D ’un vert-jaunâtre v if et brillant, 556. D ’un brun-jaunâtre
légèrement chatoyant, ibid. D ’un brun-verdâtre
si foncé qu’il en paraît noir; cette variété a la couleur et
lé chatoyant de l’acier brun, ibid. D ’un rouge foncé
en l’examinant à l’oe il n u , mais brillant, transparent et
d’une belle, couleur d’hyacinthe, lorsqu’on l’observe à
là loupe et au grand jour, p. 558. D ’un vert d’émeraude,
ibid. D ’un vert de p ré, d’un vert pâle et d’un vert foncé.
Ces grains de péridôts de divérses teintes sont mélangés
et réunis avec des grains de spath calcaire blancs,
et ne forment entre eux qu’uné masse adhérente, mais
granuleuse, page 55g. Péridôts granuleux décom posés,
passant à l’état de substance terreuse, jaunâtre, tendre
et douce au toucher, page 56o. Péridôts granuleux qui
ont éprouvé un degré d’altération, qui leur donne un
aspect de cire; on peut les couper avec un canif com m e
si c’était cette dernière substance, page 556. Les péri-
dots granuleux des volcans se trouvent généralement
dans tous, les volcans des deux hém isphères, lorsque
les feux souterrains ont atteint une certaine profondeur,
où il paraît qu’ils rencontrent une roche particulière
riche en péridôts granuleux, ce qui avait fait
dire à Fortis qu’il était persuadé qu’à une certaine profondeur
dans la terre il existait une enveloppe générale
de matière so lid e, rem plie de grains de péridôts, que
les volcans, m ettaient au jour , lorsqu’ils, pouvaient atteindre
cette enveloppe, p a g e ‘4go.
Cobalt, page 585. A rsenical, page 586, G ris, ibid. O xidé
n oir, ibid. R ouge-violet, ibid. A rgentifère, page 587.
Coquilles pétrifiées, sur le haut du Véron, qu de la
C roix-de-Fer, à 980 toises d’élévation, au m ilieu de la
pierre calcaire la plus d u re, trouvées par de Saussure,
page 61. Erreur du P. Degy à ce sujet, ibid.
— Id . A 1241 toises, dans les Alpes du Dauphiné, à
Chaillot-le-Viel, par M. deLamanon, page 63.
Id. Sur le haut du mont V entoux, à 1027 toises, par
M. G uérin, page 63.
-— Id. Sur le plateau de Ciolaiie, près de Barcelonette,
à plus de 1400 toises, par le m êm e, ibid.
Id. Sur' le Mont - Auroux, près de G ap, à j^oo
toises, par M. G uérin, ibid.
— Id. Au Potosi, à une très - grande hauteur non déterm
inée, mais désignée par Alonso-Barba, sur le
-passage qui conduit à Oronesta. Les coquilles y sont
très-abondantes et variées de genres et d’espèces, pages
65 et suiv.
— Id. A u Pérou, près de la mine de mercure de Huanca-
Velica, par don U lloa , page 64.
— Id. A u Pérou, à Micuipampa, à 1900 toises de
hauteur au-dessus du niveau de la m er, par M. de Hum-
b o ld t, page 65.
Id. Par le m êm e, à Huanca-Velica, à 2207 toises,
page 66.
Id. Par te m êm e, a Bogota, à 1400 toises, page 67.
Coquilles bivalves. La chaux qui sert aux constructions
dans la plus grande partie de la H ollande, se prépare'
à L eyd e, en générai avec une seule espèce de coquille
b ivalve, mactra salida, Linn. qu’on pêche
par pleines barques à Sq heyelling, près de La Haye.
Cette coquille, réunie en fam ille, form e des bancs
d une grande étendue, à une lieue environ en m er; ce
que 1 on en pêche n’est rien , comparativement à ce
qui&s’en forme .journellement, pages 54 et 56.
Cratères. Les cratères des volcans éteints ne sont pas,"S
beaucoup près, en aussi grand nombre que ceux des
volcans en activité, 407. Ceux que l’on trouve encore