
 
        
         
		30Q  V 0YA&EÜDE  DÉC O ETO RT£$ 
 ». Ja  profondeur  ne  peut  les g dérober  à  la  puissance  de  ce  feu  
 ».électrique,  . 
 i ,  {$>  I f  ne • faut .exposer  aux danger du  transport  que  des  poissons  
 »  assez forts: pour, résister  à la fatigue^ à  lateontramté^et aux aüttes  
 »  jncon?éniens Mé  leur  vQfàâge, -A   un  a®,  $0 ,  animaux  seroieni;  
 »encor©  trop  jeunes ; l’âge .1© plus  èonv.enàble pour les fairejpasser  
 »  d’un©  eau  dans  une  autre,  est  celui  de  trois  ou  quatre  ans.  , 
 »  On  ne  remplira  pas  entièrement  cfeau  les  tonneaux  dans  
 »  iesqueüîr ori  lès  renferme *.  Sans  cette  précaution, 
 » montant avecVapidité  vers, la surfece  de  feau,  bfesseràîent  leur  
 sr tête  contre  la partie supérieure  du  vaisseau dans lequel lisseront  
 »  placés. Ces tonneaux devront d’ailleurs présentefmn grand espace.  
 » Blqch,  qur  a  écrit  des  observations  frès-utiieSrsur  fart  délêver  
 »  lesanimaùx  dont nous  nous  occupons, demand#'qu’un tonnèâù  
 » destine  à  transporter dts^pois&onsdu  p oids 'dë^plcïlOpafiimés  
 ttvres  OÉ  à-peu-près^],4  contienne*320 * libres  ou  pintes 
 »  d’eau. 
 »  Il  est même  nécessaire  que  vers  la  fin  du  printemps;  ou  à®  
 »  commencement  de  l’automne,  d^est-à-dire'lorsque  là'chaleurrest  
 »  Vive  au  moins  pendant  plusieurs  heures  dmjour,  cette' quantité  
 »  <Peaù Jsoit  plus  grande,  et.soùvèrit  double:;  et  qütefeqnfe:s©it la  
 ».température  de  l’air,  il  faut  qu’il  y  ait  toujours  une  communi-  
 »  catibn  libre  entre  l’atmosphère  et "l’intérieur  du  tonnea&,%bît  
 »  pour  procurer  aux  poissons,  suivant  l’opinion  de  quelques -phy--  
 » isfciens,  l’air  qui  peut  leur  "être  nécessaire ,A?!>i-î ’Ipour  p isse r  
 »  échapper  les  miasmes  malfaisàns  et  les  gaz  funeste!?* qui,  ainsi  
 »  que  nôus  l’avbns;-déjà  dit  dans  cette  histqire/  se  forment  en  
 » Abondance j dans  tous  l,es  endroits  od  les  babitans  des  eaux  sont  
 sp  réunis  en  très-grand  nombre, même  lorsque  la  chaleur n est pas 
 ~  h  Pour  de  longues  traversées',.- des  jarres  en  terre me  pàrqisVehtfJd|ÿGfir^ci.re  préférées  aux  
 barriques, dont le  bois ,  en  se  déc^^osant,  peut  fournir  des  miasmes 
 $ tr^ Jb |^  ^ieÆ;,leur id(»nent lamort  souvent  dans  un  espace  de  
 .temps  çx-trêmemént  court, 
 *  ■  » -Maïs. Jpcipp16-^.?itupirauxy,^ iniéQe,ssaires;  aux  poissons  que 
 f^o®  ^ i t i^ a g e r^ p u î r o ie n t ,  ^is  étaient  fait$  sans  attention,  
 ?y,lqj^fç  Ài^eauj  d,çs ;m0apînens  trop,, fibres  et  trop  vioLens  qui  
 »  la  feraient  jafijp,.,  pousseraient  les. poissons  les  uns  contre  les  
 S  autres« les frois$©ç©ie®t^je^hlps£©ra|pnt, mortellement,  il $©ra  
 >^jbpn  d;eh?uivre,  égard  J#s*$pnseik,dq  Blqch >  qui  recom- 
 ?   la  trop  ^ràpde jagïtation  de  l’eau  par  un© 
 »  couronne  de  paille  ou  de  petit;es? planches  minces  introduites  
 ».dans  Je  tonnçau,  ou-  (en  adaptant  §  l ’ori&ce  qu’on  laisse  ouvert  
 »^un myaUj UB,  p;eu  lojig^  termjnéjen  p o in t e e t  p&rçé  vers  Je.. haut 
 *  de  plusieurs  trous* qui établissent  une. communication  suffisante 
 £ J?pt-rej J^i|^t<|rieur|et  I’intéri&^rvdu .^ s s e a q ....   G’pst  avec  de^ 
 »  précaution analogies,  qu©  .XyL*  on  a répandu daûs 
 *  piusieurssçpiitréçs.de l’Europe, des^spèce^ préçrçuses,de poissons  
 a»'dont  on y était priyé^Çîgst  en  les  employant* ..,, quon  a  peuplé  
 » ^ jy p r im   dwés  de  la Chine,  ies,jgaux:n$n^eulement  de  France*  
 ».mais  epgpre d’A n g le te r red e   Hollande)et d’AJlemagné. 
 ,  Wi Mais- ij^gstun- procédé  par le.n^yen duquel on parvient à  son  
 »  but .ay^bien  plus d&^ureté t  de  facilité  etr-d’économie,  quoique;  
 » beaucoup pjp§Je®tfm©nt. 
 .  consiste  à  transporter ,1e;  ppissori .j  non  pas  développé  et  
 ».parvenp.|^  une-  taille  plus  ou  moins  grande,*  mais  encore  dans  
 »  l’état  d’cftibiyon  et„ renferm^dans  son  oeuf.  Pour  réussfiupln  
 »gisement,  on  prend  les.hçrfies,  ou  les  pierres  sur  lesquelierales  
 »  femelles  onc*fdépo§é  leqcs  oe u fs^ tjb s  mâles  leur  laite,;;et  on  
 »  porte-,  dans,un  Va§6-  plein  d’eau  ,  jusqu’au  la c ,  à  l’étang,  à  la  
 »  rivière  pu  au  bassin, jjüe ;1 on  désire  de  peupler.. . .   Si  le  trajet  
 .»  est  long; .on  ,changeas,ouyent  l’eau  du; vaso;dans  lequel  les. oeufs  
 é«.sont. transportés. 
 La  qualité  et  l’abpndançe-de  la nourriture.  . ,   .  sont  aussi- les