y T a
A n c i e n n e t é d e l ’ o p i n i o n d e
l ’ e x i f t e n c e d e s P y g m é e s . Voyez
P ï G M É E S .
A n i m a u x (les) paroiffent a im e r l a
m u f i q u e . Voyez M U S I Q U E .
A r a b e s . Voyez B é d o u i n s .
A r a b e s . Defcription des Arabes &
de piufieurs de ieurs ufages , 487
gr Jiiiÿ..........Les A rabes iont tous
pafteurs & n’ont point de travail
luivi ; néanmoins ils foufïrent la
chaleur, !a faim & la foif mieux
que tous les autres hommes, 49 1 •
A r g e n t . Eftimation de la valeur
de l’argent. Dans le moral il ne
doit pas être ellimé par fa quantité,
mais par les avantages qui en ré-
fultent, 72, . . . Eftimation de la
valeur de l’argent pour le pauvre
& pour le riche, 7 3 . . . • La manière
dont les Mathématiciens ont
confidéré l ’argent lorfqu’ils ont
calculé les jeux de h a far ci, doitetre
reélifiée ; exemple à cet fujet, 74..
La quantité de l’argent, paffé de
certaines bornes, ne peut plus augmenter
le bonheur de l’homme,
8 1 . . . • Proportion de la valeur
dé l’argent , relativement aux
avantages qui en réfultent, 8 8,
gr fuivantes. . • E Avare & le
Mathématicien, efliment tous deux
l ’argent par fa quantité numérique,
correction de cette fauffe eftimation
, 8p.
B L E
A u s t r a l e s . Notice fur les terres
Auftrales, par Gonneville, 547"
Par Fernand de Quiros, 548.. • •
Par Abel Tafman, 5 4 p . . . . Par
le capitaine C o o k , ibid. d f fuiv.
A v e u g l e s . Voyez É g y p t i e n s
aveugles•
B
B a l a n c e s de t o u t e s efpèces,
145 ér fuivantes.
B a r b a r i e . Les femmes qui habitent
les villes de Barbarie font d un
blanc de marbre, qui tranche trop
avec le rouge v if de ieurs joues,
4P 3-
B a r b a r i n s ou B a r b e r i n s .
Difcuffion critique à ce fujet, 49 d.
B é d o u i n s . Les Arabes-Bédouins
ont confervé leur liberté & leurs
ufages anciens.. . Ils ont l’odorat
très-fin, ne veulent point habiter
dans les vills.. . • - Leurs moeurs,
leurs coutumes, &c. 48p.. . . Le
nombre de ces Arabes établis dans
le défert, peut monter à deux
millions, 49 °-
B l a f a r d s . Voyez H o m m e s -
B l a f a r d s .
B l é ergoté, page 3 37.
BORANDIENS, habitans du pays
de Boranda , maintenant appelé
Petrora. Difcuflions géographique
& critiques, 458 dr fuiv.
C a l m o u q u e s .
c
C a l m o u q u e s . Voy. T a r t à r e s .
C e r c l e . Voyez Q u a d r a t u r e
du Cercle.
C e r t i t u d e . Voyez V é r i t é s .
C e r t i t u d e s . La certitude phy-
fique, c 'e ft -à -d ir e , la certitude
de toutes la plus certaine, n’eft
néanmoins qu’une probabilité plus
grande qu’aucune autre probabilité,
page 48 .. . Différence dé la certitude
morale & de la certitude phy-
fique, 52. — Eftimation précife de
la certitude phyfique, 58.. . Eftimation
de la certitude morale, 54
Cf fuivantes. . La certitude morale
peut être regardée comme telle,
toutes les fois que la probabilité
eft au - deffus dè dix mille. . . .
Comparatfon de l’évaluation de la
certitude morale à la certitude phyfique,
5 8 èr fuivantes.
C h a l e u r . L ’homme peut foutènir
pendant quelque temps un degré
dë chaleur fort au - deffus de la
chaleur propre de fon corps, expérience
à ce fujet, 449 & fuivantes.
L ’homme éft plus capable que; la
plupart des animaux de notre c limat,
de fupporter un très-grand
degré de chaleur, 451.
C h a l e u r des eaux thermales. On
trouve dans lés eaüx thermales,
même les plus chaudes; des plantes,
Supplément. Tome IV.
des infeétes, & même des poiffons,
4 5 2 . . Exemple à ce fujet. Ibid,
C h e v a l , vieilleffe d’un Cheval. Voy.
V i e i l l e s s e .
C i c a t r i c u l e . On doit comparer
la cicatricule dans l’oeuf dés fèméilés
ovipares, aux corps glanduleux des
tefticules des femelles vivipares.. .
L ’oeuf n’eft qu’une matrice; différence
de cette matrice avec celle
des vivipares, 331 & 332.
C l i m a t s . C e q u e l ’o n d o i t e n t e n d r e
par climats, 5 y y.
C oN Noi ss an c e s . L ’expérience eft:
la bâfe de nos connoiffances , &
l’analogie en eft le premier inftru-
ment. . Toütes deux peuvent nous
donner des certitudes à péu'-près
égales, 5 1.
C o n t i n e n c e . La continenfcë forcée
produit quelquefois de grands
mauX , & particulièrement l’épi—
lepfie; exemple' frappant à ce'fujfet,
385 jufqu’à 3 9 1 . . . Effets de la
continence forcée dans les àninVâüX,
392 de fuivantes. . . . Elle lié fait
aucun mal dès qu’on a pâlie Pâ'ge
de cinquante-cinq ou foixâtttè ans,
393-
C O N T I N E N S,' L ’ancien & le
nouveau Continent font vràifem-
blablement contigus vers le nbrd,
du côté de l’A fre, 5 3 y.
C o n t i n e n t dé IL nouvelle Hollande;
Vofcz H o l l a n d e .
a