
 
        
         
		les  calmes^ les courans  e t le^, hauts-fon^s,; qu’à peine  pûijies-nouSi  
 à   de  rares  intervalles f^reEènnoitre  quelqu'^pomts;f^b||^©r^sç  Ce  
 dernier jour’,  à midi1,  nous pétions par  181 5.1 V^jïtfde latitude S^jet  
 par 1190 4 - 3 6'h de longitude à l’E. de P. De cëtte heure 'jbsqu àjquâtrç,  
 noliSf prolongeâmes*d’^ sez ipa^p-ppe  partie  du>|jentinent ; le Icâp  
 Jaubert, le cap Frézier ale,pàp Duhamel et*le  cap Bè|ss_ut en étoient  
 les  points- lès^plus  remarquables. -Dp, nouveaux récifs,  que le^msùa-  
 rinq. reiçut  ordre  d’aller .reconnaître, obligèrent  le^Gépgraphe  akenir  
 le  large-,--et^a  manoeuvrer  tout leuip^t'q  du  jour  pourîdes' doubler  
 au Nord. A sept heures du soir, le commandant laissftomber l’ancre  
 par les  1,3 ; brasses .d’e a u fo n d   de sable. 
 Tandis  que: le .Géographe arrivoit ainsi au mouillage,  le  CasuaHna-  
 poursuivait, au  milieu  dès ^périls,  la reconnoissandétddht  iTâvdît  
 été  chargé: Naviguant  à  unet'rès-petite  distance  de. tçrre 5 fp^Vunjë  
 profondeur  de 4  à  £ ^brasses , ,il  aperçut  une  traînéd-ÿle^éoi|squi  
 du  cap. Bossut  se  projecoit  à  plus  d’unê  lieue  au f^rgoîd-dans.  e  
 montent  les  sondes  tombèrent  à  3 durasses}  fond de'  roches?  Le  
 Casuariua  reyira  de  bord;  mais  Ies> vents  étoient  xgrmains  a  \a  
 route r:et  lés courans. le  drossaient  avec une.  telle force j  qu’i||%iftit  
 bientôt l’impossibilité de sbioignerdes brisans dont il éîôit entouré,  
 Dans une  position  aussi  critique,  l’incertitude  de  ses  mançe'üèrçs  
 pouvfi^ lui devenir plus funeste qu’une décision franchç etdiardie.  Il  
 .détermina  en cqnséquence-4 chçrç|ier im passage Çjitre les reci^, 
 'Sebald  de  Wert,"VoV.  'm Purçhas,  
 à une  couche d,sez  epâj-se  d’animajx microscopiques, 
 tom. I, p ä & w Sw & i 
  ; 
 V Â n - ^ e c k ,  gec.  ç[es Voÿ;'de  là Coiilp,  
 tem.  i j  j>äg.[6'd0,,  ? ' 
 M,  DU  T i L3*e u i ,,'  ey-comirii^saire  da  
 manne,  a  fait, durant  un  voyage  de  France  
 à la  côte de Coromandel,  des  observations  
 analogues  le  long  des  côjtes  de  Guinée,  La  
 mer, pendant plusieurs jours,  parut  comme  
 couvertë.de  sang,  tout  aussi  loin  que  Ja  ype  
 PQU®o||sfétqndi?éi èe phénomène., qui d'agora  
 effraya beaucoup  lés  matelot?,  paroisspif  4$ 
 JY. B, Mt PÉROU,së proppsof t de reveryruji jour,  
 Hans un ouvrage particulier, .siir1 ce phénomène vé.-  
 mahfement remarquable  çfç  (’histoire  de  l’Océan,  
 jfftepéroît  prouver  afqrs que  fous  des .•ptoaigC'  de  
 ■ mer  jaune,  de mer  défait Y et  sur-toutcfeTntf?'  de',  
 sang,  dont -pàri@n$.fant  d’auteurs  célèbres  de  i’àn-  
 tiqufl»,  ne  son-tpas  aussi  abmrd.es  qu’on  s’est -pïu  
 de nos jours à  ie  répéter,  et qjj’ils  doiventiientre»;  
 dans  la  classe dçs  .faits- physiques,  .tout  aussi  Bien  
 que  les pluies dp  pierres,  &c.  Il  n’a, laissé  aucune  
 trace de&ce  travail  dans sps,manuscrits,  . 
