üsies ont imaginé de coudre les;animaux dans d^s- espèces de poéïiis
de toile ou de parchemin, et nbusry eùmês recours nous-mêiqes*;
mais une tmte expérieneè pous aRprit bientôt qu'une telle précaution
n’étoit propre qu’àéggraver fe mal.
II est des; animaux à fé g a rd desquels il convient d employés*
un aleboLassè^ fo^t, et quelquefois -meme pltesprit'de vin’purn' tels
sont entre autreslbs quadrupèdes /les granffe^ptilés', SÎc., \4
/ *4 ? Dans dès cas de ee?genre, nous sommes p a rv en^ à remplacer
fesprit de vm^qui nous manquoit, par Ia9dïtion du caibphre
à d’autres liquetp^spiritueu^és*. Pour-cela, ôpt^s prenions un v^rre
de tafia ordinaire, que nous faisions bouillir avec telle Quantité ,d^
camphre que ôou$ jugions nécessaire ï aussitôt qu’d étoit dissous,
.nous retirions le mélange de désspl^e et apres^^vqjry'feis^rè;
froiéfr tpieîqpfs fnstans , nous le wsion$ M^s/a liqqeifif d^#nW
a la conservation des animaux.
Cette dernière préparation est ^ur-tout pré^içjl^pfdans tppte^
les circonstances où, fon pëjut craindre,, enfem^fi^^t.^un alwdl
t§@p fo rt, d’altérer lescouleur^/et ou cppqndam n s’agit d .imm.tu\
difficiles à conserver. Nous ne croyeÉs.dopè^^^^^oir hésjter à le
Jtecommander aux zoologistes comme f un d e ssu s heureux Ks.u|tatS
de nos recherches : nous en ayons oBteiiü Sur-toüf de grands avantages
à l’égard des reptiles, qui, dan^Ss,climats c h a r s ont^suà-
ceptibles de se putréfier avec une promptitudefd ^ sg&aiite. T ’ad-
dition du campîire qft incontestablement un des meilleurs moyens
àùxqu,els oh puisse avoir recouïs pour àugmeritér la' vehiEprcs|rva-
tive des liqueurs alcooliques , sans ajouter àleur force aréométrîqüç.
Tfl est d’autfes moyens plus indirects, mais non moins effié^i^s'Mùe
nous àvôns imagines pour arriver àu même but,ét qui tiennenta^la
disposition des animaux dans les vases : nous allons successivement
les fimé coimôître. ,
Les mucosités dont il a été‘question, au lieu de sf répap^||.plus
ou moins librement dans I intérieur 4u yase quapd l’animal est en-
vèlo^p^fe stent^ ^^ a chcirjiSe ; et immédiatement appliquées à la
sütfaèe son corps, ^ ë | f | ’y4ed@gu;len.t ©t forment une espèce de
,veÉ$s n d^ p p^ ü i détriiit'to’âTC^^couleuafgl’animal, deveiiualors
sprtea^action de l’alcool, sous sa double
enveloppe ^ffë toile,'4î^ |^ â |^ e , nq tarderas à s© détruire. Il faut
^ É i r i malgré‘i’uutpi^té du préparateur
hab%;gui fè^ cpm m an d e jpoe j p r- ypyjigqvif$ à l ’article
d u df^Épiee' n ç t^ lle .
Il eno^td^pidihe ,de la str^tificàpian} jaquclle peut fix e simple ou
compose. Dans le çpr^ier/ip'àjgj, des' d i s s e s çpuches d’animaux se
s^ :<|®d€ÿnîï^ps’^ptermèdq^’aucune autpç,s$.Jj£f,ance ; ainsi, (<*■ & ar>-
cjM? ’ l ^ ^ 'ÇnSs^l^t.saçdinqfesopt dcp^ses'kanstléJyase« de verre
ou dq ijpl^, qui 4®C°pitieïi'pép|; ;* '.dan's^éLs^^pd ’ cM^àirl’j leS
H MMM to.ucI^ d’animaife|pr.ty-oq,yièn^ séparées par H lit de coton,
de laineM ^ crm,, d’etoup^pu de toute a^tnè|^||ance^ analogue.
C e ç îe r n fe r^ ^ S f ',, qüpiquë m o i n s q u e le premiei^a
^{j^jP^nt ^ûssj'fà plupart deSrfçpnvémens qui lui sojjLt propresPet
B n nou^mmra d’ipdiquer Ibsjù|u«|»e,quens.
.uoTbfcqse d’animauxoans ÿe memê vase’ tend tou-
jours^plusfoù m o g a %qn amener réitération, èt epre ^altdration est
si prompfpet sMàcJle alg^ple|^opperjdanJlès pàys chauds, que le
pl*s ^grand|emMrrafe” du pouvoir en'écartçp les'
s;®uroé|^ or, il n g ^ I .p o in t d|%lll? active nTde p jii;s 'fnhpsfi» qUQ
l’péfkssemenf des ^animaux dans un mèinè 'vase ; d suffit d’ailleurs
qu un seul, d entref*eui v|enne. à %e ■ dé.côrâi^d^ry pour enpalhçr la
perte ,de tQùs les atttroe. De quel exjjfes- d’împrude^Gfe ne-serOîfdonc.
pas coupable de naturaliste" q,uf osoroftypour la pjps grande partie de
s®W^JebtiÔps, empldyëf des'tônneaux4 e,do pintes, et lesrepipJir,
comme le recommande l’ouvrlgè^qdë je-viensîlfe .citer, de couches
afiernatrvll d’animaux et .d’etoupes^dç manière?’'quelles énormes
vases dont il s^g^feient aux déux tîeFs" remplis d’animaux sur un
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