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 eompibutibæK,;  G4e#,p©u®  la  première  fois,  depuis'son arrivée  sur  
 oesîbOTdsv  qu'il  entend  prononcer  ce  mot  ;;  jusqu’àlors  toiîtes;les  
 propriétés  ont  été  libres  de  redevances  de'  ce gpmre.  Le  Gouvernement  
 avoit  attendu« qhe  fis  colon’  fut- dans  faisane® pourrevenr  
 diquëS--SCS droits ;  et  ce  qui!  exige  esc  d ’khord'î'sü peu  de  chose-',  
 qu’àpë inë ié  pèrïrd® famille ^aperçoit-il dé la  nouvelle charge? efle  
 âtrÿmeiïtëSyii  est v ra i, chaque  armée^ mais  toujours  d’une, jmnièrç  
 Msënslblév  q® eh®  ait  atteint - une  certaine  somme pour 
 chaîné  acre  de  terre.  Alors  les' Contributions  doivent  rester 'fixes\  
 elies'sont encore peu considérables;  ettésproduksse sontrelkment  
 mülffplilsT  les  échanges  sont?  devenus .sUrapidesf r que- les  contribuables  
 sont  bien loin d’en être  fatigüésÆé GouvernntneM  atiÿo-ia  
 peiïséj àvee  taiSOn*  què,~ pont  détërminér  des  hommes - honnêtes Il  
 ^  traniportèit  ainsi" âùf ëxiréîliités dp globe ,  iï faut multiplier.p@ni-  
 eux léê âvatitagcS’de  toute ëspècil^ bien  certain qu’il retirera Un jour  
 avàc j*4ua£ le fruit cfè §fs a v a n c é e s 
 Mais 1® travailla  là Constance  ont un prix plüs prochain  âKScècç-  
 voir.  Eh  effet,  aux  approches  de  l’époque  où  les  redevances iseQit  
 éSîgibtej dés commissaires du Gouvernement sont chargés de visiter  
 lés établissëmërts des partiçultéftï toutes les concessions sont parcéi|$  
 rue! âNNIPlôi®;  <M  examiné  et  lés’ habitatioàs  efd’iméîiëür  des ménages* 
  et les jardins* ët lés champs -, et lés prairies ét les vergers, étalés  
 trOupëiuf dë toute espèce-. Si îê honordre règne partout ; iMlsfrimi-  
 ëfksidns ontétéMëh défrichées ët bfëh misés eri Valeur; sidés récoltes  
 ont été bien soi^llësr êi lé&produits  âhondmsf sites troupeaux  surtout  
 Ont é t é c o n d u i®s u c c è s   et intelligence,  alors le Gouverîie-  
 mënf M-déelârë  rêdëVâbl#  envers  éëtix  qui  (#a|possèdent ;  jpfj bien  
 loin don exiger  des ë<mtributionG  il leur fait  des  concessions  nou-  
 velles,leur donne en présens de nouveaux instrumens, de nouveaux  
 bestiaux ;  il  leur > accorde  de  nouveaux  esclaves  ;  il  prolongé  leur  
 franchise,  et  les  dispense  de  toute  redevance  pendant  Un  temps 
 plus.'0  rotins long. Qùe^i; a® contraire,, frs gjiltures #t le$ troupeaux  
 jçù3t.>élé®^i^éaii#loig/iê Gouvewh?mpn’t fait quelques uyerd$semens  
 aux  propriéw^s’é^abijliës ^>u  néjiig^ sj; çt:;§Û  aprjèsdes  avoir  pré-  
 jvenus  pljisiei®^ fois,  ms  remomrrm&gs j&e  produisent aucun  effet,,  
 ibs  cflpç>es§iws, j w  un  arrêt  tfrrévoesbfe,  isont r#1|réé§  à leurs  pre-  
 m ie^ ‘poss^aeurs  de .le? 
 renefeb utiles  g# Gouverne?uei3$ et; Ji ®j|x-m.én}^. j 
 Tandis, que .-des  lois .Menfaafèantqs  garantissent  ainsi les  avantage!,  
 des .propriétaires, le  méme«espr|tJdfe^g^sçie't  de  jusdçe  se faii sm-  
 tir a l ’égard  des criminels. D e   ces  derniers,  les uns  sont .condamnés  
 adiesplay^gejpourie  reste de  leurs Loues ;  Le plus, petit nombre : 
 d autres,.au bout  d’un  certain nembrie.d’animesii.jjdoivent redevenir  
 - jiVdsLmàis  me4.pauvent- jamais  quitter  la .çelionie,  tpu-n.e; fa  peuvent  
 quitter^qu’àpnès  un dSélâb/liêéitd.auitres  en&c,  après  .avoir  été  
 rendm  à Ta Haberté,  sont Jus-marnes ,de  partir  ou  d e  ^ester.  Deux  
 mojiepaqniiissans  a n r  été  anis  en .>us3ge=^RùpAQontenir  cette p p p i-   
 ,  latiau bizarre  /ét  pdin Tiaméhorer  : Ta  fa?aini|lgpt j f e p é ^ c e .  D ’un  
 j A@pé; ides Groupes înombreùseslsajns  cès-se; armées ;des pQtensès,  des  
 pni&dùs,  dqs;  cachots’, , établis haur  plusieurs  points  <fc  la  ,colonie;  
 d^ fe rs^ tjd e s   .chaînes,  uneq^oirce/active., Tésj cJhatimms  'terribles  
 pciuRfesvfautes,  les  f^us* iegén^ ibenfin  la  .mort  .p^utlàgphes  qui-  
 'soprplus  grades?  de  l’autre  côté,,  frespéranjee  <fe  f r t o é i j   la  
 dimmution du  temps- ide 1’esoiavage.;.ou m.cmé >sa oe^ation absol.uçg  
 la ioertitude  de  rentrer  bientôt <e,n  grâce  par  une  bonne ;uonduk® ,  
 d’ôhtenir-aussid«|s00®fessions,  td’étre  à:Son  tour.<setrvi p a r;d’a#rë!:  
 -condamnés,  de pouvoirs® livrer en paix à ‘toutes Tes  jouissances,d®  
 la vie «domestique,| d’arriverunémë  àlafo.ctune .età Ja>C’0!nâidération 1  
 de pouvoir ïunijour  retourner ®n Europe.pour y jouir d e  seé,.travaux  
 et (dé  son industrie  : *telle  fut la double  iperspective queTe Gouver-  
 nement.anglo.is  plaça  d.abord  devant lésimalheureux qu’il.déportoit  
 sin cesTivages  lointains. 
 •Tes  exemples ide  la- sévérité  la plus  .effrayante  s®-succédèrent; la