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 dp  voir  expédier e - p a r t i e   de  noé-  conquêtes  pour  ,  
 l’Angleterre*-^à  l’époque .mêmefôùr nous  noua'  trouvions  
 au  port  Jaekson. 
 En vo y an t  ainsi  les  musée.s  Britannique^  ^enorgueillir  do  nos'  
 propres découverte^!il  est pénible  d’aVOsfr  rappeler*que  quel-  
 qués-urïs' de- nos  principaux  «sompagpons' du ^NammlmÈoRté^ ile à   
 insttumens  aveugles  ^er'eèit.é^^èce'  d é fo lia t io n   nationale  
 homme  de m e rd a n s   d ëSse xp é d i t ion s  de^^-’genre,  de v-r Oit ùvo ir  
 sans  ■ ëe|$e- présenta  fesprît,  que quelque  étranger  qu’il p u is s e^ é   
 à .la  plupart  des  reçhercfrësj^ui-ty  fon t,  toutes^s/rccheÉoh es,  
 ^pendant  dnt  un  hut  commun  d'ajouter à  la  gloire  de  la 
 pétrie,  et  que  .leuïa^résultats  dès-lors  doivent'  
 tous.  .Souvent^  on  effet,  les  travaux- qui  para&sentdes:  plus  inu-  
 tilis’-aux marins,  ne  sont  pas  ceux  qui ddivent,"répanda?e£?®er bi©W  
 d’iéclat  sur  l'expédition  dont  ils  font  partie«t\J aiHüù^trèboiïUfijsy''i  
 véritablement  instruit  et  laborieux  a  hi^.éti$reîîch^^6l^p!i|sûbt..  
 à  fairependant de  tels voyages,  qu’à reeuejàlir dés-papillbn^Éu  des  
 fcoqüilies;  il  doifc:sev reposer  de  ce*  soin  sur, eeux^êlènt dêi ptexniféF"  
 devoir lest  de  se livrer  à  de  parerllês^f^hercblp  et' qui>parî leué  
 ipsirciition e® lafe^ei^è^peü.vent les faire'avec pîdstd?ayaTOa^rDans  
 tous les  cas;  ce! doit  être  une  sorte de  crime  aux yè|tx de  l’homme  
 d’honneur, que délivrer lefruit decesjfeéherchesàd'^^trangê'^et’  
 mêmeja des ennemis de sa nation.. . .  Ainsi  pensorerît?;3drf:t%îU^.pês  
 deux respectables frères  et  èé M.  R a n so n m  t ,  dont  les  nomsgse»  
 reproduisent,  pour  ainsi  dire,  autant  de  fctfe^dansbeettehistoire,  
 qu’il  y  est  question  de travaux  nautiques etgé'Ographiqûesvs'ï ■ >.«  •  
 ...  Quoi  qu’il en  soit  dés pertes  qüe notre  expédition  aVoit  faitfii$  
 il  étoit de mon devoir,  et  en  quelque  sorte  de mon  honneur,  dë  
 chercher aies réparerpar tous les moyens possibles. Spis poursuivre  
 plus  long-temps  les ' géàns fantastiques  dp  la  terre  d’Endracht,  je  
 descehdis donc  au rivage,  accompagné- d’un matelot - arméï  ,  
 L ’extrémité'  Nord  de  la"  presqu’île.  Pér'on,  ou  nous*  nous 
 AUX  T  E RRES  AU S T  R A LES.  205 
 , teOuv^éks^étd Ig i   après  cfeî^licugâ1 dê  largeur,  et  se  terminé  à  
 J$£U$$tupar  lcV^j^Æcsby:uri,^%|-’^ ^ p ^ ’<reim  des Hauts-fonds. C e   
 £ufc,i^fefo|iwCfeidërhièiyifpopntejr[^-uè:  dirigeai1 mes  recherches.  Il 
 b1 heures- du  ^a$ùâ ;  laé* $Æikîbrilloit  d’un  éclat  extré-  
 frresqu^fc^ffQeant ;  il  fallait mar-  
 chfeiflsu-r^hWï plage-dp^dhleiq.miifatiguoit fégaléréent  la vue  par  sa  
 blancheur jji|Êt  lil&Mçisi  par--«sa^mohilfa%.  Malgré  ces  obstacles,1  
 a-i. auppoinf^-uî|^^g4^QÙ''jé.' -m^foi&Hproposé  d’atteiijdre.-  
 ^aisipll|fèlx6^iiè^d’uhtpbtit n© J^bx^de - co q uiijp $î m or tes  que  jë  
 Æèfefc^dto'sfsi^  uapgprtailrien  dp^pp^es coùr$e*pénibIé 
 •js >Tiio'rElpié'i dUv' Oêitié / dètleaUx ,^eÇ/gBaV/^> si-fî  lest* dunes-;  du  sommet  
 de  l’une  & 4’W ^ ^ autes't?,;p^^©îrihüi^4i&tinctoment  à  i’Oiiest  
 -lesmi&àgesf|le#élriïdeda1 ®Qjte  orièrutajef:jüpsi  flo-tSjhsur,  ée  p oin t;  
 paroiiÿM'êtot  et'  ieurdcoüleur ‘blanchâtre  ’annonçait 
 bien  - latqprësënee. „de l^lfrhautS'-fondsï^H^edputïés  des  naviga^  
 teurs^tmais’iS i  précieux  pour-,âp>!$conchyliolagiste.  De  même;  
 ë'Di^dfef^.que-tel^ju  tels groupesjdeil(i©quillelÿ'sfont plus particulier  
 vÉeriïènt^éêfàkë^ou! tels tpdragê£'(t@®n.  II,^'ig^fjryjr^de  même  
 raftssi l ’habitation particulière rde^chaqueJë^iiC^egèîrpItreinte  à-telle  
 ou telle parrfbn, d’une même côte... Ajd|si,  t an d isfqijie ? le sa Car inairds-;  
 les, -Hyales/deà  Janthines,;t-les  - Argp.naute's*|et?- des,  a ite s ; ^estacés?  
 fragilps'ifk)tient  librement  à  iavsuæfaspèdes; merÿples Trigonies  et  
 d;ê$tNl au t Hess sont  relégués  dans  leurs-profondeurs ;<ic’esf  au  milieu  
 desiïrécifs,.  parmi  d’affreux  roqhérs.,  qu’il; fa u t  aller ^recueillir  les  
 Patelles,'le&Néfkesr IpâîSpondyles^des  Tridaeries;  les-Lépas, &c.  
 Les; Olives;des  plaisent 
 éüx  endroits,  rocailleux ^le&i'^Pfones.-tjgigaâtesques -et-  fragiles-  né  
 sauroiMt -habiter  que  les- places  hefhosb,-vasëuse-&:4ci  les  Taretl  
 sé^  creusent  un  asile  dans  les  vieux  bois  submergés' et.  pourris  ;.  là  
 Vivent  inebustéesidans ftes'ipierres  ou  da-ns:|ps madrépores  les Pho-'  
 lades  et  les  Houlettes;,  ailleurs,  les  P la cu n é s le s  Marteaux^  les;