déduire de l’ensemMe des expénenfe^'de FùRsterv iêktnëmës conséquences
qui nous ont*été » fotbrfdeS par Ies-%rS:fenfies',;' é,fest-à'Idfiîe‘,
ï.°. la nom-existence d’une teriipéfattâë1 uniforme et constante* de
lq*/-environ dans 'les-?coudées les -plus prqfondiÉ^des'eaux de là
mer le décroissement de cette même température à“ *mësifre
qu’on plonge ; à „des profondeurs plus grandes#*^
. Indépendamment „de: ees’pieux ’ codséqueMe^e^ënérelfës^des
résultats defFoRSTER, notis^pouvons en'déduire1 deux autr^ïfen
moms importantes aussi : ‘la’-pfémrère, c’est que le refroidissement
de sceaux de la mer, à profondeurs égale^‘est‘ibeâuë'6üp> pWsi¥con-
sMérable «»mesure qmon''sè rapproche dës^Pôlési' -'Eii eflfet; nous
venons de .voir que mon' thermomètre, ■ par mne' profondeur de
iS '44 pieds;mfostdescendu près de l’équateur (pt’à-f-6°,^tandis que,
pour: celle »beaucoup " moins grande' * dé^Héÿ'pîeds'; F o R s tt'e r a
trouv é . 1 d’bien au' terme ; zéro^de RÉ AuMUR.'iGette éodâ'é^uenéê'saïi’S
doute-pdÉVOitbien se soupçonner aisément mais -jljfêfct ‘pas moins
précieux de'.retrouver ici l’expérience‘et l’observation d’accord
avec, l’analogie. ^ ‘
ag|Épf 'Je disois-il n’y:-a-qu’un instant* «tOn peut de%Ufi‘e>de mes
»sd^ervations. le refroidissement progressif 3e'*la -température'de
» là mer,“ à.mesmé qu’on : s’enfonce-dans gftfe abîmes :Ël|T’âioutOfg
ensuite : «tQuel peut en. être le terme:..»d voici£;d’apres les
expérientees :de Forster la 'con^élattob; éternelle'-. dâ-Tes^afaîmes a|
-îÇîSans rechercherai®.®’ qtei'ri^aeo'ee
atmosphérique peut, être nécessah’é'.atuphéno-
mène d&JKr congélation, 7toujïjurs esf-î^vrai
qûeles rivières/les Tacs et‘la -mer même, eh
s&congelant, ne se prennent pas en-totalités
il s’étaBiit ji la superfreiettne croûte de glace
qura pïïï^où’moins d’épaisseur, et sans laquelle
i’eau;«s.te encore-fluide. Les.nâyigatenrs rap-
portent avoir trouvé’, en apgïqdhant despôles,
des ilesflottàntés- dé- glace, de deux milles de
circuit ’/et| de plus dê cinguanteipiedstd’élé-
v^tiop t ce qui suppose que la partie immergée
m8^^^^'jô~jieàÿ'Ué^à:issë:üï:}'
la glacé, d’après les è\ptVitnccs d’InviNGéhe
j’ér® an tqu ed’un.dQuziènie.au'rdessu^.,d'e'I*|au
salée : cependarit.ces éûormèFgîâqons étoiêrït
mobiles., et suivaient la direction des vents'-et
.descaurans /donc l’eau.qp^res^suppgrtoitéfoi.t
fluide au-dessous. çomihe, autour Mieux, ; quoi-1
qu’a une latitude?, et soes'Une tempétapifê
aüjsi has'se, l’eau du fond déjà mer,dut-être
gelée, s’il est vraî qu’elle se gèle quélsuefcjsr
( KÉRAàjlïÏEîsr, éhiajëEàu de mer du D ic'tio’n-
naire.des ’ Sciences'.médicales , t.section IL
Paris, jfli4)i:#iA^eteqi/o,qtée.. L. F. >
< AU X ERElà); AUSTRALES.' 341
rà&mei au milieu-ÿe ^’éfé;. de,.ces régions?» II est bien étonnant
que f|s4u * e to> u r ooi^.prefljae»oublié -dès résultats' aüssi pré-
cietiji, .et-qfoe -nous allons vOÏ^sèj||pro,(Iqire^plus décidés encore
dànsdqs;.expeHienc^du docçéù||lRviNGi'au P.êle Boréâl. Forster
luicméipetne i’cmblç^iflvôfr-semiilfouté l’importance'de ses résultats
pour lfhfetoirê physique';^no®'gloW; il "se; ;b‘of-ne, en
' effet, ,à,.s’en ^virwpour.réfuter 'fippmfohede* BuFFON^sur la formation
.deh,G<^]montagnesî déplacé;* qui, jusqu’à îcÔ5joùr', ont rév
pous^é^par-toutil^’jaavigatejpS éuropéêns. .On'peut voir de quelle
manière ifrs’exprime à*.çft^égarfeaprès; avoir détruit l’hypothèse
du naturafejièÆanl^faquibpfiétendoit.jquelLcpài-massesnde glacé
a^oieht ,hesp.jn, pour ijseî forméry tdaj^^pïîat( ; dï appui,‘solide et terrestre*.
0 ^rs.her; -2/ $4ÿ; deeCiQVK ,nom.‘ V, pag.
E x p é r -ieînces - d’ I r v i N G'^au 8 Pôle -B'oréâly- ‘
f "Npùs Venons de5 parcourir dèi^i^fêè^récièuié^ observations
SUU é r a t i î r e _ de la mer, pÆ^deEoR5TER au milieu des. flots
miennes aux .environs .dê^lequateur. NoUs .
arrivpi|^Ék troisième', fa plus-Untéressant^ soge tQUsrlés rapports»
favorisé .par un chef ami/des. sciences, (le .cap.ne PHiEPS, aujourd’hui
lord Mnj^RAyE|,-|kvÎN;G.apu multiplier,davantage ses observations;
H a pu fos faîre avec déainstMmêiis" ^Ms-vari^„et par des.-profon-
deurs|éaucqup plus,g.randes>que je nçle ,powois.jmoi-mêlne', obligé
'^e lùttër içi| conime dans .tput. le. restë,de,1 mes. travaux, contre
la mauvaise volonté. du„chef ,• ou^mémç contre son opposition di-
recte. Dans^Æsgfeirconstancea plus Küfiuses fous.t'ous les rapports^:
H f f i S Irving ajep^^M^expéiien^^^^^ie tableau-ci-join#»’
pag- 342 biQ\ par 6©,.!^,,y8, et même pafi8o .degrés de latitude
^îordt, il les ayariees depuis la profondeur de 160 pièds jusqu’à celle
dé 33#5f 34ï 5 et 3^0. • CétÉë magnifique .suite.d’observations
fournit. éAcpfe des f^ultats parfaitement d’acco'rd entre eux, et