PLANCHES IrYIII ET LïX.
Peintures hiéroglyphiques de lu Raccoltci di Mendoza.
Ces planches servent à jeter quelque jour sur ce que nous avons dit plus haut
du rite- et."des moeurs des anciens Mexicains > Nous ne saurions nii'ètix faire
coùnoître le manuscrit intéressant connu sôus le nom de Ràpcolta di Mendoza
qu’en rapportant ici l’explication que M. de Palin en a donnée dans son ouvrage
sur Yétude des hiéroglyphes. Nous sommes loin de souscrire sanS exception
aux rappi'ochemens faits par cet auteur ingénieux ; mais nous pensons que c'est
une idée belle et féconde que de considérer-tous les peuples de la terre comme
appartenant à une même famille, et de reconnoître, dans-les* symboles. chinois ,
égyptiens, persans et américains, le.type d’un langage désignes qui est
commun, pour ainsi dire, à l’espèce entière, €t ‘qui est Je produit naturel des
facultés intellectuelles de .1 homme.;
« Lé recueil., conservé par Pu relias et Thévenot, présente, en trois parties,
la fondation de la cité et son accroissement par lés conquêtes de ses princes ;
son entretien par les tributs que payait les villes eimqui-ses. ses institutions,,
et h- 4« .^ SÉfc CJtCywBà(;.' ! ' *««». ¿¡aperçoit ' au premier coup
!ip- fondatrice de l'Empire,
■ ¿-iji icm nom marqués sur leur tête. Ils arrivent auprès
des objets qui forment les armoiries de la ville-de Mexico ; cette pierre
surmontée d’un figuier des Indes, sur lequel-est un aigle*,' rappelle l'aigle*
perché ..sur un arbre, et la coupe que le dieu Âstrociuton donna pour signes
de reconnoissapce du lied où Tyr3 devoil: être Bâtie. Une maison, une habitation
désigne la ville nouvel le: un bouclier avec des flèches, l’occupation à roùm
armée5. Les symboles auprès de deux autres maisons entourées de combattu us,
• P T 78. '
’ Pl. LTllI, fcg. I.
a Nobbcs, x l , y. 477^.
4 MonUm. d» Rosette, et Dbhob , Pl. cxxxni. ^
'» ïfjinsràu., 11, S, ia.