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 Roggers  d’après Selicirk ,  «rces-. animaux *éç>nt sur 1 île Fernandez,  
 „vpour  y  poser deurs^petits à un  cpup  de_mousquét  du bord' de  la  
 » mer,  et  ils  s’y  arrêtent  jusqu’à  la  fin  de  septembre;'.saqsfbouger  
 |>>^de  place,,,. pfbsaps  prendre  ^pcunë  sorte  de-  nourriture  appa-  
 Ljrente, »^© .ggers,  tom. j ,ÿag.  -aff.7 -j^®®srER  avoit  fe.it  la  
 .même  observation >  la  terre  des  État/!  « 1/ Vienm# Au  r[yiL%e  
 »  pour engendrer  sur ces  cantons  paisibles':  il  ne prennent  pas  de  
 ^/nourriture  pendant  letu^séfour  sur  la  côte,  qui  est  .quelquefois  
 v  4e plusieurs .semaines ; mais; iis  deviennent maigres,,  et ilsfayal^nt  
 »  une  quantité.considérable  de  -pierres-ppur  tenir  leur,  estomac  
 »  tendu. >L($©rster,  de.CooK,- kom.-vni, 'pag.  j^ .) 
 L’auteurpari^Æci  de  XOtària  Leoninay N.  * 
 L ’ab aissement  des  nourrissons  est  'si  prompt,  que,  dans  l.es  
 premiers  huit/purs  q u i,suivent  la  missanc|||ife gagnent4 ' # #   
 de.  longueur  et  iop  .Livres  de  poidsqenvirom 
 «  Un  développement  sLconsidérabIeSip*peut  avoir  i-ieu  ,qu aux  
 d é p e n d e   la  mère,  puisqu’elle  neîdpmpéu^par*  aTOune;|p;pè^|-  
 d’alimens;,  la  déperdition  de  subÿçcnce mo,nrrieière4qwtoro duÿ| <  
 aussi maigrit-elle  à  yue  d’oeil  :  on  en  a  mêm^u.,périr  g o d an t  
 oet  a lla item en t^ pénible  ; mais  il  seeoit  difficile,  de.. d%yeq*&iBelles  
 ■ avoient succombé  d’épuisement,  ou si  quelque maladie particulière 
 ;avoit  causé  leur  mort.  .  . 
 Au  bout  de,quinze  jours j  les  premiè^  dents  paroissgïit  ;  en  
 quatre m o /^ e ll^ om to p é s   dehors.  Les jirogressions de  l’acerois-  
 sémeèfisoni^i fepides,  qu’à  la fin de  la  troisième:année/^||feunes  
 Fl,loques  ont  atteint à  Ja  longueur  de  6o . îdéeifnètres  [Tr8  a  
 25  pieds]qui-est  le terme le-plus  ordinaire  de  le,uji grandeur;, .des  
 ce moment  ils  ne  croissent  plus  qu en  grosseur. 
 ■  * Quelque s’inguliér-qué puisse'être  le phé^  
 nomène  dont il  s’agit, il  n’est pas  cependant  
 particulier  aux  grands  Phocacés  des  régions  
 Australes' .SVELCER a observé quelque.chose 
 d’analogue sur le Lion marin du Nord [O 'tar'm  
 jubaia, iy,] :'Sénes autern junio et jidiôparum  
 vel  eli’dm  nihiï omnino ■ cOirtèdiint,,  ac  intérêt  
 - teinporis  vaide macilentæ  -toaduaft 
 Lorsque 
 '  LorsqueLës* nourrissônsrse; fcrouvent'-â/ês*'de  six  à  sept  semaines*;  
 on j ' e d - u i k   a  la mer  :  fes  ri\êag^è?Sont abandO'nnés pour quelque  
 temps/Yon/e  la  troupfe  vogue  delcoiîddrtM^I  l’on  peut  s’exprimer,  
 ainsi. L a  mSni^rè/de; nager de |ps mammiÉres, est  assêz  lénté;  ils  
 sont fôjgséà,  à djèsl^fiterV'afliëf^^coürts/de  reparoître  à  la  surface'  
 de J%au? p.ourtfe§p:iEp‘ l’kir  dont  ’ilisj onàbesoin.  On  observe  que'  
 lpfs‘qu’^s^%ârtèiit unqmK de Ha- b’ande1, § fff|  poursuivis  
 âuprftôt par quel^SAtiÈK.dli|sïpIus vieüx,  qui  les obligent, parigùrs-  
 mesures,  à,regàgper  le  gropdé  la  famille//; 
 Apirès •etre.d^nëüréàfemis[stMaine/outhème unlfoaoisà la mer,  
 soit pour familiariser lelp»petitS a\f </c'et élémëht''|/(^tfpour réparer  
 lents feà^^ëpùiséé’s par une longu^JbstihënÿèjMes Éléphans marins  
 L^îiennént ^é^secokdërfôis «au rivage  ilsrs^r sont ramëiïês' .par un  
 bêàoin.! pressantqi&èlïii : detlaf- reproduction./ >  
 dlfclé;îv.iens) de^clre qu’àl’àgë dê trois anstces animaux ont..pris tout  
 ■leur âocrÔTSsémem/ alors anssrse développe «cëttè  trompe remàr-  
 quablp!pfi mâle., dont noqâà^ons. précédemment parié. Jusqu’à ce  
 moment, il  étoit"Oonfondu/p4ur ainsi direj avec la femellej; on  
 p'ëüt'dotf&Yegarder'det organer’cOmfne un irtdiêë de la puissance  
 qu’il àacquîi^de multiplier/^ 
 A   la  voix  impérieuse/de ,1’amour,, l’union  commune  di|pàroît  
 pqur tout  le.temps.que  doit  durer, -feyrêsse-qu’il  inspire.  Animés  
 par des 'mêmes; désirs*, :fê# mâles/vjennent. se  heurter- entre  eux/ds  
 s^béttpnt  avec  acharnement,.mais  toujours  indiyiâfiîédntre  individu  
 :(Gë caractère de générosité .n’es-t point particulier apx animaux  
 dont nous parlons;  op le,retrbüve/a'ns‘sitdafisJ’Ours marin  du Nord-  
 jp&taria  ursina,  N . ] '.   La  maniè^vdê'oembattfeH^s-Fboques  à.  
 trompe  est  assez  singulière.  Les  deux  ,cotô£$ë<&rivaux *se  traînent  
 pesamment;  iis  se  joignènt; .et reme ttant,pour ainsi dire,  museau  
 éontre, museau , fils-sofilèvent  toute  la’ partie-antérieure  de  leur 
 adv^ùk uni/mpugtiaàtj ùlüKb^p^M^S  thminisi^ (^St^LLER ,  de  Bestiis  marinis,  
 Venmnt  tn  auxïliuin'j  indignoeti■ ‘haparis ’cer**)  Pagl  3Î'C l'fl| 
 TOME  II. F