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 f&QÏsSént avoir  été  faites par  des  hommes  très-Mabsturs ;  dans  plu*  
 %reurs:ty>oii-'SFm^uë-  ni  les-lieux,  ni  fes''latitudes  où  elles  ont  été  
 pïisèsA  èt  lorsque  la  latitude  est  donnée,  jamais  on  ne  distingue  
 si-Mlgfêët  Nord  on  S lfl^   enfin  on,  ne  dit  point  si  on  jfëg  a  ÉK  
 ÿé't’é-e’Sf  en  pleine  met^Ou  le  longf'dés1 côtés;  De  l’éqüateur,  elle!  
 paraissent  av’Oiif m lrMé0$téek  à'dfvêrifes^épcKjues  sâns  doute  et  
 par  diVetses^personnéS  jusqu au  y sd   degré)  En  profondeur,  elle?  
 ont été  variées depuis^dlfede qüefquespiMi,' jüsqu’à la profondeur  
 prodigieuse",  sM e a  n’-est exagéréI â ê ^ i6 .  Quant aux résultats,  ils  
 ne ■ prés'entent  pas,'il  féx  vrai;1 cettè  constance  de  rapporta  quon  
 trdüvè dans  les  ‘exp'él^eei-'dWoRSTER >et";^^¥1^0',  et  dans  le?  
 ^^.ienné^', mais,  ce  qu'bn  ■’p  voit  d’üh^  ‘manière  positivé”,'  c’est  
 ^■ qire  la  températkreYde  la  'jxêp^j' a  d^èï^^éroFqp^^®*,  n’est pa?  
 Sonstante-,  quelle  tféJÙp’âs  unifdfmé';  quef lè jp i i t   varier  depuii  
 1 Réaumùr  jusqu’au  pointjs^&l'â  congélation.  Ainsi  donc  il  
 n’â  pas^>é  fait  encore  sûreette  matière  üfeejfljbüie  tentâtité  dont  
 ieÿfësùitats  ne  f o u M ^ ^ d e  nouvelles' pÿeuYe^djA cèitsêquenceè  
 qùe ’j’ai  présëfiSéésy et de édiles  aussi  qu’i l -mé t'esté  à réunir  à me$  
 précédenieSi,  ■ 
 spVèyez  pag.  34Ô  bti  le  tableau  général  dé  tous  les  résultats -des  
 èxperièikea  faites  jusqu’à  ce  jour Mÿ- la  lêltnpéiàâi#é;idé:-  la  mér;  
 §ôit  à  sa' süffacè,  soit  à  diverses  profondeur?,  le  léïïg de?  rivage?  
 et  en  pleine mer. / 
 Telfel-sont  ieè'(t‘Onséquenëè¥^énérafes- dé med expériences  sur  
 là  teiùp&atune  de  fa  nàer.  Pendant  près de  quatre  âns-pjjé^Jès  ai  
 faites  eôtts  bien  des  climats  divers,  et  j’osé  assurer  que  cès  résuf*  
 tàts né  sont  pas Mdigïte#dê  îâ  eonfiâncë’dè^phj'siêflÈns.  En  effet1,  
 quelle  qué puïslé être  léèrr ôpinionAèr les dernières  conséquences  
 que 'j ai'|fù"pouvôi'r  fen  dëdùÉè,  les  faits  euk-mênïes  en sont  tout*  
 à-fait  indépendans/'Ce'VéSÏ5 pas dans  Fombfe  du  înystère  quetneS  
 Observations'ontë té  faites ;  ce ùï’est  pas  noif plus  dans  le  cercle  
 étroit  d’un petit nombre  «fiamis  trop .coinplaisans,  quelles ont été