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écailleux et cristallins, ou sous forme de marbre sal
in , page i64-
— 11 est très-souvent uni au m ic a , au ta lc , à l'amphibole,
au quartz, a i ’épidote, ibid.
— On le trouve interposé entre les granits, les schistes,
les quartz micacés, les porphyres, les roches magnésiennes,
page 167.
Calcédoines formées par infiltration dans plusieurs variétés
d é la v é s , page 5 4 2 .
— Au mont ï lé c la , dans une lave porphyritique recouverte
d’une croûte de calcédoine mamelonnée, p. 543.
— En gouttes lenticulaires et en gouttes demi-sphériques,
sur les tuffas* volcaniques du Pont-du-Château en A u vergne,
page 545.
— En gouttes limpides et brillantes comme le v e r r e ,
sur une lave poreuse rougeâtre, et sur une lave altérée
grisâtre, des environs de Francfort, sur le Mein- c’est
le muller glas des Allemands , page 547.
— Calcédoine analogue a la précédente, sur une lavé
rougeâtre altérée , du cratère de Mônt-Brul, en V iv a -
rais, page 548. Id. Au Vé su v e , ' 548.
— L a même, quelquefois couleur de p e r le , du Monta-
miata, dans le Siennois; Jiorite de Tompson, amialite
du professeur Santi, page 54q.
Id. A u cratère de l ’Astruni, à la solfatarre de Pouz-
zole • aux fumeroles de Monticeto, dans l ’ile d’ischia ;
page 55o.
— Voyez aussi au mot amygdaloïdes, page 5a8.
Calcédoines enhydres. Les anciens ont connu ces calcédoines
renfermant de l ’eau et de l ’a i r , et Pline les a
parfaitement décrites dans le livre X X X V I I , chapitre
11 , de son Histoire naturelle, page 536.
— Claudien les a célébrées en vers, page 53o.
On en trouve quelquefois de très-belle à Monte-
Tondo, à peu de distance de l ’église de la Madona-
del-Monte, près de Vicence, dans une lave compacte
altérée, page 531.
— On en trouve non loin de Montechio-Maggiore dans
le Vicentin; dans la lave , à Brendola, page 533.
— Sur le mont Main, dans le district d'Arzignano^
dans une lave en décomposition, ibid.
— Sur la montagne Volcanique de Montechio -Précal-
cino, et du côté de Bregenze, dans le Vicentin,
page 535.
•— Entre Marostica et Bassano, sur la montagne de
San-Fio ria n o , ibid.
— A Monte-Galda, dans le Vicentin, dans une lave altérée,
page 557.
Cérite. L’espèce de coquille dû genre cérite, qui se
trouvé en si grande abondance dans les pierres calcaires
des environs de Paris, parait se rapporter au cerithium
cerratum, qui vit dans la mer des Iles-des-Amis, et
qu’on trouve gravée dans le superbe ouvrage de Mar-
tyn, sur les coquilles de la mer du Sud, tome I ,
pl. XII, lettre G , page 27.
Chrome, 398. Son oxide fournit une très-belle couleur
verte pour la porcelaine, page 180. L ’émeraude lui
doit sa couleur, ibid. Son acide colore le spinelle en
rouge, ibid.
Chrysolithe granuleuse ( péridot) des volcans ; observations
sur cette substance minérale, page 552.
—■ Analyse despéridots granuleux à’unchel, de Tialsberg,
par M. Rlaproth, page 554* Péridbts granuleux d’un
vert-d’olive foncé, ibid. D’un vert-d’olive pâle un peu
jaunâtre , à grains vitreux demi-transparens, p. 555.
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