en sur les points les plus éloignés dé la terré, clans la marche
uniforme- du langage des signes, une image du premier développement des
/acuités de l'homme. \ *
PLANCHES XLIX ET L.
Ruines de Miguillan ou Mitla, dans la province d’Oaxacaj p la n
et élévation.
A p r è s avoir décrit dans cet ouvrage tant de monumens barbares qui
n'offrent qu’un intérêt purement. .historique, j’éprouve quelque satisfaction
à fai re connoïti-e un édihia- wüHStruit par les Tzajpotèques, anciens habitons-
d’Oaxaca, et couvert d'omemens d’une élégance très - remarquable. Cet
édifice est désigné, dans lé pajs, sous le nom de Palais de Mitla.
•H est «tué au sud-est de la ville d'Oaxaca ou Guaxaca, à dix lieues dû'
distance, sur le chemin de Téhuantepec, dans un pays granitique. Mitla
n’est qu’une contraction du-mot Miguitlan, qui signifie, en tuexicam, Heu
d e cro:A'i>-Vî':<'?r ~ /.Ci; dà •; chal-liO j.K>i;ir
un site tellement sauvage s i lagnlwv ‘pu- cl apMs« fr »•oeil des orr
n'y entend presque» jaunus h? dès oiiseaux. Les Indiens T---;.y>o>.yques
. iv p c ü c iu c e * m i n e s I je a t ih m.i L u i v a , j - p u i s u r v eu faisant allusion rki%
excavation» qui ge au-dessous des murs chargés d'arabesques,
eu o c c a s io n de- parlé«! -de ce «inqnument dans mon Essai politique sur lé
royaume de la Nouvelle-bspagi iu *.
• D’après les traditions qui se sont-conservées, le but principal de ccm
cous tractions étoïfc de désigner l’endroit où reposoient les Cendres des prince*!
' tzapotèques. Le. souverain, à la mort d’un fils ou d’un frère, se' rèitwd;
dans une de ces habitations, qui sont placées au-deSsus des tombeaux, j3«:ù,r.-
s’y livrer à la douleur et à des cérémonies religieuses. D’autres prétende nS
-qu’une famille de prêtres, chargée des sacrifices expiatoires que l’on
pour les repos des-morts, v-ivoii; dans ce lieu solitaire.
Le plan 'du Palais a, levé par un architecte mexicain ti i s - u^tingiM .
1 T<*»: h P*g- »63-
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