 et 
 ■ A U ^ p E f lR E S ,  A U STRA LES,  241 
 Km iltchofs^ lM loint- cm l|^courant%ait  le  plus  ,violqpt,  persuadé  
 q^e  IawMQf®‘^urSXeÿ%ài4^iev#^ay.|li'yjêt^jplus;  considérable  
 Æ i ’ajll eur^^ jljjâil nieift  fut. m^ë^M^|&tke  vpile,  § p  la  sonde  à  
 la majjq^ ln, l’ab^ndonn %  bof^ j fbrtun|ç-.oIl ftpgichit* de lâ^Jorte, 
 milles’ au milieu d’une mer  
 renlplié  d A i^ ^ b la n o h â ^ ^ ^ f  <1^ rwl»qui"Épspîent  un  bruit  
 - h o p r i^ ll cRtt'jSn^e.ii^ 
 ui^ecJpÊ^^àÿon  p&sgèfent 
 éî|\c.c^jAc^t , d(^aÆà;.3  eb  je ik #   et  6 
 é«as.sèsf tantôt, forubdP^tljlâ^bur^et  .t^kôèion^de  roche:«; 
 Pl'Lés'8,  iil,pmus’tfùjnos_as? ézqheureux  pour  ROUyok 
 ÈSBf,o 1 b c  pâme, de  tèrfofjmcdr^ç^nf^ip êlev'ecil 
 fgu’alors.-En  (fucbiugs^ m i l h ,  Verd^rc/t^n^ui^aôue^fraî-  
 tcheù&; j.gpicop^t^u pi v^au^n'tmffl^hgt ctd)lç^iy)qiU^^«dMK^É’’.  
 ^fletatioa, e^’ntrastoit  pOEfèrtt jnt^wa.’v/hja 1 tu ïI îlJ î^ntValp'dq  
 ■ eeit^ga^tie' ^  Totca^tlc  la  Nqu\ Æ B oH a n flE ^ ^ .•êmWb-  
 gçâmes, JeMpoints .toriAciiiauxiilo upilieMldins  LatâiMliLréville^ 
   à’Ile  Ganthedumts ^è^ap^Boih au>/« Je, <Ldi^Bùxù/wli / ^ é ’Lle  
 '^ÊUxnot )  ^ 
 LjDeipetits, oragesv.j.u^e «dcjkijL: (piottjrtu&temps^  n^^^roûvfôhs  
 chaque soir,et,qui,' partis d^régioirsd^l’& t , prolongeant d’abortf  
 la ^rre , poqr ^eirépandrCjgaiiStE^e  rivées, qràe^ul^^luie  a-bôndaiîtepâroisspfonr. 
 éïÈë.le4primcipe ,d.M|e. ë^^ctèle '^é! fefstiffté  particulier  
 âda^pôr-nôrf.cle yows  rfui étoi^dji^^efeae rriôW JC^ora^g:-  
 accompagnfsTbbeâuc-^p  djÆlrs i et >d?èmarts'^^ps vJfe  tonnetèë,  
 ÀÇ duroient pas plus  d’urîe^h'eigé^L demieion^lux; ifettae^/v  
 *  Nou^ ap^çumfes,.j,par  ^^laAtud|^eW%à~forels (qk-i  se 
 -profoehoiCTt'sür la pia^ëbîilsfotoient ndir^é et  axpientj^ë^ h éveu»  
 Courts ; la vue ^ W s  vaissea^ff^p'^gl^as^^S sur^uxïâ Joindre  
 im g ^ i l^febi 
 »fïtepoir  du?  I0t4wil,  le-\jSdsuanifa , 'poussé!jpâr  les* courons,  fut  
 .tÔmje  11.  "  / T  H h  W