Peintures hiéroglyphiques :
Manuscrits du V a tican , P L .u n , i n , r o i et i x , p . 5 6 .8 g ; a o a - a t t .
de V é lé tr i, P l. xv , x x v ii e t x x x v n ,p . 8 9 - 10 1 ; 2 12 ; 2 3 5 -2 3 7 .
de Y ién n e , PI x e v i , x l v u et x l v i i i , p. 367-270.
de Dresde, Pl. x l v , p. a66.
de B e r lin , Pi. x i i , x x x v i, x x x vm et lv i i , p . 5 i- 5 6 ; a3 4 ; a 3 7 ; a8 3 .
de P ar is , P l. l v et l v i , p . 379-383.
de Mendoza, Pl. Lvm et u x , p. 284-291.
de Gemelli, Pl. x x x x i, p. 2 2 3 -a3 o.
B. P éruv iens2
Maison de l’Inca au Cañar, Pl. x v i i, x x et l x ï i , p. 10 7 - 1 10 ; i i 4- ï i 8 ; 293-295.
. Inga-Chungana, P l. x ix , p i 112 -1 14 .
Ruines du C a jlo , Pl. x x iv , p. 195=200.
Inti-guaicu, P l. x v n i , p. m - i i a .
C . Muyscas.
Calendrier, Pl. xi.iv, p. 243-265.
Têtes s c u lp té e s P l. lxvi , p . 297.
II. Sites.
A . P la te a u d u M e x iq u e .
Grande place .'de Mexico, P l. n i , p. 7-9.
Basaltes de Re g la , P l. x x n , p. 122-125.
Coffre de Perûte, Pl. x x x iv , pi 2 3 3 .
Volcan de Jorullo, Pl. xl i i i , p. 2427244*
Porphyres colonnaires du Jacal, Pl. lxv, p. 296.
Organos d’Actopan, P l. lxiv, p. 296.
: C . Montagnes d e l ’Am é r iq u e méridionale.
Silla de Caracas, P l. lxvhi , p. 298.
Volcans d’a ir de T u rb a co , Pl. x u , p. 23.9-241-
Cascade de Tequendama , Pl. v i , p . 19-23.
L a c de Guatavita-, Pl. lxvii, p. 297.
P ont naturel d’Icononzo, Pl. iv , p. g-i-3 .
Passage de Quindiu, Pl. v , p . i 3 - ig .
Cascade du R ió V in a g re , Pl. x x x , p. 220.
Chimborazo, Pl. x v i et x x v , p . 102 -10 7; 200-202.
Volcan de Co top ax i, P l. x , p. 4 I_4 7 *
Sommets pyramidaux d'R inissa, P l. x x xv , p. 2 3 3 .
Nevado du Co ra zon, Pl. li, p. 278.
Nevado de Cayambe, P l. x l i i , p. 24-i.
Volcan de Pichincha, P l. n x i, p.. 291.
Pont de cordages de P en ipe , Pl. x x xm , p. 2 3 o.
Poste de Jaen de Bracamoros, PL x x x i , p . 221 .
Radeau de Guay aquil, P l. lx i i i , p . 2q5.
J ’ai tâché dé donner la plus grande exactitude à la représentation
des objets qu’offrent ces gravures. Ceux qui s’occupent de la
partie pratique des arts savent combien il est difficile de surveiller
le grand nombre de Planches qui composent un Atlas pittoresque.
Si quelques-unes sont moins parfaites que les connoisseurs ne pourraient
le désirer, cette imperfection ne doit pas être attribuée aux
artistes chargés, sous mes y eux :J.»de l’exécution de mon ouvrage,
mais aux esquisses que j’ai faites sur les lieux dans des circonstances
souvent très-pénibles. Plusieurs paysages ont été coloriés, parce que,
dans ee genre de gravure, les neiges se détachent beaucoup mieux
sur le fond du ciel, et que. l ’imitation des peintures mexicaines rendoit
déjà indispensable le mélange de Planches coloriées et de Planches
tirées en noir. On a senti combien il est difficile de donner aux
premières cette vigueur de ton que nous admirons dans les Scènes
Orientales de M. Daniel.
Je me suis proposé, dans la description des monumens de l ’Amérique,
de tenir uni|uste milieu entre deux routés suivies par les savans qui
ont fait des recherches sur les monumens, les langues et les traditions
des peuples. L e s uns se livrant à des hypothèses brillantes mais fondées
sur des bases peu solides, ont tiré des résultats généraux d’un petit
nombre de faits isolés. Ils ont vu en Amérique des colonies chinoises et
égyptiennes; ils y ont reconnu des dialectes celtiques et l’alphabet
des Phéniciens. Tandis que nous ignorons si les Osques, les Goths ou
les Celtes sont dès peuples venus d’Asie, on a voulu prononcer
sur 1 origine de toutes les hordes du nouveau continent. D ’autres
savans ont accumulé des matériaux sans s’élever à aucune idée
générale, méthode stérile dans l’histoire des peuples comme dans les
différentes branches des sciences physiques. Puissé-je avoir été assez
heureux pour éviter les écarts que je viens de désigner! Un petit
nombre de nations, très-éloignées les unes des autres, les Étrusques,
les Égyptiens, les Tibétains et les Aztèques, offrent des analogies