I íi
i Hl
,3+0
1 7 0 6 . r e i t '
30. Mai
Maifon
i c c a m -
général.
g'
v i t a -à alk
N o u s fori
l e , mais
cheval ti
mauvais,
p a r t i e de
V O Y
•ral de Riebeek , m'ic
j la campagne avec lu
;s d e la ville en carofnous
montâmes enfuite à
rouvant les chemins fort
Nous traverfàmes i
e fes terres, avant que de
nous rendre à fa maifon de campagne,
qui n'étoit qu'à une lieue
& demie de Batavia. Je trouvai le
t e r r a i n , le plus proche de la v i l l e , de
ec de peti-
•ès-joli ef-
A G E S
dit q u ' i r employoit plus de 100
buffles à labourer fes terres & à d ' au
tres ufages. Nous retournâmes fu
I c f o i r à l a ville, le long de la ri
viere, où il y a plufieurs belles mai
fons de plaifance comme en notr
différentes couli
tes collines q u i fc
f e t . Toutes l e s t!
le Direfteur étoi
r i s , qu'on ne fat
q u ' o n coupe dar
un petit couteau.
Qt u:
très de Monf
:nt couvertes de
che point
> la faifon avec
Comme on le fens
d i ñ e r e n s , il elt mi
endroits pendant qu'
en d'autres. Il avo
me en des te
en d e certain;
eft tout vert
auffi fait plante
1 grand
lombr
d'arbres fruitiei
& d'au
b r e s , qui n'étoient pas encore parvenus
à l e u r p e r f e a i o n . Quant à if;
jiiaifon elle étoit finie, à la refervc
des écuries & de la cuifme, à quo
on travailloit tous les jours. Il m(
170S.
30. Mar
pais. Je
ble, outre
çoit à m'i:
que de pet
par tout 1
fort f a t i^
, étant encore alfez foique
la chaleur commcn.
icommodcr , aulli bier
éle-
-rps
Incommodité
di
l ' A u t a n .
rdieftii
,ie ialuta
ix auffi
qu'il y
de
de
p a ï s - l à , & que l'on y
•e. Je m'en trouvai
la venté , mais ce
plus f l i c h he
e u x ell qu'il
dormir , & qu'on ne
repofe guere plus de d.
heures par jour lor
attaqué. Il eft cepi
cile de s'en ñ i r e gu
mede elt pire que
qu'on s'expofe à de
dies en le faifant rei
n'amend.
)u trois
en eft
liez faq
u o r
dant :
; le
pas noi
l'il falloit toujou
nettes ; peut-êtr
mtribuoit auffi.
le mal , puis
grandes malaitrer.
Ma vue
p l u s , de forte
•s me fervir de
: que l'dge y
C h a p i t r e L X V I.
Maifom de plaifance aux environs ife Batavia. Moeurs ¿«Baliers.
Poivriers. Abondance de fmges. Habillement i/eiBalieres. Réjouijjances
au fujet de la ¡rife de Batavia.
Petit
s : ! : .
res d e Ml
Kattelciu
JÌ
•i'n7,qui ne m'
dant pas d e mi
Iques noi
vers la fi
ques amis, fi
SmmKafleka
•le;
'eaux accès de
du mois d ' ^ -
êchérent cepenidre,
avec quelde
Mon-
I I nous a t t e n d o i t,
à deux chevaux,
à une p e t i t e diftance d e la v i l l e , à
un lieu nommé iVellevrei, un peu
au delà de la petite fortereffe de
Noortwkk. Les domeftiques avoient
pris les devans jufques au
de garde de Monfieur Corà
3. quarts de lieue de là.
m bâtiment de bois quarte,
é d'une haie v i v e , lequel refguerite
élevée fur chaque p o i n t ed
c ô t é de la plaine. On y tient ordì
nairement une garde de 30. à 4c
foldats Europeans, commandés p:
Lieutenant ou un Enfeign.
Nous paffâmes à côté au nombi
d e y -
corps
mille
C ' e f t
éntou
femble affez à un f o r t.
t e z de
& de 1
longue
y en a-
& gari
grande
3. domeftiques , efcor-
5. ou 6. Indiens à cheval,
3. Baliers à p i e d , armés deBalici
p i q u e s , entre lefquelles il
it deux marbrées di
ies d'or par le b o u t , d'
propreté : les autres éto
rouges garnies d'argent. Ils ave
de plus un g„ ros ,p o i„g n a r d l a c e i n -
femblable aux Gansjaers des
-es. Ces Baliers-li font natifs
d'une
1 7 0 6
^i. Avril
d'une 11
& ont la
belliquei
ces quar
rit que
leurs
v e n t ,
t e pl
tha-J"'^'''
rcic duite
lidc-
C O R N E I L L E
à l'eft de -Java,
ion d ' ê t r e les plus
JUS les peuples de
limant mieux mou-
:r le pied devant
uffien voit-on foumettre
D E
, fituée
reputar
£ de ti
ers-là,;
,e lâche
;nnemis: A
4 0 . ou 5 0.
