354 VOYAÇE DE DÉCOUVERTES,
piüs simpleque;dêJeS’£aire ajffvg^ed’Qcéan par dive-rfefleuy.es. ju$ï
qu’auxr laçs.où iff .^trouvent étab|is ïnaintenant. Ainsi' ceu^udac
BçikaI, par exeinpîê, y „sptqjÈent vëg|us?;de la mer Glaciale, |e% uns
en, Remontant ^ |^ p s^ %ie^ungqska p| J’Angora , les autres, en
sujYant le cours delà Léna, du^itim, <FuSéIihguef,,&c. Quelques
portions de route ,à faire par terre n’étoient'sans^do.ute pas .capable
a^Trêtër ^es voyageurs aguerris par une trayMsle de^sê^i à huit
ctrnà’lieues ; car on suppose qu|ils^ ont pu faire ce,tte dernière partie
de lëur route en se traînant sur le sol.
, Et cé s.ont d^Ès naturalisasses timables sous tant d au|ïes*ïapp.o,rJ:s,
qui ont pu^créer de pareilles hypothèses’^^^^Mden^éj^es
animaux doiit il s"agît ** avec les véritabj <ss veau? marins de, là JVlé<ü-
terranée, de la mer JS[ pire, de la Baltique .et de l^çean glacial, s|>
trquveroit-elle appuyée du fémoignage des plu$> ilhis?tre| naturaliîl^,,
il SCTnElerdît encore tVnpossible de pouyoï^^^^rtre ; ët^e^i^i^a
simpjeassertiond’un L an,Gros,/d’unIsBRA^ft^ÿdu n f i l r ’
que de telles eixèins*$e trouvent consacrées dans.les annales ae la
science î
L histoire du lion marin fj/hoçâ beûninàj^ est en<tâ~d|ee a
pSses plus graves encore-, s’il esf possible^
j.° Tyois grandes espèces de phoCacés^deS" iners du Sud pnt ete
faussement réunies sous ce nom, et confondues ensuite av^c lésion
marin du Sud.
^ 'z .0 Miette dernière espèce se compose elle -même de pn^^rs^iii-
maux e'ssèhtièllement dîffere^g',; il suffit dp çompaf ct^Pqur s pn
vaincre, les descriptions que Fabriciusc etSxÉLLER nous ônt^|ss?e^s
. Il çofwïent * S s •
ne trouve aucune trace de Phoques dans ces
fleuves.
'* “ Ilparoît assez prohgMe que les prétendus
phoques dès divèrs |acs de la Russie appar-
'dÿfinent’hu "^fenre loutre ; cette présomption
est dfeutàftt plus naturelle) que plusieurs âm~
jmaux de;ie'.demierÆeï)re>ottt ét4> '.à^djÿétsës
'tepris^s, confondus âvdc -ies .phoques.
-, g ;F,A B R I£1US, Faun. ,GroenL: fg,g^:p
itfpo-b., V
~1 >:'W Steïxrr, Nov. Gonx. Petropol. vu/wfll*
75ï)».l -
AUX TERRES AUSTRALES. 355
du lion, marin antarctique, Pla^f|l l’un et l’autre sür un théâtre éga-
lenient ravoràble^Bc OûservaéM®P(îo!C^genre, ayant vécu plusieurs
nn îCt f^tre^ntoin^feis animaux qu’ils ont; décrits , ces
naturalistes célébrés nous termes de comparaison
;'lgl]eméht '^éqi^lèg^^mënt frfecusafc: ^
^e^u|tesq^q^qe|ftec(^9mp^ai§njn ,,.(que le jihoep, ; lésina- de
T A. B Rtc ILjS. idi fî'ere du ÿjiâui leapiyi^ràp STrr.xj<Bj-I
ï» 1 \ Par -les p R © j P , o L e jion;maHm»aie FabrjciuS n ’a
^:ue.g ^ S^pi^ds.jde lo n g u ^ |p t|||^S ^ ^E R dit pp^itivehg,eRt du sieiif
qu il est p,Iu^ï§cand qt|e les^qqrs j^e ,jner : ,«■ Jl^agnitudiTie, bis,
%fîkm^ W Qf eM eP-P'M^e'jM^ su^ I ieàâ ’J- ;Mais ,.d’aprè§
le»«némç Seller, fe^oui;s. marins qpfyy jp.8'pieds de.longueur/;
^ ' Une ÉP*S fins petite que
réelle d.e St^xler.
LA forme de in^|T*xp^’F||e)^ècq;r|e Fabricujs portq
^ur fe %#t unessp^e,de.gros,^uboronles ^ù/ceptibie de ,se gopAer
comme un^^ss|e, ex carinékdaç^sa partie moyepne ^ 5 Steller ne
dit rieu.djunë: confirmation aus.si iextraofdiriairè^,
3. Par la disposition des narine^.' .Indépendamment de§
yeritables 7îarines ,;dit Fab'ricius, le lion marin en a de fautes dans
tubereufe, dçnt il viem id’^tre^fait unçnnpndÇf te nombre
defefauss«s, narinçs yafie d’uhe à deux,'spiv|pt fâgçf I^Vanimaj
de Steller ne pj|sp'qjte rien de^çmbiable g tou^cqja.}^.
4. Par la coüLEqjniP^^ VEy?.a^t|fis dans le phoque de Fabrjj»
^l ÿs * ; es f ; dpis çeiu| -4? d’ivpire
poli gfwi
\ ,5- PAR fa forme des nageoires.* Celles de devant, dans
I animal de Fabricius, '6'nt> fe. Forme d’un pied humain, et le pouce
K H E «'â- pag- 1 « bp. cit
^ O p j d ^ j ^ . t M j / ^Op.
a l °p-cit- Pag. jé>;-% '
^&©p. cir. p tg '^ m
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