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 »;S.  O .,  du;N,  N.  E.  au-S,  Ssd>.;  et  de  l’E.^M'-. ■ £;-  à  l’O.  S., O.*  
 »3;SQnt, pour  la  des  vents  chauds  et  see&"»i'&é 
 Que  s ild n   cherche  maintenant à  éomparer GelvEésu^  de;nos 
 recherches  météorologiques  sur d’îîe  Decrès :;avecoeux  du même  
 genre  que  nous-avons  obtenus-à  l’ileK in g / o n   trouve» que  le  thermomètre  
 s e,st  élevé  de  B^ jfe   plus  haut  sur» la. premièrede -ce^es.  
 qué-sur  la. dernière-; que  le* terme moyëpde la chaleur,  quin’avoit  
 été  que-de  i^ î jdans  la  baie  des  Éléphans,-est.de  ï0?,$U pour d i e   
 Decrqs,-;  et  quemcelui  de  i’humidité  €§&,&:&  ce  »dernier -point,  de  
 i;®Iîiî8 naoindre: que  sur l’îte King.  Sans doutesdeHfiiifesdrfFérences  
 ne  sauroient  dépendrede  la  position  de  deux, endroi&si>TO-isins*  
 mais  on  en  trouve  la  cause  réeUedans-la  consdtstion  opposée  
 jdes-deux  îles-  que  je-  compare.  Ainsi ,  tout  stenehanm.dansîJofo  
 servation  des phénomènes  de  la  nature  ;  la  aonnoissatïoe^eltétat  
 physique  du-  soi'éçlaire- ici  Fhistoire  météorologique  de  Hé:,  et  
 toutes  les J'deux >ensenible-tvont  prêter--  d’utâtes-tsh cours  au  naturaliste; 
 ,  ;  Les  produits minéraux  de  i’île  Decrès ,  nroimttvarMs  que  ceux  
 de::l’îlé  King,  odrent  plus  d’intérêt  que  ces derniers.;  ils  se.comp 
 o s â t  -essentieliesaent  de  diverses  espèces  de:  schistes  primitifs^ 
 quelques  vd&e&éh  quartz  
 opaque,,le plus oïdmairement blanchâtre-,  et quelquefois rougeâtre.  
 Toute  la  pm ie  »occidentale  de  la  haie  Bougainville  est  principalement  
 composée  d’ungrès. ferrugineux xouge e t   très-d*r  :  «est  
 à- cçtte  roche  singulière que-fc cap  des Kangoroos,  celuidu Géa-  
 ipraphe,  lé  cap;JlO:Wgë*ei  le  cap .Vendôme; doivent  la  tejoe®  rougeâtre  
 et  sombre ^qui  k s   fait  distinguqBsâu Ipin-  
 .  Deux  autres,  espèces  de  grès  existent  encore  sur  Fîie  Deerès  
 l’une y  primitive,  quartzeusesefc t®es-compacte.,' dorme  des  paiîtiqs  
 d e  côtes assez étendues;:!’autre, secondaire,  cal caire et moins dure,  
 joue  datis l ’histoire  géologique du sol un rôle sinon plus important, 
 au moins  plus-singulier que.là;prémîèrë  espèce. Ç2est  au milieu  dé  
 cette 'roche que  sont  enfoftis -des  arbres, on  pourroit dire meme  
 des  portions entières' de forêts pétrifiées..  .  .  En  plusieurs endroits  
 ou  les  dunes -sont  taiitees  a  pic,  on  distingue-  parfaitement  les  
 troncs  de  ces  arbres ;  on  peut  en  surivredes plus  petits  détails ;  on  
 voit  leurs  rameaux,-également  pétrifiés,  S'enfoncer  et  se  perdre  
 dans  la  gangue  commune  :  il n’est  .pas  jusqu’aux  plantes  parasites  
 et  grimpantes,  qu’on  ne  retrouve  dans  le  même  état -de  pétri-  
 feation, et serpentant autour »des arbres dont  ihsagit. Sur quelques  
 points,.tes  dunes • gréé Uses' ;se -sont  éboulées; des-déJeembrei en o n t  
 étfo suoéessivement -entrainés^par  tes eaux,  diSpérsës p-ar les  veiîts :  
 letsoi s;est aplani,  et présé’méèdtes- «u-rfeoes  plus ou moins égale-s>ét  
 quelquefois'■"■très-étendues.  Là  se  montrent,  d’une  manière  plus  
 remarquable  encore,  les  pétMficationS”si-ngulières  que*  je  décris.  
 Coüpés  naturellement  au  niveau du -sol,des troncs des  aibreg forment  
 comme  de  larges  mosaîquê^tVén  exain'itiaBt  ces  tronés  avéè  
 beaucoup de  soin,  on ynèconnoît eriteoFe  fesdiveîses^eoifohes  du  
 tissu  ligneux..  .  L éàpritétOnnc' s’arrête  sur<un si  grand  phénomène; 
  et cherche adecOuvrir dans- la natufèdé principe et levagens  
 -damendlemaétamorphose.. Nénis^diiods,  damle<ohafitaé têxvti,  
 quels-paroissent être' ee^agens ;  tontæntohs-housdéhd’avoir eVpohé  
 f e î f a b s - r 1 il 
 ' ’Sur ^Jusiéùfs  points  de  da  baie  BOugariiVille ,  on  rencontre  
 deux.espècesdepierres-calcaires : Fune,  d’tin'grainpfetv serré;  d’un  
 tissu  pius hofttogèWe,  -se  rapproche de  la  n^U^dè^grSl-; feutre  
 ressemble davantage aux sUktà-ncrsorëraicêest-Gès pierres étdéaires  
 som ordinairement superposée au* *oêto*^imtétrses /UMsbqu adx  
 |pis primitifs  :  on  les »observe  à-pferdfe  y ^ o â rô o   pi'êfes ‘au-dessus  
 du niveau?  de  h  mer,»ot ?à ^ t t e  •éléva*tiMr%'fies%emfendent''une  
 •grande quantirédè détritus et  de  dê&rfe  ëte d d q n â lè 's^ é trif^ / H 
 "Le  sable  du rivage  est f S A N   de nature'f&artzèuæ,  nielarigé  
 dejwteonmnecmqu^n^paitte BRI