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 exposés  dans • ee-ghapitre.. 
 Résuftâ^génêratix. 
 y4'i.°  De  la  différence  absolue - des  deux  races  d’h.onirpefqui  
 peuplent hwNôuyeJle-Hollande e t la terre  de Diémen,,  de  la  différence  
 aus^t des  principaux  animaux' qu'irvivent  sur  l’une  et;  l’autre  
 dè^ees-terres,  ainsi  que  de  la  non-existence  du  .chien,. sur„  la. dernière  
 „ pai  cru  devoir  conjecturer que la  séparation,de  ce|.;frégions  
 remonté à; une  époque  beaucoup  plus  ancienne  qu’on  ne  pourroit  
 le .soupçonner  d’abord  en  n’ayant  égard  qua ieu r  proximités  
 2.°  L ’exclusion de  tous',rapports  entre  le s ,peuples,de^ la  terre  
 de  Diémen  e t  ceux  de-la  Nouvelle  - Hollande ;  la;-couleur  plus  
 foncée  des  Diéménais-,  ieu^s ^eveux^çpj^ts^ laineux|et  crépus^  
 dans  un  pays-,beaucoup  plus-  froid  que  la  Nouvelle  --Hollande,  
 m’ont paru dei nouvelles preuves -de  l’imperfection de .no^.systèmes  
 sur  les  communications  des  peuple|| v leurs  transmigratie ns^  et  
 l’influence-des  climats .sur  l’homme. 
 /q.°  Des  observations de coquilles et  de  zoophytes .pétrifiés  que  
 j’ai  pu  faire  en  différens  lieux,,  à  diverses  hauteurs,, sur. la  terre  de  
 Dieibén^,-â  fc MouyefleJ-ïoilande et à Timoïk^’aji déduit l%vcq$sé-  
 quence  du  séjour  ancien  de  lammer sur.toute  cette partie deslmrres  
 Abstraies>  qui,  du^|^.fffegré de  latitude  Sud,  prolongentjpsr 
 qu’au 9.e, dans une Itendpis de plus de-ao.ôo milles du Sud au Nord ;  
 résultat  d’autant  plus  précieux,  que  ce tte . immense  région pesthit  
 Seule à  jcoimoître.sôus  ce  rapport. _ 
 4 “ Après avoir  donné  une  explication.aussi  simple  que .satisfaisante,. 
 ce me  semble ,  de  la formation  de. ces  incrustations  singulières  
 qu’on  trouve sur les-côtes du S. O .,  de l’Ouest et du N. O., .de  
 la Nouvelle-Hollande, j’enaiprisoccasiond’indiquercombien, dans  
 certains oas,  il  étoit  difficile  de  distinguer  des* coquilles altérées' de  
 cette  manière,  d’avec  celles  qui  sont  véritablement  fpssiles.  - 
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 f  5.  Dans!Èhés  Observations  Sur  lèszbophytëS  solides,  j’âi  cons-  
 ^ite-ffe^  exclusion  presque  absûhic-hJês Ip'àrTtÊÊ''les  plus  australes  
 de  1 bemiâpftèil^fl^ntarcfique  ;  jai  prouvé  que. çette  importante  
 familleWÊS'ài^oey.ux  tr^ vOif^éLe^^èmar  la  nature-au  milieu  
 deS vmers  pîds^Gflaù'c^^eï'P^is jp^isibiéè* dés  régions  équinoxiales,  
 et  clé è^lflpjqui’ ‘les’avoisinent. 
 y6.° N o ù s r à% |p ^   fétat  de  pétrifications‘, former 
   la  plupart  des  Mm  basses  du  grand  Océan  équinoxial,  et'  
 quelqu^s-qiie^^p|ps  hantas  çfe  cètté'même mer  et  de  celle  de,s 
 'I È Ê £  N 'o f ÿ jg  â v ^ s l r ê ^ é  dans 1%ât B B B B b I B  mers;i  
 de- dangers  nouveaux,*--multipliant  les Irécifsagrandissant  les  des  
 archipels/'encombrant  lès rades  et  les ports /fet  profetânt  de  
 tqUt|^.,‘p%4:fde  n'ôüveHés montagnes  calcaires. 
 d^nC> ^ tandis  Aue  f{lomme,  flur  sfffffoHame i t f o i  de la  
 ^avec  labeur*  à-la  surface  de  la  terre ^ffes  frêles  
 éffibés  que  faction  du  temps  doit  bientôt  renverser, ■ dë‘  fioibfésJ ’  
 v e ^ s g u x 'd o n t   naguère  il  fgriofqit  r a H H H   q U’jJ  déflaïgne  .  
 jerféore,  mûltiplrerif air* sêin  mônumeM^fîfôcIgieux 
 d’fb e p ù% a n f |q u i  brave  f e s% # lâ ,  J | u e   lWag'inàtioft* même  
 |bïrêfûse à ^n^ê^lrb;. . ^ ‘.7  ,* 
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 1   le  Î É * t e A f t&   ^rànd  n M e  N f l M M R  ^n v en aM e tf/ 
 cçtte  B S l l   complète,irVWdoute pas BmMBHT  J e" 9 4 1  reé*Ihhps>de h rendre ciiH *El 
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 ^   i’Océari^que-kues autre* 
 qUe  H 6 de  s'mtyzvtement  èimponnéfes  de  rçci& 
 2  moins -etendteSvr-^ 
 i b S ! S ? Iîïie ih^ M èt6' ^  H  T^ e R p  M M  sans douté pour .démontrer  
 ,’5t ' i llrnaux ^intérêt  dtfZdologiste^dû  '*  f  ^