
 
        
         
		» et ainsi des autres points,  le long de  la  
 »côte  jusqu’au  cap  de  Nuytsb,  même  
 » jusqu’à  la  plus  petite  île  porte  un  ca-  
 ».chet  semblable  des  découvertes  fran-  
 »  çoises  ( 6 ).  .. 
 | PLINDERS ajoute en note * : <*Cës  jîas-  
 »  sages  les plus remarquables  à te  sujet,  
 »  sont les  suivans'i  sous le  titré  de  Terre  
 » Napoléon : » D e et grand espace  ( la côte  
 Sud du continent Austral ),  la partie seule-  
 qui  du cap  Leuwin s ’étend aux îles Saint-  
 Pierre et Saint - François,  était connue lors  
 de notre départ d’Europe. Découverte parles  
 Hollandais en  1S 2 7 ,  e lle   avait été,  dans  
 ces derniers temps, visitéepar T a n  co  u v er   
 et sur-toutpar D e n t r e c a s t e  A UX; mais  
 ce dernier navigateur ri ayant pu lui-même s ’à-  
 vdncèr-au-deln deSflés'Saint- PierreetSaïnt-  
 FranÇms-,  qui forment  là  limite  Orientale  
 de là terre de N uyts,et les Anglais n’ayant  
 pas porté  vers  le  Sud leurs recherches plus  
 loin  que le port Western,  i l en  résultait que  
 toute la portion âëmprise entre cerkrhiefpoint  
 et  la terre de Nityts étai t  encore inconnue du  
 moment  edi  nous  arrivions  sûr tes  rivages  
 f p*g-.-’3W V 1.^  fe 
 ^ j o  msns VSba.  M'. FÏRiMr kûrbït  dû  
 » dire,’ttèirpas‘qtte ïaCÔtfedû'Sud, depuis  
 » le  port  'Western  jusqu’à  la   'terre  de  
 » Nuy ts  j,  étoit-  aîorsi  inçonque  ,  mais  
 » qu’elle  leur était incpumie ;  car  le  çapi-  
 »  taine  G R A W f,  the fm fy 
 que  nous  ne  pouvions,  tes  connoitre  ,  
 puisque,  pendant  le  voyage,  ces  gojfes  
 furent  nommés  great  zt,.Httls  Inlci a  ;  
 circonstance qui  prqyye  ïà jqstqsse  de  ce-  
 que  je  yiens. d’ayancer-  dans  la note  pré-?  
 cédente,: relativement  à  l’île  dès  JCangu»  
 tops. 
 tjWra^-Dbûlief  'des  noms-- -à'- dfeî-}térres  
 nouvellement  éônmïès,  tjur ne-* sont ,Jdé^  
 crites  fet notûmées  dâtis- aucun ;ddffàgé j  
 ce  n?est point  déclarer  qu’en*  en  a  ftif  
 la  première  découverte ,  comme*  Pinsiriue  
 M. ‘Fti3?ti>RRs  ;  ' «^sttjiavotîef  qu’O nne  
 connoisSqit  pas -les  noms IîmpôSéS-'par les  
 navigateurs antéèédènS.-Mais cMMgértef  
 noms  eonniis  et Jcbhsacrésv pour y-substituer  
 une  nomenclature  nouvelle,  iPest  
 point âvissi mHecèttt:'jte-pourmfc'%rïfb’ùi,;-r 
 nir-feéâÈdéG^p,'d%xempîeslf  Wje  
 me  borner-S^üstBer PÊRÎQir f,f jë-vtttilôi£  
 me  livrer moi-même à;désrééritriihandhS:'  
 mieux  fondées. 
 ».  Voy.  les Annales d e s , ç a A â î r ,   
 b  cap  Soufflot.  (  Foy,  pi.  2,  at|. :z.t part. ),  - 
 c vÇg qui pst.^rit 'en ital^nejoluws'jdea^uilfcraets!, est extrait de PÉRON-parPLEMBERS. 
