei Ma t iè r e .
P o pu l a t io n à Paris,, (la) ne va
pas en augmentant autant qu’on
pourroit le penfer. Paris s’eft augmenté
pour la commodité & non
pas par néceflité, 2 8 1 ..........La
population du royaume de France
eft à peu-près de vingt-deux
millions d’habitaus;, 302.
P o pu l a t io n a Philadelphie. En
vingt-huit ans la population, fans
fecours étrangers, s’eft doublé à
Philadelphie dans l ’Amérique fep-
tentrionale, ' 530.
P o r t r a i t & defcription d’un
enfant chargé de taches lurmontées
de poil, pareil à celui du veau &
du chevreuil. Voye\[ PEAU.
P o r tr a it s & delcriptions d’une
N égreffe-blanehe & d’un Nègre-
pie-. Voye^ N è g r e - blanc &
N ègre- p ie .
P r o b a b i l i t é s . D e toutes les
probabilités morales polfibles, celle
qui affeéte le plus l’homme en
général, eft la crainte de la mort.
O n doit rapporter à cette mefure,
prife pour l’unité, la mefure des
autres craintes & de celle des elpé-
rances. . Évaluation de la probabilité
qui produit la crainte de la
mort, 56, . Toute probabilité qui
eft au-deffous de dix mille, ne
doit point nous affeéler, foit en
crainte, foit en efpérance, 57.
P r o b a b i l i t é de la v i e ,
tirée ’ des tables de mortalité , 1 5 2
& fuiv antes■ . . Pour un enfant qui
vient de naître, 158. . Pour un
enfant âgé d’un an, 163. . Pour
un enfant de deux ans d’âge, 169.
Pour un enfant de trois ans d’âge,
172. . Pour un enfant de quatre
ans d’âge,. 173. . Pour un enfant
b i j