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4 l 8 PYTHONIENS HOLODONTES.
Jioa orhimlata. Id.,loc. cit., pag. 276.
1802. Coluber molurus. latr. Hist, rept., tona. 4, pag. 107,
fig. 1(1).
1802. Coluber hooeformis. Shaw, Gener. zoolog., vol. 5,
part. 2, pag. Ö11-515.
Coluber molurus. id., loc. cit. pag. 458, pl. 116 (d'après la
fjg. de Seb. citée plus haut).
1802. Pedda Poda. Beschst. de Laceped's naturgesch. amph.
vol. 5, pag, 72, 74, 76, pl. 7, fig. 1-2, pl. 8, fig. 1.
Bora. Id., loc. cit. pag. 79, pl. 8, fig. 2.
. 1805. Python bora. Daud. Hist. Rept. torn. 5, pag. 256.
Python tigris. Id., loc. cit. toni. 5, pag. 241-251, pl. 64,
flg. 1 : exclus, synon. fig. 1, pl. 16, tona. 2 de Saba {Python Sebai,
nobis).
Coluber molurus. Id., loc. cit., torn. 6, pag. 259-240.
Python ordinatus. Id., loc. cit., torn. 5, pag. 252.
1820. Python bora. Merr. Tent. syst, amph., pag. 89, n°2.
Python tigris. Id., loc. cit., n° S ; exclus, synon. fig. 7, pl.
19, torn. 1 de Seba; Colub. nexa, Laur. Colub. nepa Gmel.
(qui ne sont certainement pas de la famille des Pythoniens) (2).
Python ordinatus. Id. loc. cit. pag. 9o.
1821.^0« dnerm Schneid, klassif. Riesenschlang. Denkschrift,
akad. Wissenschaft. Münch., torn. 7, pag. 121.
Boa castanea.lû., loc. cit., pag. 121.
Boa albicans, loc. cit. pag. 121.
Boa orbiculata. Id., loc. cit. pag. f22.
Boa ordinata. Id., loc. cit., pag. 122.,
1825. Python... Blainv. Bullet, sociét.philom. (1825),pag. 49.
Ì826. Python tigris. Fitzing. Neue classif. Rept. pag. S4.
1827. Python tigris. F. Boié. Isis., torn. 20, p. 516.
(1) Il n'y a qu'une partie de l'article Coluber molurus de Latraille
qui se rapporte à notre Python molurus , c'est celle qui commence à
la huitième ligne de la page 107 et qui finit à la première ligne de
la page 108. Tout ce qui suit est relatif au Coluber guitatus de
Schlegel, ophidien de l'Amérique du Nord.
(2) Merrem a commis une erreur en rangeant dans son genre
Python, sous le nom de Python molurus, une espèce à'Homalopsis,
à laquelle il rapporte le serpent décrit par Schneider, Hist. Ampli.
Fase. U, pag. 279, et le Coluber Schneiderianus de Daudin.
PYTHONIDES. G. PYTHON. 4- 4l 9
1829. Le Python de la Sonde. Less., Voy. Ind. orient, ßellaug.,
zoolog. rept. pag. 516.
1830. Constrictor. {Pedda Poda Russ.). Wagl. Syst. amph.
pag. 168.
1831. Python. {Pedda Poda. Russ., Python tigris. Daud.).
Gray, Synops. Rept. pag. 97. in Cuvier's anim. Kingd. GriiT. Édit.
vol. 9.
Python { Boa orbiculata. Schneid.). Id., loe cit. p. 97.
1837. Python bivittatus Schleg. Ess. Physion. serp. Part,
génér. pag. 177, n® 1, et Part, descript, pag. 403, pl. 15, fig.
1-4 : Exclus. synon. Python bivittatus. Kuhl {Python Sebc6.¡
nobis); fig. 1, pl. 104, tom. 2 de Seba {Boa diviné loqua, nobis);
ílg. 1, pl. 27, tom. 2, fig. 2, pl. 99, tom. 2, de Seba; Cohiber
Sebce,(^me\inet Coluber speciosus.mmk-î {Python Seboe, nobis).
1840. Python bivittatus. Filipp. de Filipp. Catal. ragionai,
serp. Universit. Pav. Biblioth. ital. tom. 99, pag.
1842. Python, molurus Gray, Synops. Famil. Boidoe. (zoolog.
misceli, pag. 44) : exclus, synon. Python bivittatus., Kuhl.
{Python Seboe, nobis).
DESCRIPTION.
FORMES, Cette espèce et la suivante ont un caractère commun
qui les sépare nettement de leurs trois congénères décrites précédemment
: ce caractère , offert par les narines , consiste
en ce que celles-ci sont percées perpendiculairement au museau
, au lieu de l'être à peu près transversalement, d où il résulte
que leur orifice externe se trouve dirigé en liaut ou vers le
ciel et non de côté ou vers l'horizon, ainsi que cela s'observe
chez les Pythons de Séba, de Natal et Royal.
Le Python molure a la tète semblable à celle de ces derniers,
quant à la forme de son ensemble ; seulement elle est distinctement
plus déprimée, surtout dans la partie antérieure du
museau, qui est aussi plus large et plus arrondi.
Les grandes plaques symétriques qui existent à la face suscéphalique
sont : une paire d'inter-nasales, une paire de fronto
nasales, une paire de frontales antérieures, une paire de susoculaires
et une paire de frontales proprement dites, suivies
de plusieurs petites pariétales, la plupart irrégulières dans leur
figure et leur agencement. Les inter-nasales sont quadrangulaires
ou pentagones oblongues; les fronto-nasales, de près de
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