M esure u n iv e r se l l e & invariable
: c ’eft la longueur du pendule
qui bat les fécondés fous l’équateur,
1 3 1 . . Cette mefure devrait être
adoptée par tous les peuples, 132.
Mesures. Tout étant relation dans
l’Univers, tout eft dès-lofs fuf-
ceptiblé de mefures, 109.
M e s ur e s 'a r i t h m é t iq u e .s.
L ’application de ces mefures produit
toutes les difficultés dans les
fciences mathématiques. . Défaut
dans l’établiffement & la marche
de ces mefures arithmétiques, 11 o
é f fuivantes.
M esures g éom é tr iq u e s , 124.
Différence des mefurés, 13 0.
M o d e s t ie . Eloge de la modeftie,
14.
M o l é c u l e s o r g a n i q u e s , elles
pénètrent la matière brute, là travaillent,
la remuent dans toutes fes
dimenfions, & la font fervir de bafe
au tiffu de l’organifation, 338. •
Leur origine, 365 & 366.
M o n s t r e s fies) peuvent feréduire
en trois clafTes; la première elt
celle des mônflïes par excès ; la
fécondé des monftres par défaut ;
& la troifîème de ceux qui le font
par Je renverfement ou ïk fàuffe
pofition des. parties , 5 7 6 . . . .
Monftres qui ont-urtdôüble corps,
& forment deux perlbnnes. . . .
Exemple à cefojet, 578 eVfuiv..
Exemple remarquable d’un monftre
par défaut, 580. . Exemple d’un
moriftre par le renvérfement ou
fauffe pofition des parties, 581.
Mo r t a l it é . Raifon pourquoi la
mortalité paraît par les tables, avoir
été beaucoup plus grande à Paris,
pendâiit les années 1719 & 1720,
279 . . L/i mortalité moyenne de
Paris eft de dix - huit mille huit
cents pour chaque année, 280. On
doit multiplier par 3 5 ce nombre
18800 pour avoir le nombre des
vivans, ainfi Paris contient fix
cents cinquante - huit mifle per-
fonnes vivantes, 281 . . Les mois
de l’année dans lefquefs il meurt
le plus de monde " à Paris , font
Mars, Avril & Mat; & ceux pendant
lefquels il en meurt le moins,
font Juillet, Août & Septembre:
ainfi c ’efl: après l’hiver & au commencement
de la nouvelle faifon,
que les hotnmesy comme les plantes,
périffent en plus grand nombre,
‘ 28i.
M o u l e i n t é r i é u r . Puiffance d u
moule intérieur fur les molécules
organiques dans tous les êtres
organisés, 339.
M u l â t r e s .- Notices fur les
Mulâtres,. 505.
M u s i q u e . II d o i t y avoir du f t i l e
en mufique, chaque air doit être
fondé
fondé fur une idée relative à quelque
objet fenfible, & l ’union de
la mufique à la poëfie, ne peut
être parfaite qu’autant que le Poëte
& le Muficien conviendront d’avance,
de repréfenter la même idée,
l ’un par des mots, & l ’autre par
des fons , 3 2 . . Réflexions fur le
fyftème de l’harmonie de feu M.
Rameau , 441 & fuivantes. . . .
Plufieurs animaux paroiflènt aimer
la mufique, 445 . . . Les oifeaux
font très-fufceptibles des impref-
fions muficales, 4 4 6.
N
N a 1 N s. Exemple de plufieurs
Nahis, pages 400 & fuivantes.
N a i n s blancs de Madagafcar.
Voyeç Q uimos.
N aissance s. Les mois de l’année
dans lefquels il naît le plus d’enfans
à- Paris, font les mois de Janvier,
Février & Mars; & ceux pendant
lefquels il en naît le moins, font
Juin, Novembre & Décembre,
d’où l’on peut inférer que la chaleur
de l ’été contribue au fuccès de la
génération, 3 2 1 . . Les années où
il naît le plus d’enfans, font en
même temps celles où il meurt le
moins de monde, ibid.
N a is sa n c e s , mariages & morts.
Voyei Table des jiaiffances, mariages
& morts.
Supplément. Tome IV._
N aissance précoce à fix mois
onze jours après la conception,
372 & 373;
N a is sance t a r d iv e après treize
mois de groffeffe, 3 69 & fuiv.
N È G R E S . II n’y a point de Nègres
dans les terres élevées de l ’intérieur
de l’Afrique, 494 àX 49 J . . . .
Développement des caufes de la
couleur des Nègres, 502 & 503.
N È G R E S b la n c s . Portrait & defcrip-
tion exacte d’une Négreffe blanche,
J 59 & fuiv.. . . . Les Négreffes
blanches produifent avec les Nègres
noirs des enfans pies, 565.
N ègre- p ie . Portrait & defcription
d’un enfant nègre - pie, 5 66 Ù4
fuivantes.
N égresse noire. Exemple fingulier
d’une Négreflè noire devenue
blanche avec l’â g e , 575 & fuiv.
N o m b r e , définition du nombre1
Le dernier terme de la fuite natu-
relle des nombres n’exifte pas, &
on ne peut même le fuppofer fins
aller contre la définition du nombre
& contre la loi générale des fuites,
108.
N o u r r it u r e , différentes nourritures
des hommes, fuivant les
différens climats, 402 érfuiv.
N o u v e l l e Ho l l a n d e . Voyez
Ho l l a n d e .
N o u v e l l e Z é l a n d e . Voye^
Z é l a n d e .