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courrier du Pérou descend, pendant deux jours , à la nage, d’abord la-rivière de
Guanoabaraba ou Chamaya,^ ensuite celle des. Amazones, depuis Pomahuaca
et ingatambo j u s q u ’ à 'Tomependa. If enveloppe le peu d e lettres ~ dont ,¿1 est
charge tous les moi* . tantôt dans vm' rnoiit bnîr^ tantôt dan* une espèce de
caleçon appelé **<■'*/ .-quif hfe erc liirme de turlsm autoiir' de sa tête. Ce.
turban -renferme • aussi. le »>) and cotifeaia )• dont tout Jndien: ;p#l'
armémoins pour sa défense que qiour si. a travers les forêts,.
Le Rio de Chamaya h’èst pas hâiVigabl|:, à cause d’une inimité de péttfcft#
cascades : fai trouvé * sa chute tfë'cinq -cept <juaçante-deui mètres depuis le g;û*3-:
"de Pucara jusqu’à son embouchure dans'la rivièreydes Amazones, aù-dessa*«
du ViiiCige'dd* Gboros', sur la- petite distance de dix-huit lieues. Le courritai.
de Truxillo est rppeîévd#*** ' iv ps le courrier qui nage (el cateo que nada),
La Planche h*: ^présente tel que nqtfii l ’avons rencontré au village d*
Chamaya, au moment dp-se jeter à Peau» Pour se fàhgiter fùioins erp descendait
1» rivière, il embrasse u n tronc de Bombax ,oudOcnroma*( d é va lzu ) ,
qui sont des arbres d’un bois extrêmement léger, lorsqu’un banc dë* rocher
embarrasse le lit de da rivière, il prend terre au - dessus- de t& cascadë'f;
| . iorçtij -si •• i voit “plus de ds^g!». Il n'a
pas besoin'de prendre-dcs provisions avec Iftr, car il Jrouxè r dans
qu
».ut.«: indien. Les rivièrè
sus du Pongft de Mayasi, n’ont neuréüserrient
les sauvages1 Voyagent- elles presque toutes j
de crocodiles ; aussi h
manière du courrier péruvien.' Il est
ou qu’elleS soient mouillées, penda:
du gouverneur de Jaën. Après s êt
retourne pu par le Pixratno, <ie/
conduit aux. villages dé San. Felip
î que [•lier perde des hd
ut la traversée' d’ïngatàmbo. à là résidenfiji
re reposé quelques ; jours à Tpmepéndif ; •-*
Paretpn j ou .par, .le chemin aiireux qpii
gjriHv loot les forêts «ïtondtlÉÉl
, quinquina de la plus belle qualité.