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 le mont Gardnér,  avec  ôrdrë'de -rèconnoître  toute  là  portion  de  
 Côté  qui,  du  pifed  de Cëttë montagne, $8*prolonge^df^iEst  |üs-  
 ■  qu’à  la  hautëUr  de  'fîlè  Pelée.  J è   'vais  indiquérsucd^ti^ement^és  
 •principaux  résultats-dé* $&>Hrois  ëxpéditiôrfsV 
 Pi. I te r , n.® 6 .  Sous le" rapport  de  la  géographie,  la-tâcfjbrle M. L.  F r e y c in e t   . 
 n’étoit  pias  la  moins  'difficile >-  et  cependant  ne  fut  pas'la  m|ÉB,s  
 de -sable  qui  eiicdinbrent  tout lefôhd  
 du  havre  de  la  Princës§M  ne  permettent  pas  aux  plus'Jfôibles. ém-  
 barcations^d’en  approcher ;  c est  à  pied  seulemen,f-qu^ët*dit  ]*&si  
 sffile  M   -Édife' \a£‘fravaii lèiaet', ' ’et -tfest  à  pied'que M.  FreycMtet,  
 fit  le*fe”iéri.  Pendant  plûsfefiïs  jotfrs  il  poursuivit  Ife  relèvemehs  de  
 pointe  en  pointe,  de  cap  en  cap  ;  il  ’fit  le  tour'dés  plus  petites  
 anses j  et  parvint  ainsi  à èfrtsteër  le  plan' du  ’haWëv  urtfe.për-  
 fecfion  qu’il  'tk   bien  rare  de  pouvoir |Érettre'rdahs,j:^^ss©fèei« dè  
 travaux  :  aussi  l e ‘sien  l’empôrte-t-il  de  beaucoup -M f^ lu ipîe s   
 Anglbfe, Arrêté,  sans  doute,  par  les  hauts-fonds-,'>y 4Â^ii?buvER  
 n’âvoit  pu,  à cfe qu’il parôît,  Ÿisitfervexacteïrieiît'’le  fond  du Wà-V-fe,  
 Ct . s’étoit  complètement''mépris  sur  siSl dimensions  principales'.  
 Dans  sa Carte,  en  effet,  il  ne  lùi  dôifflè  pas-trois  millesme  PEst  
 à  l’O uest,  tandis  qu’il  en  a  réellement  plus 'de  quatre”.  'D u  Nord  
 au Sud,  aucontraire,  Fédhéile  AnglôJsê  supposé *yn,èi’diriîbnirs%n  
 ‘de  plus  de  quatre milles,-  et dans"ce  dernier  seins dè ha’Vre .a moins  
 d?une lieue.  La carte de VAsigouver  ne présërité’d’âilIeUr^aucun  
 dé  Cël-détails  multipliés  dont  le  géographe  François  a  éhnèhi  [a  
 sienne. 
 :  Des  perfeCtiônnemens  analogues,  la  découverte'  d’une  rivière  
 assez  importante,  ont  été  le  fruit  de  la  misSiôri'  de  M.  F A c-rê  
 dans- le  havre  aüx  Huîtres ;  d’ùn  autre  côté ,  l’histoirè  de  rhommé  
 s’est-enrichie- sur  ce point de plusieurs  obervations nouvelles et' pré-  
 Cieu'^s :  sotB  fun  et  l’âütre  rapport ,•  il  convient  donc  d’insister  
 plus  particulièrement  sur  cètte  expédition. 
 Pi. 1 ur, b ,°  6.  •  -  L é  havre  aux  de- ta6i#*plus;'pétit  que  celui  dè la 
 Prl|i;t|efie  fo n  «ÿ'pénètre par un  chenal  tfès'-éféro’i t ,  etï qui: n’a guère  
 plfltPé  fi 2i'à-,Vx^pieds'd^ànf#0%‘^rée«basl^*L’intéri'eur  du  havre  
 en  a  daFànfage’ ;^mkrâil  eâè teflementHënCom'brëêde  hauts-fonds,  
 que j  pour  peu  qu’un 0^im'enÉ^î®tfâal chalsér  sur^sCs* ancres,  il  
 luifeeFétt1'  diiScîle’ '  eFwn^lèl'hoüeirien t  dadgfereüx.  D ’ejccdfe 
 lentes huîtres ^fècouveife's^peîne'dd'quêlques pièdfed’eauj pullulent  
 sulptès'bancs  de  'sablée ©b. d©vvâsè^^p^&li|?èfôtsven^^Ghèrent  tant  
 'qu’ils fe^ b u lu ren t.^ is è ' 10 |§f|l  d  -petit' îlot 
 sur  lequel  Vk^-^crvER  avbjir  fait-  seh^éF/di^ê%séSf.grkinesKütiles\  
 èii que,  poutr €0il^rai^oe<',bil> avoât  désigné  sous  le  nom  '4111e  du  
 ®I&^'i^es:êèffidant., iAbfil ompagnons  ne  
 troüvpfehtf ad c une  trace  de  plantes-Eùfèp'éeimes  ; .dïrinbmbrables  
 légions'  de  fgfÔ-sse# j d e  ur  parurent? é # e llà4ÿrmcipale>'cati&é  
 de  la  de&frÉfefeion > deiè'èfl^èènles utiddlÿ^ 
 ■ ^îDeïrièré  la po intëj$^i$jdèntalei! de‘ l’ent-réé dmhkvf eîés'f üh. grand  
 lagOn  d’eau  saÜM'itld^, qui'  communiqu&^à  la' me»  pa^dum  canal  
 •'tMÿâ>roit/,. ' et  dont  la  cafte  Anglblslline  nié-htre. au%ntve'st%<E  
 Plt^dOiin , et?àfF©àe'^ÿ||ofif it 'ùne'îgrandeïC!mboûehûrfeVqui,'paTui  
 ètfè cfelle' d’une  riê$4èfètompartante ;^îofafe^èmremontant .à quelquès  
 miiè^dabfs  l’intérieur',  M.  FAURE^plirVint ^“iàssùfeFqn^ci^nfé't&ît  
 qu’unfe' gfande^dM^é'-maYécagèJsèflÉ'iaife:'' die est? m'aFpfeaéê'sW  
 l a ’ÊffiSte-de  VÂNc;ôiu v e r  '  et  desâi'p^j^de  lami’èSieîmanière ' que  
 IfS-plifs pietits' ruisseaux de  cette'Cartiè^' ce. qù£ en  donne! une  idée  
 fai$&&n v 
 Toute  la‘-dôte  occidentale  du ' havrpfëtànt'^ainsi -fijfée','  notre  
 iftgénreur  se- dirigea Vëf-ÿ-d^Éfèfd.^ I]à% ?Se( pîésCntè  une  ouverture  
 dont on'ape'rçoit  à  peine  quelque  tracèi«sUr  laçart-e- A-hgloiSC',  et  
 ^ûi,  mieux  observée' par  nOuèijd mérifidît" cependant'  d’y-figurer  
 d unetmanîèVe  moins  dbsÇurè.  CettC^Speëê' 'd’entbouchure' '-èst^  
 aiîîsi  que  ndus  I’avdffs-dit,  à-peufprès  de 'là  lafgèùY.de  la  Seiné  
 a Paris ;  mais,  Obstruée  par  d’irihoïïfbr ablW b‘an est‘de  sable,‘ embarrassée  
 de  marécages''et  de Végétaux  sur  sës' b'oïd4iïèli'e 'est  difficile