dé plaisir; elle npusconfîrma dans l’opinion réfléchie de la sqgérip?
rité de mon appareil sur le plus parfait d e ceux qu’on avoit employés
avant.nous, le cylindre à double s o u p a p e . D ©puch
désirant faire' quelques observations sur lé Hegçé. ;dq salure, de
la mer à diverses profondeurs, avoit fait plonger-, en, meme, temps
que mon thermomètre, ;üii cylindre métalflque^de. cette espece,
exécuté par L enoir, Nous le retirâmes plein H-eau. Le thermomètre
que nous- y plongeâmes sqr-Je-champ nè Hekcèhait quà
2 ^ au-dessous de .la température observé^ à la su r fa c e tandis
que ce même thermomètre; logé, comme .je’viens Hë le dire, .à la
place dercelui que la pressioAavoitLassé/ s’abaissa..d||i i l : preuve
incontestable, à tow égards, de fa'sUpériorité^de notre- apparéja!-r
et de la défectuosité du cylindre à doubledfoupape.
3.e E xpérience par 1200 pieds et par J ° de latitude 'Fppnl['"
Xflyes' expérieni^fdoht je viens de parler ont-éj^é'^aq^s par^dés-
profondeurs, peu considérables^ayecvun appareil moins?!parlait
que celui dont-j’ai donné d'abord la &scription ; iLm^res^'^a
décrire- deux! autres' observations du même geirçeUpiùs récentes
aussi, puisqu’elles ont été faites pendant notre dèrnièr%|%^|raée
de l’Inde en Europe, avec un instrument mieux construit et par le s
profondeurs ^beaucoup plus grandes. Le ,rp février i 8o~4 , nous
nous trouvions au milieu de$ Tropiques par'un” calme plat.,.qui
retenoit notre bâtiment immobile à la surface des-flots.; jè profitai
die c/oette circonstance pour prier l’Officier commandant de mfe
permettre de tenter dé'nôuvelles expériencès sur cet objet.. J’avois
eu le temps de faire, pxécuter mon appareil à-peu-près dè la nia?
nière dont je. l’avois conçu; Je lé fis. descendre à 1290 pieds : il y
-resta i h j& i f non compris le temps dé r é fa c t io n y qui
H étoit alors <y z 7 '; l’atmosphère indiquait-H 25 d>7 de Réavmur;
la
la surfiiceA'S^êau^etQit a:-+-.24f/y. Mon. thermomètre, retiré de
.»i^te profondfeur* de: ï^mmaquort plus: que H - ÿ% ;
refroid'issement:déia^pSà'eo§|idérable; sani£doute,. et qui l’eut; été
bien, davantage e n c p r f e ^ ^ .l^ n À v é n ie n s dont j’ai parié dans
■ la premier^^perien^.et^dont; la;plupart; se. reproduisirent dans
' pelfe-5ÿ9ia/Néanihoi^^^si^èsuitats, de/cette troisième 'expérience,
tqtij^&s ; analog^s,à|^É^ (d e s ; .^deviennent- d’autant
' 'intéressais ;j,qÿiM^onfirmënt. de plpsuen^qsj l’abaissfemeht
-progressifloe k* température ÿçjp i q n d , ^ .-mers. L ’observation
jtous mçS dpptes|f|îil eût pu m’en
- rester quelques^ns; ?r%c&sgfatâ
4 -. ExpérIENéâpar~~2 t4 4 de .pfûjrôndeur, et par'4 ° de
latitude ; Word.* .
i ! L e 22 féyrinr suivant,, je profitai de iApfptinuitédu calme pour
: ^ P ^ ^ E i e ^ ^ u v - e S j l^ i^ ^ ^ ^ ^ p j e j^ ^ e corde furent envoyés,
âu.,fond de-la mer/à. 1 i%^|^ü^ma.tin ‘: on. e^ommença
bextractron.*a ;midi,^||ÿ|ÿ, elle dura 4f par la: mauvjflseTvolonté
de^béquipagq', là qui les5ïobs.er,varions J e t ce. genre, ne /ghûsôient
guère. L ’immersi9h< absolue, dura .donc 75'. L ’ai^se^roopdit alors
^ J ■ la surface ...dès. flots •indiquoit.—f-- 2jfy8; Le .thermomètre,
•rerenû. dû' fond ,Ce!?fej^e'promptemdnt ’de 'sjànt étui, n’indiquait
que-Hê,'1, cfelLa-dire ,-|p§fde, 1^ . de. m ô S q n e . la surface /différence;
enorme,' et qui vraisemblablement auroit été plus considé-
, rable,encore |,si l’extraction , qui. dura .trois' quarts .d’heure,m ’eût
pas trop permis àda« températurede.- i ’appareikde varier, .et; néfc1
cessairernent çe dut etre en ploe la pression de l’eaS'/ j
toujours-plus forte que ntes moyens’, ne' lù r ë û t pas permis
de s’introduire encdro dans l’intçijeur nde> notre.appareil. Malgré
ifÇS grav.es inconveniens, toujouçsnie’ même Résultat ^'ppujours la
-température de la mer décroissant à'mesure^qu’on s’enfonce
davantage dans.ses. abîmes. Quel peut en.;être le. terme' Cest
tome 11. y v