éternelle des acteurs d’Homère fur
notre fcène théâtrale, démontre la
puilfance immortelle de ce premier
génie fur les idées de tous les
hommes, 43.
G enre humain. Le quart du genre
humain périt dans les premiers
onze mois de la vie ; le tiers du
genre humain périt clans les vingt-
trois premiers mois ; la moitié du
genre humain périt ayant l’âge de
huit ans & un mois ; les deux tiers
du genre humain périlfent avants
i ’âgp de trente-neuf ans ; les trois
quarts du genre humain périffent
avant: l ’âge de cinquante-un ans,
1 61 & 1 6 2 . Le quart des enfans
d-’up an périt avant l ’âge de cinq
ans révolus ; le tiers avant l ’âge
de dix ans, la moitié avant l ’âge
de trente-cinq ans ; les deux tiers
avant l’âge de cinquante-deux ans,
& les trois-quarts avant foixant,e-
un ans révolus, 168.
G é o m é t r i e (la) appliquée au
calcul des hafards, 95. . . . Prife
en elfë-même eft maintenant une
Science complète, 1,29...............
Toutes les. difficultés & queftions
de .Géqmétrie ne font pas réelles,
& ne dépendent; que des définitions.
&. des fupppfitipn.s qu’on, a
laites, Dcmonll ration de cette
vérité , 1 3 6 & fuivantes.
G e r b o is e - Voye{ Ka n gu r o s .
G e r m e s monftrueux préexiftans
imaginés par quelques Anatomiftes,
582.
G l a n d u l e u x , corps glanduleux.
Obferyatipns de M. Amb.roife
Bertrandi, fur les corps glanduleux
qui contiennent la liqueur fémi-
nale des femmes , 3 2 4 , . . . . Les
corps glanduleux commencent à
paroître dans le temps de la puberté
; leur végétation,. leur ac-r
croiffement, leur maturité & leur
oblitération, 3 2 6 ^ 3 2 7 .. Réflexions
fur les fondions des corps
glanduleux, & fur le travail continuel
des. tefticules des femelles ,
3 2 8 & fuivantes. . . . Comparaifon
des corps glanduleux des femelles,
vivipares avec la cicatricule de
l ’oeuf des femelles ovipares, 331.
G r o en l an d o is . Dèfcription des
Groënlandois, leurs coutumes &
leurs moeurs , 48 1 èT fuivantes... .
Les Groënlandois reïfemblent plus '
aux Kamtfchatkales qu’aux Lap-
pons, & les habitans de la côte
feptentrionale de l ’Amérique, vis-,
à-vis de Kamtfchatka, reffemblent
beaucoup auxKamtfchatkales,483.
H
£ T a b itAns des terres Auftrales.
Voyei A ustra les .
H abitans du pays de Boranda.
Voyei Bo r an d ien s .
Ha bitans de la nouvelle Zélande.
Voye{ Z é l a n d e .
Ha b i t ans de la nouvelle Zemble.
Voyei Z emb l i ens .
H a s ard. Par la notion même du
hafard, il eft évident qu’il n’y a
nulle liaifon, nulle dépendance
entre fes effets, & que par confé-
quent le paflè ne peut influer en
. rien fur l ’avenir, pages 6 1 & 62.
L e réfultat des expériences fur les
effets du-hafard, eff tout oppofé
au réfultat des expériences fur les
effets naturels, 64 & fuivantes.. .
Moyens de connoître la pente du
hafard, 66.
H é m i s p h è r e s . L ’hémifphère
auftral eft en général bien plus.froid
que l’hémifphère boréal; Raifons
de cette différence, 5 3 8 ^ 5 3 9 .
HIVERS. Les grands hivers augmentent
la mortalité. Démonftra-
tion de cette vérité-, 2,78.
H o l l a n d e , nouvelle Hollande ;
- defcriptipn.des. habitans de la nouvelle
Hollande, d’après le capitaine
Cook , j 5 2 ü “ fuivantes.
Ho l l a n d e , continent de la nouvelle
Hollande ; ce continent eft
plus étendu que celui de l ’Europe,
& il eft fitué fous un ciel encore
plus heureux ; mais on n’en cônnpît
que les côtes , 5 54 .
H o m è r e . Voye^ [ G é n i e
d ’ H o m è r e ,
Homme. Les limites: de la grandeur
du corps de 1 homme, y compris
les Géans & les Nains, s’étendent
depuis deux pieds & demi jufqu’à
huit pieds, 402. . Poids du corps
de- 1 homme ,' relativement à fa
grandeur, 3pd.
H omme. Chaleur que l ’homme &
les animaux peuvent, lupporter.
Voye^ C h a l eu r .
H o, m m e . Nourriture de l ’homme.
Voyei N o u r r itu r e .
Hommes d’une groffeur extraordinaire,;
quelques exemples à ce
fujet, 395 f r f uiv-
H o m m e s b l a f a r d s (les )
diffèrent de tous les autres hommes,
blancs, noirs, rouges & bafanés,
5 5 6 . Ces Blafards forment plutôt
des branches ftériles de dégénération,
qu’une tige ou vraie race dans
l’efpèce. humaine. . . Les Blafards
males font inhahiles à la génération,
tandis que leurs femelles Blafardes
peuvent produire avec les Nègres,
ibid. . Il paraît qu’il y a différentes
efpèces ou variétés dans les Blafards,
fuiyant les différais climats.’"'’'
H omme s gau ch ers (les) qui
naturellement , fe fervent de la main
gauche , de préférence, à la main
droite , pourraient bien avoir le
poumon gauche plus grand, &
compofé de plus, de lobes que le
poumon droit, 582.