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-, , migrations d’un peuple guerrier; des flèelies %ées d-’uné rite veirs J ¡i-rtr«'
des combats entre deux nations,. dont l’une est armée de boucliers , ét l’h i1.
Wfeie et sans moyens’ de defdnse. Il est probable que ces combats sont du
nombre de ceux oui oui eu-' Heu, au sixième siècle de notre ère, dans, 1*1
guerres des Aztèques contre les Otonutes ët d'mrtres peuple chasseurs ■■£$*
babitoient vers le nord et ver»Touesl de la tidlëe dé Mésico. Les figures placéia
- près de l ’hiéroglyphe calli} maison-, indiqueiit la fondation de quekj mr
villes; Les boucliers des Aztèquessont émés d'armoiries propres à chaq*«
tribu : ils ont de ces apptmdicfes/çii 'Mm _ et eh toile dè téotoh , destint«
amortir le coup des dards:, et que l ’on retrorite Siir quelques Vifees étrusqueir
Les figures sont disposee^dan# ui^:P|d|tfeèSyi'iiétrique : tua. pourroît être etoiiUii
de les voir agir «ta »fiffôf que de^ la droite;-mais ncisn
. h ¡w que souvent, les deiix
qîeibiiLjÿss mexicaines. comme dans qtielqu
PLANCH-R. XXXIX.