
 
        
         
		4 iM>;  v o y a g e   d e ;d é c o ^ è r t e s 
 fut assez  heureux paur.eniepâfun  navire-  Espagnol  à  bord  duquel  
 ■ étoien$, trente beliers.espagno^s. d’une  rare .beauté»  que  la £our.d’Es^  
 pagne  envoyoit  au  Vice -roi  du  Pérou  cette  capture  pré^Mfy  
 placée dans la:ré^-v4e du Gouvernement au  port Jackson,  et mêlée  
 avec  lè |   brebis1  dæspagner qui  s’y trouvoient|pmq^4pmil |l’ÇI^t  »  
 ^complètement  réuÆi'^ que le  nombre ydesf troupeaux  (le^érin.04;©§.t  
 aujourd’hui^ très^ponsidérablq,.,*et’ qu’il «stà peuj,de „ propre^res ; qui  
 n’en  possèdent  sur  leips^ habitations  :  j’ai  vu   mpjr^êm^  peu^^p |  
 M M ..  C o x   et M a r s d e n   avec un intérêt difficile à  dêé^ir^l^ 
 Tousdeâ.6pïons|‘,que  j’ai  consultés, s’accordept* à dire  que la j|ace  
 des moutons* mérinos^, bien loin  d’avoir perdu de.^f spprf§e.^pn jà j-'Ia  
 Nouvelle-Hollande , ,ÿ  gagne  au  contraire  chaque- j&ur  davan^tge.  
 J’ai eû_QGcasion  d’examiner une^sui^e^’éQi^tilLons^c^Iaine ^e rg§e  
 espagnole .d’Europe e t dé/ace.<çspagnole4^ ^ V ^ ^ tî^ 1^®^f^e  
 \cette dernîëfè nie parojssQit  efîèçtiye'meîitp|us  longue, et plu§-fine.  
 Cette  double  série étoit destinée au ior^;^YD|^Ey ,-çJ’u^d d|| jjff PtC<>  
 ,tg|irs.  les  plus  zélés;de.cette  colonie lointaine.  If-pariOit: ihêj^e|qpe  
 lés croisemens opérés iurdss races d ’Afriquerefjf A | ï^ nt. t^tenu  
 (^||ésultats favorables : lè poil detggs derniers  animaux  
 tivenient chaîné en une laine très:QQurte, fine  efereppei  onjM^p  
 en retirer avant peu de  nouveaux  avantages, jk 
 Toutes  e§ès  laines  de  la N^uvelk-I^3iandàspnt transpq||^à^n  
 Angleterre, où elles se vendent'concurremment aveOipikiries^d’JSs-  
 pagne lejlplus belles^^t même  à un plus, haut prix. Dad|= up mémoire  
 fort  intéressant que -jVL A rtïjçr -^ présenté au  Gouvêi|qepient .an-  
 glçis sur les moutons  de  la’ Nouve11e-Gaj|es;du SpcJ^  JI  prpu^e que,  
 dans toutes Ig?, ventes, leur laing a eu la-préférénqe^Ce. mêm^rauteur  
 prétend même  que  telle  est la facilité prodigieuse  avec  la q u e lle^   
 troupeaux s y.multiplient,  qu’avant qu’il spitvingt ans, Je  commerce  
 d^ la în e s  seules  rapportera  dix-huit  cent  mille  livres < sterling 
 T,  3  M. Arthur^ ©fficieridu régiment de  la i  erfiffe j -pour sé iivrer'îént^èréfnejit  au S sôïnS  
 IS’o û y eB é ^ a ^ ^ d u   S u d ,‘quitta  le  sgmce^  de.i'agrâîuhurp, et" éle  ^éducation  des  bes- 
 "*  [environ 
 a ^ a tæ r r ^ - à u s t r a l e s .-*  *  4 r^ 
 | K l l ’Angleterre ;  
 et^cettf^asseéion;qüelqu|  extraordinaire  quelle  soit,  me  semble 
 W   moutons 
 .«prèles  di^ér^mès JTabitatipps W montoit,' en*i 802,  ,à plus de  huit 
 I  fa r, les: soins  qu’on  
 ^   température  leur est  
 suravorabl^Alafmatuîé^s |^erl|ès eiflffiêffiîê^p|lariïeS,  qui presque  
 to,u||s[:son^omatiqç^,  leu^re^-salutaire,  qf^>arcourantmoi-  
 ne pouvojs, m|^as8asi.ër'de la vué de ces  
 maguifiqùe^roujièauX*Nqus[pbu^ons dpnc en  regarder les produits  
 comme’ la  source;, prochaine  d^r®Smmerfe  trÿ-avântegeux  entre  
 atq|lonie^et lamé^opplÿ, quE p a r c e t r o u v è r a  dispensée"  
 <|p  tribut  énorme  (^eMpàiÉà' f^spagne  et., aü  Portugal  pourdes’  
 m m m   manufactures. 
 ' ? ari# S e  le :R ^ e r ^ E t ê « e u r  dé^i eglonie  |relad  chaque  
 jour uudé.Yefôppe^tpius.rapjde etpfüs v^tè-^fefui de fextérieu^  
 q u a î® g e  ja p â fte  %è ^ â f f ia le J i^ e l^M h o ^ ù y q k ie n t  ’encore, 
 j’ai dbnnéÉahs 
 Iq x x iii.'  chapitre ^ ,( fg t   ouvrage,Confient %téréssa$i  tableau de  
 cette^êehe.^dur  ,re{qui.Qoncème  î f e f ÿ h o q u f c t  f  én À t$ . pu, y  
 voir de;qiiê|l|h a^ e   imp ùmn ced le   é s ifp u r je s   Ângiois;  pfi  aura 
 , f  ^ x-  i t g -  bétai^^cétte  epbqrçjè ; c o ^ t 'o it 
 ^feitSoptyaihL-s,  diir d'3 ouVe^!^nons  c f  l^eiife  
 cochHaa-;  f£ .i^ E iX k Sl‘‘  <Jtjdcf.-ioo1 
 mHl  j»9**3?'I>t tc  a (.orno, it d’un juainn're'j  
 c 0« sfdéîabl e "dè  cb|ht)nss;  en "outra,  iL%on  
 ve^du^a^x ;aijtres hamia^.vîa^t  miifà têtesr 
 Lorsqu’il  commfeïîça  Api^aiÉsii'&IIel 'sp%n  
 cnîatter), la viandfe  de  
 6  pences à 3  sc'KelIings*^! 
 -h   Kvre'î'en  r ? i'i,  rlpouvoit  c’S ïô ’ 'rno' ÿù  
 ^uuvernement ^ -9.  U''|Pj.rentmip. 
 ^MpY'$   Wales o m e t t e - 
 % î !  >f  i  f   ; 
 I  du  nombre  d iÿ 'fêstlq ip^m   
 '$  Yf f   e'ta^de’ domesticiù'i an. port-Jactiçofi, 
 ykistoïent 
 àdiperses 
 t  ‘ANNSfes.- TAUREAUX; 
 ■ et Brebis, f 
 f c.oçhôns,  
 ;ét TruiçsV ; et Jumens. 
 ■  w i 4 - ' '  4% ^ n » 
 ■ 18159. ; 
 “ iBbîe. 7 8 *91..',  f 
 Î 'é l4 ; V ç » f  - 13%   i   ^ 
 1 ÿs-dà; î 
 T. F| 
 -Péchés de la  baleine  
 et  des  pho-  
 •qdfes.