
 
        
         
		Une  telle présomption së  trouve  confirmée, d’ailleurs, par  tous Tes  
 détails  que  tm-US  aVOUS  donnél  déjà,  sur  la rivière  des  Cygnes,  ou  
 plutôt  sur le  long  feras  de  mer  qu’on  désigne  iom  : de nom. 
 Ainsi,  giiâes à l'intérêt  que de simples matelots  voulaient  feien,  
 à  l'exemple  de  leurs officiers,  accorder  à mes  travaux,  nousn-qurs  
 trouvons  conduits  à  liné  solution  âttsii.  s'im-ple‘ ' que  précise  de  
 deux  profiteuses  égâléhteitt  Mportâns  pour  là  zoologie  et  po&r  
 l ’histoire  physique de  la Nouvelîe-HoHànde. 
 Toutes  nos recherchés  à  la haie  des  Ghiêns-marftfls  étant  aîfest  
 terminées,  nous  appareMf^nesTe  t j   mars  au Matin ,  pour  fjquf  
 porter  directement  à  la  terre  de  Wit§ •  et  dès lé   lendemain, nous  
 pas^més ; pour  la^sixtemé teps# le ttopique  du eaprfeêriie, Lé  ïher-*  
 momètre  se soutenoit alors de  20 à  24 degrés; le baromètre varioit  
 de  i-n pouces Uiaé  à  deux  lignes;  lé  ciel  étoit  couvert,  nébuleux,  
 èt  l'hygromètre  ifidiquoit  tfé  90  à  ÿ y   dôpés  d'humidité.  Amtfi  
 ênséiâfelfe  de  earâCfêfeS  (toîii,  ££■ )',  il  étOk  fe ite  d é 
 noître  les  régions  équatoriales  au  milieu  desquelles  iioüs  devions  
 désormais naviguer. 
 Le  27,  nôtis  âtteignîmës  la  fiâütéur  du  câp  Murat,  O ù fe lt   la  
 terre  d’Endracht  et  commencé  1k téité  de W itt ;  o^CSt  sur  é§  tféï$s  
 nier  et  périlleux  théâtre  que nous  allons nous  trouver piaeés dans  
 le  chapitre  suivant. 
 231 
 (,•, 'N; B,  P'É Ri©,-fe  a  dirrgé>, PïfeprSsip'ri' 'Se  ce,  volume  jusqu’à  la  fin  du  XXX.*  
 chapitre ;  il'avoxt  moue  coifiimencé  la  rédaction  du  XXXI,“ ,5  qtiand  la-mort  vint  
 l’arrêter, àü tffiiliewt&ÿ^fa carrière.-  II  a  fallu  nécessairement  refondre  ce  travail  'pour  
 -Wtjèhplétcr.sot» diC3i',ràpp3fi4Mfte  mjnviscfit de Pérou  forfne  cependant jlai-feâse  
 et -la! màïtiejprin.c;rgâfâde, ,ce  chagiêre. 
 W$^ffcte\u Q0jvTlîftf,A%EUR de V O'uvrdgeï) 
 CHAPITRE  XXXI. 
 ■ 'TDeiixierhé ’Çapnpâ^Mà  la  Terre de^Witt;  npuyelle Reconnaissante  
 ;  ^.clejlmrmippl. Êotiaparte ; Mouillage pu-xlée^ d$ l ’Institut ; Ren-  
 méontre d’ unêflottillq ’MpImsêp.Pêche, des. Holothuries  ou  Tripans, 
 '^ ’[DîÇaT'Mar-.  auiuB Aynl  t8oA, ],  I 
 D e  taurê§J>es  parties  de  la Nouvelle - Hollande^ il en ;est;,peu  
 qui aient été l'objet d’autant de tentatives  de  la -part des  navigateurs  
 fpuropëens,  que  la terre’ de  "Wïfxg(tom.  l^paçï,  cependant 
 tous les détails,  de Cette  terre immense  i:eâtoifeiit  encore  à-peu-près  
 inconnus, àTépôque  où nous*l’afebrdàméssnpus^mëmes pour la pre-  
 mière|.£ois.  Af®, uhe multitude  d’ilès sauvages, et  de  hauts- fonds  
 dangereux furent découveijtsjbù fixés par njqpAd^une manière exacte ;  
 alors plusieurs points  de là  terre continentale furent .reconnus avec  
 spin ; et en prolongeant- le  grand  archipel Bonaparte dans toute sou  
 étendue, nous avions» marqué  la limite  des; dernières  terres  vers  le 
 t a 
 Cependant „tousqeS.trayapx-,  quelque  int/ressans; qu'ils  fussent,  
 ré'tpiejjt  Bien  loin* de  présenter* l’eiisp^ifele  de  la géographie de ces  
 yastesî‘rjgions > il  nous, restoit  ^pénétrer au-delà de,cce,s<récifs^et de  
 OCS' archipels  nom$ïeux .q® nous  avoient  arretés  dans  notre  première  
 campagne ;  il, nqus- restoit ^r^onnoître  les, détails  de  ces  
 mêmes  îles; dont nous  ayions déterminé  l’ensemble ;  il nous rçstoit