
 
        
         
		que  tes. Loups  marins j  les .Veaux marins*,  les:  Lions  marins,, &c.  
 comptent  également  d'innombrables -trib'us ;dans  te s mer s j^ jlp i iis  
 reculées  des  deux  hémisphèresque' la Tortue-frMcheretde^^ist  
 lui-même  habitent  indifféremment  l’Océan  -atlantique,  la mérites  
 Indes \ et  le  grand O céan  équinoxial.,.  : '  c 
 -  Quand on ne consulterait  que  la  raison  et  l’analogie,  ;de-utiles 
 assertions  pourraient  p arbitre. douteuses  ;?len  rec^uranu à ^expérience, 
   elles  $e  troüvent  absolument fausses^ Qu’bn parcoure,,  eh  
 eifèt',  tous ,les monumens sur lesqueis repbsent;ces prétendues 'identités; 
   on  verra qu elles  n’existent réellement  que  noms-pet 
 quil n’est pas un  s^ l animal bien  connu jde l’hémisphèredioréal, .qüi  
 ne-soit spécifiquement  différent de'tout  autre  animal'également bien  
 connu de  l’Hémisphère opposé.  J’ai pris Ja p.éine d’établir; eèttê^com-  
 paraison  difficile  pour Jés^Etàpès^ypours  lçss  phoque^, -;&c. ;  j’ai  
 Ibmpulsé plusieurs  centaines de relations de-Yoyagqs*,  j’ai  rass^fible  
 toutes,les-descriptions  des  animaux  dont  il  s’agit;  et  j’ai  Tejeflnu  
 dimportantes’.différences-entre jes m'oins dissemblab'l-es?4fe -cèl pipes  
 supposés  d’espèce  identique. 
 -  Personrièqjlus  que moi,  j’ose Je  dire, n’a^Èeeuedlrud’animaux^ de 
 l’hémisphèref austral ;  je.les ai’ totfs observés’ et  décrits,  dieux ; 
 j’en  ai  rapporté  plusieurs'milliers'd’espèces  en  Eüropé;  elle^crrit  
 déposées  dans le- grand muséum déJ’Empiret:. que’ l’ôpcbmpare^ces  
 nombreux animaux  avec  ceux  -de  notre  hémispfit^d«?^ prq|$|$e  
 sera Lièntôt  résolu,  non-seulement' pourries  especes  d’unq\qrga~  
 nisatîbn plus  parfaite,  "mais  encore  pour  tputes  celles  qui  ^leit  
 beaucoup  plus,  simples.,  et  qui , .‘squs ne,  rapport,-  sembleraient  
 deyoir  être moins  variées  ’dans  la nature E qu’pn  examine^^né  
 dirai pas les Doris, les Aplysies, les Salpas, les Néréide^Jes Amp ht  
 nomes, ;et  cette  foule  de  mollusques  fet  de  vers,  pl>u%'CompqSés  
 qui  se  sont  successivement  offerts  à  notre  observation  ;  qu’on  
 descende  jusqu’aux  Holothuries,  aux* Açtiniegf',  aux  Méduses;  
 qu’on  sabaissemêrai.,  si  l’on  veut;;jusqu’à"ces^ Éponges; informes;» 
 que 
 que  tout  1 exmonde î( s^,.€c©|de' à^^eg^do^dêoteme  le  dernier  terme  
 dovte  degràdfltiqjjÊfeu  plut%ê- de^al^nîpff&i^  de  .l’organisation  
 animale ;7;,dan%Æ^t^^uItit5ude,'ha,u^jg,insi  dire effrayante d’animaux  
 an ta rc ti^ s  ^on  verra., qu’il  n’en  l l y p aséun  .quiAsk'fei-rrmv^  dans  
 le^|mers^b'pJ’jéj:le^|^t..dd^çet- exapaep bi|it||4jlé@bide.-igptte-. longue  
 igjlllde';« ç^éÊbp^aj^pnS'  ' §era^|fofce  de  conclure, 
 '* É q u e   j’ai  dûf«6peymoi-mq^M fit iil n'&® jiàiw* souk o{pèce  
 d’ignifqaux bien, .connue,  qui > ~vJpi}^Mcb^ppno/i{e J,soih  indisfinctem/pï  
 ppffpMi d-ifUtes île^kÿarms^du, WjÉÈÈmÊ  
 - I f  X  a  plus>  bt||pest  en  cela^sgitout  ,qupt‘br^tedl’inépuisable  
 vffiété  de  la  natto^.;-,quelque  impar^ft;£s^^^|^yiiaoxi,ppi4sent  
 être,  ils .:,pnt  rpç.ujvphacmn  -une  pa trie;■ *cfetin q b  ;à> ,çér|ains  
 parages  qu’iJs|sont fixé^c^^-à   qu-il^sk;t^oïijtqjatïpljlé nombreux-,  
 plus4grandst,et plus'beâux.  A^®a£^û-re\qu’^^^lpfgîi4i^V4é^^point,‘  
 les|feà^idus  dég^èr^ht,  e t | ( ^ ^   finir’p a J ÿÆ # r e .   Prensw-  
 pour.exgmple^ipjénorme  pr^^dÿ^pmrî^dont4’a jp a r t a n t  de  
 fc^sous le nom à’Hqliojis giganteaj^^)L ijexttém.ité du,gfobé%Ot§§t  
 GÉbÇ/des  flojs  polaire^,  q u e l^^ hqm p lait  là,qu’elle 
 a rrive^Ja  longî||{ur  de  15  » eeàtfpaiÆresk l f f pimjresï] f 
 là ^ p e ^ Æ lq è ^ b a n c s  préciei^Jtur  ksqutj^flrQmm&^pjt  
 ^^he^|h™iourri>ture abondante^Mllnhrè. .   .  À   peine nous,  
 sqîppe?  à  Maria,  nqp&^nnvpnsri&it, p^p^iij^id'ïi^fcvque  tra-5  
 yà|s.fr te  canal D entre casteaux, et  grand; çq quiijàgéa perdu 
 d e ^ s   d ^ n s ip i^ ^ à   iM^  King,  il  est  idnsjijterit  enèoreiçtcplus,  
 tare ; <|a  dégradation  devient  de, plus  en  pJu^sepsiMpl -Je mesure  
 JM <?n remonte  davantage vers  l^|e P è Ô ^ e t y j f s  IpsjîiMqséphine 
 dans  piisérabl^s^avortqns.de, qette.Ke^pègq  qui  vqgete^sur  lest' 
 rochers  de Ja  ,terrp  de,  ÎSjuyt§,  on  a  p,einé „.à  reponnoîtré.  le.; plus;  
 grand  coquillage^de  la  terre jdp Pjémçn,;;  gt 4|à'rdelà  dq  port  du  
 Roi:Geqrge,  pn  er\chercherait  eu>yam  la,trace. 
 U_çp  est  de, même  ppuSlJÆI Phasianelles.  nàg.Uqre  si  rares .e.f si  
 précieuses,.et que  npy,s:ayqns  rapportées ^nsi grand  nombre:  i’îlg 
 TOMg  if,  T