IS de 2 0 0.
en dérou-
Indiens de l'Ile de
L E B R U N ,
rer t utcs les provifi
cond e f t po
Ce fécond éta
falon , 8c deu
me de chaqui
:hambre qui d
.-vis de l'entr
faut
fait
, Ils ajoutent
& une fidélité
ivers leurs maît
pas les mal trait
cel
Ì t o ut
affi
. . m a i s ^ î"
•. Après avoi
eue de che
D dem 1
mies
cert;
, fui
m
min , nous parvi:
lins a fucre d'un
nommé Tanfianko ,
riviere de tfuhvan
mes, laquelle a 8.
large en quelques
plus de deux en d'à
dinâmcs dans une
f o n , qui avoit un
y demeurâmes jufque;
J ' y trouvai des papille
t é charmante, dont j'
vé une douzaine. No
i d r e les devans à
s avec nos chevai
r du tems, & leui
la riviere avant 1
us les fuivinies fi
p n
qu
n Chmms,
la grande
i des femà
10. toiles de
endroits & pas
.utres. Nous y
alfez jolie maibeau
j a r d i n , &
ues à 3. heures,
id'unebeau-
1 ai conferî
avions fait
los domefti-
! , pour ga-
'aire traver-
:lfou5 avec -
eftiques, S
;rt par le h;
, fe placen
ens Baliers
fuite. Cet
, e f t ento
it
3+t
is, & le fen
a i t r e d e l a m a i f o n .
; contient un beau
petites chaiiibres,
c o t é ; une grande
me fur la c o u r , vis-
& une autre au
!gcs pour les do-
1 7 0 S . ,
1 dell
ut,
les
dur
édifi
fer
N o
tire
fall
heu
chariot
:hâcun par
m bufle
fois da
at changer tr
r e , t a n t les chemin
& raboteux. Enfi
us à l'endroit où
'erfi
^ [ai fon
í e p l a i -
f j n c c de
Wt.Kiftdein.
rbre
:e après
impas:n
;ft-fit
une pointe av!
d ' o ù l'on voit
d'u
le he
n d e
. Elle
fc
le.
& fi
r la riviere, nt
petits Canots fi
à Sert.
îdeMc
lée fur
iere de deux côtez.
¡(femble affez à un
: tout l'édifice eft
ement joint c
1 bon fonderai
trois pieds au
auflée, pourc
î la pourritun
lurmis blanch
Cet édifice
dont le p
t mau.
nt par
fîme
la ti
vâme
, mai
Kaflt
ous di
DUS le
lits d.
iS lepench
.ois, pc
.utres bàtimc
lui fert de ci
:hambrcs poi
;ft le magazi
r i s , o ù i l y a a
bres pour de:
derrière ce n
, & ui
i de pl
irée d'i
devoir fi
dans cette cc
:u couvert , q
IX paifans, & (
.n'es 6i les
uitre côté
e. Lejard:
m à l'eft ,
pieds d
n bas
inftrii
a dan
e , qui ell q
ré d ' u n e balluftrad'
d e v e r d . Il y a d
is à c ô t é , d(
ifine, a deU!
t lesefclaves.
1 l'(
1 aller
I l . y :
le on
& di
lieu
ffidei
efclai
lagazin
, endroj
is une :
le hayi
,esi & l'onvc
, im grand po
it pour le bèta
grande baffecc
e vive,-à laqu
ne belle pori
, à droite ,
fert de retra
l'on met les i
nde
; po;
3 . p a r .
' des ba
i d e de
iièmedi
traverfe
dre à ui
viere. (
deux c£
dinaire.
Qt
le
eft à
i b l e ,& l
ô t é d e
le défi
, & a i
e tous c
3 6 . mai
, de l
prop;
fur u
v é d t
d e c i
conti
les fi
cher.
Cet
imphitl:
de b "
ifembl . ^
nt de pierre éledeffus
du rez bell
irches di'
liere de 14- ;
r e p o f c r j l a f e c o n -
fieges femblables
Iiiere; & la troidcfquelles
t^fi
c d
premi
0. au boni
t p e t i t pon
ifement qu
degrés on
I & dé
la maiente
de
:rs la riàfées
en
x
; trèspofi
le^
fon
& 1
re. Il y a I
rs la riviere
tvec des m
le gloríete i
i bout du
fale, où 1
ges
boi!
chei
ipproaieure
if.
, & en
;s d'en
:ft à deux
1er fert d
aux domeftiques, &
ment, & dont la vue
te. Il y en a une autre
re même, pofée fur d
l'on fe rend de l a p r éc
' p e t i t pont decommur
un joli appui , & ur
X X 3
on
it pour fe renli
eft fur la riit
u n appui des
e f c e M e p a r d l -
1 nord d e l a m a i -
;hes femblables,
le bord del'eau;
J i n , à l ' e f t , une
dîne ordinaire-
,uë eft charmanu
t r e fur la riviess
p i l i e r s , o ii
s d e n t e p a r un
iication,avec
i degré pour,
def.