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 en  est  de mémefdesLîeabanes^dontpai 'déjà parlé,  niais  qu’il  eon-  
 vient .de  faire  connoître  ici  dans  .tous  ieiîrs  détails. - Pjj  
 ..S u r   unx*so:bde  sable  précédemment dépouillé  de  toute îtfspèsfe,  
 de .végétaux,  èwentl.cesi-.cabanes  de  la  terrerd’Endracht-; .e lfe 
 ont  la  forme  d’une  demi-sphère* légèrement  déprimée  dans - sa  
 partie  supérieure-;  le  développement  de-  feues;■ frâfdjsf<ïénr it 1  un  ,  
 tour  de Aspire,  de  manière;que.|l’entrée.en’est:ïoblique Jet  latéral^1  
 à-peu-.près- comme  celle  :d’unesÆ5oquiIIefde  limaçon.  Leurfeauteùr-  
 ©&t  de-J 2 Jà ..16  décimètres {^ à  j   piedslipp' sur  un  di4méte'evde  
 ao;-àt.2 ÿ | décimètre%;[!6  ,à  8  piedsyj^ Elies;?sügl^omposent  darbrisi >  
 §eaux  implantés,  dans  (jÉjsable/ rapprochéÿgâentre  eux,  Idvplus  
 ordinairement  disposés  sur  deux- ou.  trois'laaijg&tèelfctdonttf IttC  
 rameauxrecourbés dans^toutesdes  dite fiions,  entae^èrAïses^dans*  
 'to.USiies;*se®s,  forment  la,voûte-supérieure, -èt^mmé’depEnch^r  
 de. ces^habitations.  Sur  cette-voûtecfsont  appliqdéesrE l'extérieur,  
 plusiéûrs Jcpuches  de  feuillages  et  d’herb.esV^kds-;,^écouvi|è^F 
 A   peu  de.-distançât 
 l’Ouverture  de  chacune  dpmes esp^ces de  ond’autant. 
 de rgrosTeux ,  autour /desquels' -gisent  et  là  quelqn&£r  
 débris  d’ajimens. 
 :  Tant  d’efforts  et  de  soins  sembleraient  d’àbord  indt^èr-tm  
 §tat  de  civilisatfon.  plüsravaneé''parmi  de's% pVtipIëlPm^l'a  
 d’Endracht  que  chez  les Vautres  indigènes  dér la -Nouf'éli^Hol--  
 lande.  :  - .  : jis  ne-sont  que  le  résultat  d’uiîe mistf'e  plias  jlr^   
 fond© ji,  d’une; nécessité plus  impérieuse  du  moins’-feê^|iîfr 
 m’a  paru  résulter  d’un  examen  approfondi;  dé  cet  objétumpor-■  
 tant,  et- des çornidérations  diveîseS  que  je  vais -êxpcfêër^-îâi.^-’  
 Quelque  habitué  que  l’homme sauvage puisse- être aux intçmpêi-  
 ries de j  atmosphère et “des saisons,  il ne  sauroir jamais y  ètre -absoS  
 lument.  insensible.  Toutes  les  fois  donc-que  des  'circonstances  
 physiques quelconques’ viendront  à  exeréer Sur lui une  action  trop  
 funeste,  il  cherchera,  sinon à s’y"soustraire  entièrement ,  du moins 
 I   à 
 à^dimmüffedesrfdoülonreuse in flu en t;  les  efforts meme  qu’il  fera  
 pour  y. parvenir seront  toujours-dans- un  rapport  assez  exact avec  
 l’incommodité  qu’il  éprouvé« Ainsi'8,  nous  avons  ;vu- les  habitans  
 dè  la-t^e^de  •Diéanen',"pJdwWé*fmettre  à  l’abri  des  vents  trop  
 froids-ét drop  impét'ueüx  du  Sud,télé ver  des  abris  grossiers,  il  est  
 vrai;-  mai?,'oôhstrUils  pourtantféfVdirigé#'  de  manièrfe  à  tempérer  
 lenpIus.pô&siMe  l’énergiê  redoutable-dè'Vé^  aquilons  .polaires.  
 (Tom. 1, poeg. 22$ &2$ 4 ,  2 4 2 ^ ^   
 vSans  doute.‘îl^yià  loin  dettes',fféfës  àb'at-vents  aux  souterrains  
 et  aux - cabanes j quei^e.v'jjidnifeVdé  dé<M$k:;  mars  il  n’y  a  pas moins'  
 de  difî^cenée  entréi^èil^inéohyérî'iens''IphySiques*^' auxquels  l’un  et  
 l’autre  dévêtes - deux moy èhsfsönt ’dpjiôl'éifj5*§ 
 L indigènCi^dtet  là Verre  dt  Diétttepi^Hatóelfva^ia-  véfité,  un  
 climat'plus  froid^quercelui do ht  il  s’agir maintenant* f  mais  cé m’est'  
 pas  leüfeàid’ par  lui^memmion  la  chaleur  "qui  nuit  le  plus-.'à  la  
 vigueur-de 1 homme,^à'.sa-sarfije^j^esii Le-passage- trop »brusque  et  
 rnsp. fréquent  derfun  à  l’autre, peVsoht  lç^-ihodificaiions extraor-  
 dinairesVde  l’étafc êygrométriquevde  l’atmosphère; puf* produisent  
 •les'îihfeiiB'i^és'yfès maladi^ettla mort.  A   cetLé4gard;%üf paykpfeut-  '  
 redbuteffquë jdllüiàqüi  npû'^Sèipe.  J ’at ■ souvent  
 eu;oecasi©n  d’insistér  sur  la, chaleur  excessive'. qu’on’  y   éprouve  le  
 jou re e t | | |   l^fi-oidiu^pénétrante d|îMnYÜitsTe:<lëcteur'a  pu  voir  
 <^mhienmous>’èûmes  aVouffrir lors  du naufrage de* notre-'chaloupe  
 à  lathaie ;du  Géogtaphe-(t©m.  Ii'jrajp y * , ry j 3[+  il  fs^ rappellera  
 peut-être  à  quelle^  anxiétés-îje  me, * trouvai  de  nouveau4 réduit,  
 lorsque, perdu'vfets deAientre  de  fileBerriier^fjEtoihbai de -fatigue  
 et  d’épuisement^suî^ff&îsablésal«i*6fc*üsside froid  le plus  vifpour-  
 fatóyb ïte f%--l|ommes' qui m’attend oient. au  rivagepet  les empêchbit  
 d^sSh  livrer au .sbmmeil ,malgré Its^feux'énorÊîësVdont 'ils s’étôient,  
 P^ur  ainsi  dire;  ehvirohmeà !( tom.  l s'pdg. ^2$.).  Des  observations  
 analogues ^'on^fété’-rapptptées^d'à^sf  /#£jjàct  dans  le 
 m   chapitre1,l^ ,;u,M.  F re^Èî .net mo-i-  apprend  lui-meme  que  
 ;  TOME  '  '  D d 
 PL XV,