
 
        
         
		pour  doubler.  Je  cap  Boullânger,  qui  forme  la  pointe  S.  O.  de 
 ï’îJe  Rottenest.  jjg 
 M. Freycinet,  ainsi  que ,.,jo viens  de  lè  dire,  nous .y  attendoit  
 au  mouillage.  Aussitôt  qu’iReut  découvert  îe^Qéographe,  il  mit  
 spus  vôïfel,  et  ne  tarda pas, à-opérer  sa,jonction  avec nous;; alors  
 les  deux  bâtimens  prirent, leur  direction  au.Nord,‘pour:,s^> rendre  
 directement à la baie des Chiens^Marins. Le Commandant de notre  
 expédition,  en  effet „  regardant  la  terre  d’Édefs  comme  suffisamment  
 connueTpar  les  travaux  réunis  des’  anciens  navigateurs  
 HoIIandois,  de  D am p ïe r ,  du  Naturaliste,  et  par  lês'jjptYes  
 xnëme,  avoit  résolu  d é ’ïie  passif y varrêter.  D ’apres’  cettè- détermination  
 ,  nous  nous  éloignâmes  dés  côtes  d’Édels.^pour - éyiter  
 les  Abrolbos.  Le  i 4  au  soir,  nous  dépassantes  la  hauteur,dq, Vms;  
 écueils  d an g ereu x  et  le  16 ,  dès la  pointe  du  jour  mes 
 connoissancè/  de  lâ  portion  des  terres  d’Endracht ,*q,uit formé"  
 avec  file  Dirck-Hartighs’,  l’entreç^Sud  d'e  la  grande  Raie  - de,s  
 Chiens-Marins,  ou  nou§ ne  tardâmes pas-^laisser  tombèffançre.  , 
 C H A P IT R E 
 C H A P I T R E   XXX. 
 Nouveau  sp/gur  à  la  Terre A ’Endraçht ;  Entrevue  périlleuse  
 avec Tes  .Sauvants  de  eette' \ontre&s;  Description  de  leurs  
 diverses?  especês  d ’habiiatiojisï' 
 f D?ù  'Mars  ] 
 '•  D é jà .,  dan^Ie  vl*  chapitre, Hj^oire,,  j^a?  tra céle *   
 tabüeâuipKysiqS'ë de  labaieÂIes  fiRi'èns-'Marfnïî|%éjâ / dans»' fe* x n .e 
 ' L.  F R  tà; fâitR^^p^ftreS^ÿprincipauxi > résultats. *de§ 
 opérations'  géographiques  uXécut^jè < par  ;M‘.  FAq^lfteVlui-.  En  
 reparaissant  sur j^fes&looidîq >jaotic<buî^cî>àJi>®‘-I S i è T dy* recueillir  
 lephis ^rand  nombre pbb’s'iéje, de‘^êS grandes Tortuesiqsûi ,* lors ’.de  
 tïiotre. preniiei^^jsÔûr^^quvroient^poürJailIs^di^ralÿStyaStë's.bands  
 de êable  du  hâvrpT^ifîeli®,  |tom.  l^ p ’â£.x Aiqèt effet,'nous  
 Sommés!.,1^®Mper le mouillage  du N a m k a ^ e  ùt la baie.-dè; Dampier; 
 i^marst-aû .mâtiny  nqul^yAliissâpies'ttopiberTiancre  par  
 -c iffq^ à fe^ g fon d   i c s a ^ ^   lin.  BiciTtwt'^à|lfes*J M.  RÀns^|®net  
 partit avecdpux èanôt%»f^ür.'alle^?fiiirîC  laqiêwèt^és5animaux; «font  
 Re viens  de  parler*  et« M.  T .  F r eY c iC ftR?ç ( u t%rd§é^ de iceeon-  
 noître,  a-véOplusfde .détails  que  nôîd^h’a'^©4U;S?|pu||| faire  dans.la  
 première1 campagne ,> toutèsbo^lpâ-iïtieïde la baiçï^HÉ||du mouillage  
 où  nous  étionsM^^prolonget%JÊfsHe^ord,  jusqu’àpiPoxtfémité  
 septentrionale  de 1-île  Bcrnier.' 
 A  peiné«;;%^  premières-tdispos%Jdné  yââOientej’d'4i|p  arretées«,  
 Uorsqùûm  de  nosHf%r^|fe^'qui tÉÉjÉ depuis.*  qui^^^p ftëures^éfôit  
 parti potipallér pfffrel- sur  la t ô^t.yowMiô^'UféÿinTpÿiéGrpkamment ;  
 la  frayeur  étoït èncorCpe ièiK;v^uFm^isdge$elo«iux: de  no&i^ënV>qtù  
 le^montoient^  De^l|lfôrnm^ d’u n e f'M ^ lp i^ d ’une • grandeur  
 »  extraordinaires,  étoient  feffgljtfssV* dfe^à«^ilsi|^opp'oâerb à  leur  
 TOME  II.  .  r  C e 
 PI. i lh, %*