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K. ndople , sans examen sans doule, par M Gray „„
. c- p ,s, et sans avoh-non p,ns probabLne^t ;
a detaclic du genre Ervx de VVioIp.. i. »
P^rmh de Schneider pour J l \ t r \
I l iTsuUe nécessairement de ce nui vient d'être Hi,
'es Gong,jlophis et Clotklia do vtn ètt 's^^
p n n . e s et les espèees qu' i l s renferment r é i n t " ée dan l"
A u t f ; : : ; : " : ! : : : : ' : : ' ^ p«- et de » .^enne .ai»,
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Aux cotés de leur f e r ê l l ; , !
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a y a n t la forme d ' u n s,vie, • "« ' " b ' - e postérieur
carré„.e„t 4 sa p'aLie t Î n na' rL^t^L' teTf
de la tête Le. m,,.. . «ane, surles parties latérales
p l a c é e l t é r X m r - -
"asaleetdeux n X die „ 7 ; ' " " " ""f interÉRYCIDKS.
G. ÉRYX. 4^7
Taiiiôt il existe un sillon yulaire J^ien distinct, tantôt on
n'en aperçoit pas la moindre trace. La région sus-céplialique
serait recouverte d'écaillés d'un Lout à l'autre, sans la présence,
sur le bout du museau, d'une ou deux paires de
p'aques, c'est-à-dire de deux internasales, suivies ou non
suivies de deux fronto-nasales. Les pièces de l'écaillure des
Éryx sont petites, nombi-euses et, ou simplement tectifornies,
ou relevées d'une forte carène mèdio-longitudinale.
Les scutelles ventrales sont fort étroites et les souscaudales
entières.
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Les quatre espèces que nous rapportons au genre Eryx
ont été confondues en une seule, sous le nom de Toririx
Eryx, par M. Schlegel.
Rangées dans l'ordre où nous allons les décrire, elles constituent
une petite série, où l'on voit graduellement s'atténuer
les particularités cariictéristiques de la tribu des Erycides
; c'est-à-dire qu'à partir de la première espèce, qui
diffère le plus des Bolides, jusqu'à la dernière, qui a
beaucoup du port, de la physionomie des premiers genres
de ceux-ci, le museau devient de moins en moins cunéiforme
, en même temps que la queue s'amincit en arrière
et acquiert insensiblement plus de souplesse et d'étendue.
Des changements analogues s'opèrent dans la charpente céphalique
: de très-bombé, le front devient peu à peu tout à
fait plat, les mâchoires augmententlégèrenientde longueur;
l'inter-maxillaire perd par degrés quelques millimètres de sa
grande dilatation transversale ; les os nasaux se rétrécissent,
particulièrement en avant ; et les frontaux antérieurs prennent
à proportion plus de développement.
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