
 
        
         
		»  et  quoiqu'il  ne  dise  pas  expressément  
 » qü e je   n’ai décetfvert aucune partie des  
 à  côtes  précédemment  inconnues ( i ôjy 
 » cependant la teneur de. son ChapitreXV  
 » porte  le lecteur à  croire  que  je  n’avpis  
 » rien fait qui pût me permettre de reyen-  
 » diquer  les^  prétentions  antérieures  des 
 »  Y»y-  lés  note*  (i)  et  (2). 
 pouvoit pas être, ne devoit même pas être  
 de  tracer l’itinéraire du  voyageur anglois.  
 PÉRON a dit tout ce qui était.conyenable  
 pour montrer:  qu’en  général  F linders  
 nous-avoit précédés  sur-une  partie  de  la  
 côte  dont  nous faisions  l’exploration  de  
 concert ;  il  a  indiqué  le point  oh~ tes  deux  
 expéditions  se  sont  rencontrées .* icela  seul 
 suffisoit;-et  son.pius  grand.tort,  à  mes 
 yeux,  a  été de. yquIag-cjonneK des détails  
 obtenus  d’une manière beaûcqqp trop vague, 
  pour avoir un suffisant degré d’exactitude  
 , même quand ils  n’auroient pas.été  
 communiqués par des.matelots.. Au reste,  
 je  suis  convaincu  que  PÉRON.a  écritxe  
 qu’il crpvoit être latérite^jepuis,asaumt,  
 du  mojns. ;qu’à  cp  sujet rieH’ai  
 entendu parler dans  le  sens où  il a, écrit.  ,  
 Quoi  qu’ii Gj®|* $pit-,. /<*• publie^iopk^itr,  
 voyage Me IfegNtyEps., voMà-l^véritabies,  
 pièces  du procès  :  elles  sont irrécusables ;  
 elles  lixent  les  droits  du  navigateur .anr  
 g la iij’comme la publication de nos travaux  
 géographiques fig&fieax  de  nptte expédition, 
   etj:«d.i  indépendamment  de* .toute  
 espèce  de  subterfuge.'Jci  les  allégations  
 légèrement  avancées  doiventVéyænouir;  
 la  vérité 4seuTe  reste, et 'VjentJ-e- montrpÉ  
 dans  tout  éclat. 
 ..  (no)  D’après',ce-  que -M.  FtÎNDERS  
 .  avoue 4lui-même  avoir  dit à  notre^Ëoin-  
 mandant *, et  dont  je véuxÉièlî supposer  
 un  instant  qu’un  compte  fîdèlè  ait  été  
 rendu  à.  PÉRÔNy  comment  eût - il1 ;çté  
 ■  possible à ce dernier d’indiquer‘les parties  
 dès  côtes  inconnues  que  XInvesû'gator  
 avoit expJbréesJ 
 » Ffânçbi^^Mji- 
 '  !> ifîépêùdant M.  P éron  fut  présent,  
 » par  Îeé suite, quand  jé :ha|ù!trai }aü  port  
 » JacRioh  tinë1  dê  mes  cartes  dé  Cette  
 » coté' ail Capitaine BAUDIN 
 M.étjmontrai  du domt Tes  limites  de  ses  
 5?.déc&nvertes jufeljn 
 » et depuis  ce  terme,  dés .titres plus  an4  
 mtèeni. établissant tnes dtoits  surl’ile.das  
 »  Kanguroos  et les  parties  qui  en  gisent  
 >? ï l l ’©we3ty  leà  ..©fficiers  du Géâgtaphe  
 w parlèreab  toujours  de  ces  déjaoüvertei  
 w comme appartenante Xlnyè&igàtoityiié$i 
 v '(r't)  ;Au  lieu  de  chercher  des  preuves  
 d’agression, même dans  le silence  de  l’auteur, 
   il:mè.setnble qu’on lie  doit  y  voir,  
 au contraire, qu’une preuve de l’ignorance  
 joà-étoit PÉRoN  du  détail  des opérations  
 de-FLiNDERS  sur  la  côte  du  Sud-Ouest  
 de,  la Nouvelle-Hollande. 
 é n’étois  pas  présent  à cette en-  
 Pèvtie/ét m’àffâmâis  eu  connaissance <fc  
 îa carte déni il  s’agit.  Cependant, d’après  
 les ptoprèv paroiés  dépÉiNOERS,  il  paroi  
 troit  qite'èëttë earté ne comprenoit pas  
 fôüfett'éiite  dû  Sud-rOdest  (   mté  o f nty  
 thafù S f tktsk éd ïï, dit-il/, mais  seulement  
 fa partié sur- îàejùfelfe  ÛA  Bau d in   «voit  
 êù  la 'priotîtê^^dé'éoavéï'tei'  Q r ,  pour  
 én  revenir  à  ce  qui  a  choqué  sur - tout  
 rien  sur  dette  carte  né  
 pouvoitprhu^r .que  sons, vaisseau  eût pénétré  
 qui non  derrière* les  îiep&aint-Pierre et  
 Saint- Frdyiço%S’, 
 jfâjæiÿRemaïquqïis encore que M. Flinders  
 ne  dit pas  a^pir montré .sur aucune  
 GartqjiJétendue>^des(fidéçpu.v.erte% s qui  lui  
 létoieiit propres,-., 
 ,  (fi'4)  PÉRON  lui-même  p’a  rien  écrit  
 qui  soit  en; opposition  avec  ce  fait.  le   
 Géographe  a  rencontré1  XInvestigator  en  
 un  certain  point désigne  :  l’un  et  l’autre  
 bâtiment.étéï'eht charges de  faire  l’exploration  
 des cMps inconnues du  Sud-Ouest  
 de  la  Nouvelle - Hollande ;  lè  Géographe  
 faisait r'oüte^de  PEst  k  l’Ouest ;  l ’inves-  
 tïgatoKitan  contraire,  alloit  de  l’Ouest'à  
 l’Est.  M., PÉRON  a  dit  cela  ou  l’équivalent  
 ;  les  cdhséquences  sont  naturelles  : 
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