L amétherïe, je«crus.d§ÿ.air ;■ poà^e^faire avec
plus da%â||s, je cher effaiffîabérd à me procurer un*appareîld’unè
composition-plus- sim p led ’un %inflàic plustfacile ,i. et d’une ^a&?
titude. plus grande aussi .dap^ les^ésukats, -que i©us; eeux
savois avoir été jusquaÿjcj&j®ur mis en u^e^^%^^ysi^oesSqk'i
sd sont occupps^j^^pfe objet. En effet ,plçll| th^^iemetres^de
Mallet-et- i Ptctet ; .eeki deu.|AîCHÈ^.eonnu?^ESMeifiom'do
thermomètre vpâur. les puits / ..çelui^du* cQiidte de MAiRSiGHE'^^pfui de
C avendish“, .celui 4 lé sS p ifteu x de Saussure pèle cylindre^
doubk|aoupap©yie ' Forster; de .Morqzzo , fecylindlé. de, verres
sjellé à Jadampe d’émaîifeur ^la*bouteille d’iRViNjp; en .un mot;
tous- les moyens employés jusque ce^c^rdme paraissant avoir
des inconvénién’s plufe, ou moins- g-rave||ke- parvins^è-n^n^Ætânt
beaucou^eet-objet, à b construction-dé l’appareil. dpnt levais
pré&p^ter. ici H$r> détails,
* Rien IR plllllfacïle que de plonger umÿherponirèî^ a# la Profondeur
jugée convenable ; mais ce qui ^ s | tfpen ril©in|^qut yl uni
exécution aussi^simpfej^’ëst de disposer fcgj; instrument «le telle
sorte, que la température acquise a>jéné Prafo n cle ùr ’ ne -
sensiblement variçr pendant le tepips- ppçes^à'ue'J?oul' 1° (1,llu< 1
à là surface. Le seul moyW què jlavôis^ d’arri^r f æ ^ ut etoit dê
rendre mon tflurmomètre le moins sensible possible, et, pour cela,
dé disposer autour de'lui plusieurs énvdoppes cid^^stadeés’; peu
cénductrîSs ;du calorique- Elïes' sbnt en'grand nombre'^ maïs
, parmi/oeMfePqui possèdent à un degré plus ëminen^cgW* propriété,
on distingue sur-tout l’air, le. verre," le bois,Ife charbon,
les graisses; et les résmes. Je-résolus dé--jfes -emplayerjfoutes jLla-
fois,.et.dans un ordre telj- que’ leur faculté• peu donducbiceofu
calorique devînt encore plus foible. On sait, en effet,fqu’e la-chaleur,'
de même que le fluide-électrique , -pénétre, d’autant- plus
difficilementles;corps, qu’ils sont d’une nature plus différente entre
eux.: Cette idée si-simple, qu’il ■ doit parojtreëtonnantqp'ellerre
se'
s^&è^t»ça^d,a^p^pffeBtg A^ceux‘tpmiegfpremiers -se sont,occupés
de la-supériorité de
ipôn appareil.^spL .ta|sèneu^'doffit.'|^i^est|servi jusqu’à ce^our.
; A. çonductîi^ -du calorique
| - ent sur la
^mpec^tur g \ <$et$ja -.ine® mais • tqjntQ$;-Ja üayunteéfé 'gu;isolément,
et m a n ia i queique^kîlkênr^ j>eu raisonrt|e7 des^ésuhats
tam® d’àppàreiis? ^E^^"|q^^.uoeqient^êe rigoüteuse-
meqtccfmparahJes^^^ gux tous. j ouy 6
T f P^WÉxiaYiai^%^‘g^^^^lffaRtên.ip);î ^ metjs.emblét-à l’appa-
|# j ; ;n o S ^ g dont^ak’ifoft u s a ^ las- détails de sa .construction
doxvén,t ^ i l riméMê$rip ,
' thermpmè^rêia met 1 jdqyRtc^Wnnd rdgfeffisfoire,
1 R environ
tfe diamam ^ cfeinstruipent, 'dansiun pE1c
JoM ^ e ?,e. double deleeJui'du tube^dq Verra;
' ij ^ÿdte cfo aj-(e (Imposition un ^ j^ e jjbreqq on remplit JeÿÇfel
enfuite posé'
B l^ ^ cnC 7 \ ÿ « rt <lc R 9 S I d’un, diamètre également
^3 ^ ^ ^ ^ È i ç,'^iiÉ.s-tvreiïipii par
bol^demétal
i^ P ^ d é ïït ^ ‘'c^ v^ fc lç^ i^ fj de la rïieèiA în^' ière(!'îfï fpn peut
- enlevértous 1?P d èW à ia^ '^ ,( l’un?7 nAÈîireprompte“,-alaide
d’un m é c a « :
dans-Te dessëiifcde mon ami, de mod c'p^laboratèu’r , M. L esueur
°â|f7i7 ! m e m e , qu’un
p W ° n ^ f débordant 'la eouehe cf^smP'sm' à^éSuv^ir d’abord
,et à retirer.aus|itê^ToUt èet/appareff ajbsi dispoSéf/Jl'j.se renferme
dans upe double p o n n ^ e ^ . n , 7 %. qu’on
attacRe ensuite a l’extrémité dèrig %ne/de'son«ie.f,#o, p, r) qui
doit lé plorigei à|a prqfondeù^ détermipée par l’oÉsprvateur. 'Une
masse de1 plomb® plus ou moins considérable, sert à entraîner le
7 OME p T 1 T t
PI. XL.