 » Nelson-, avoit découvert en’-ÏStoo la pore  
 » tioii  dés riVages' qui  s’étend  à 1’Oüest du  
 »port  Western  jusqu1#  par  la  longitude  
 ».de  i&o» qE\  54' ‘4 j "E .  P . S 
 »  avant què les bâtimens eussent faiï-'iioîîê'--  
 ss d’Europe, mqljet j’a^ois  exploré  I? cote  
 »  et  les  îles  éoinpf;isés’  entre  Ja  terré! *dê  
 » Nuyts  et  le  cap Jervis par  13 30  1 a'  de  
 »  longitude à l’E. de G.  [Jftb0  k f  4 y”',E  
 » P. ] ,-<et jsêtoi% jfe jolir1 cité1,  à’ l’ëxtré-  
 » mité dû-golfe rSaiat-Wincent.  , g 
 f^W êi^Pçe  rnqtnènt,  J i'yGàpihtiàe[dHglkfo  
 mué  Wéld  ,  -in  nms  demàn'dWD$i'jtoîtS  
 'n’4Mens pas  tin  des  Vdiséeêmx- p iétts f>^e  
 France  potir  faire  d è è s f É M W j Ê m   
 l  TiérAisphtre  ÂùStrâl  :  sur  notre' Üponst  
 affirmative DU f i t  éusSéi6î*tfté¥fré àne'Pmt  
 èüjctdt}bnrà  là  met,  èt peu- d^nsMns^finî  
 Ùoûs'd’e m'pmtès  t-bbrd. ^Ndtci'-dfipiîffie% ‘qui  
 'c’étoïi  le-  GkpiMmeEPiNU'ERi j&Pêîûî-ik  
 meme qui avdit déjà fditdaréircôtiriàvifdÈdn. 
 de  là  terretâ'Hiéfoénxquè^&HÊfyih' §é‘  
 n'emhiàÜ^iê- MvësÇigàfor ; que, pàrtidHir-  
 rof e  d-epitiDMil 'm iŸ,  danb' l t   tfiiséin  de  
 èàmpléier lu  'riidnrrb&sStcéde' fa -fiMVèl/e-  
 Holtbnde et des Archipels 'dû 'grtind' Ôcédri  
 téquatofïal p'M  fe ‘  trouv^tud ^ u É ^ ififm 
 dois  mois^à la  N'rredêNh.yiMfque,  cont 
 r a t  par  fesHents,' il"•nàVoitpu 'ipiiiêtrer,  
 comtpe » 1%  avoit^eu  le qfiofietft4;èrri&re des  
 fhsSamt^JPierre efSaint-Franfois; que/dorsi  
 de sondépart d’Angleterre,, 
 Jm  nous fium m ant  Uus  ces  detdfffis*  
 AT.  Fl iNd e r s   se  montra  d’une  gtàhdc y  
 réserve  'sur•  SÔT %péràtiûns- particulières.  
 Nom  apprimeS'ftSntfois fp à r  ifitd^ueiiiins 
 *0^(Wf'Nôus  de  poüvioris  en  effet  alors  
 ûVoîP’dôltob'issàMÊe’dtiWo^lfè'  du  Capi-  
 tain'e G rAStt.  A u  reste,  il  convient  de  
 faire ’ébsërvër  tjue  là  carte ^dcmiée  par  
 M. G'kA'Ât  eSÏ ;alsèi' défectuèÜSe,  pbür  
 qû’il  soit  difficile de;retonïiôÜtré-les portions  
 de  côte auxquelles’ ce  navigateur  a  
 vbuTÛ' ïihposéf 'dês’ ‘ftoinS  ’v 
 .,  *  NarratSfreJîf a   peifoïflîed là the yéirs flbe- r'Sof ahd 
 1802,  by  James  Grant jtEondonH  .1