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 jaune  d’acre  plus; ou  moins- sale. 
 PUn,fig.5m  Du cap Bedoutjusqu a la ravine des Casoars, les terres noffrent 
 qu’un  seul  plan-de  collines  parfaitemdnt  sembîables,;à  celles^de  la  
 partie  Sud,  mais plus  hautes:;  et; bien, qu’èffissi soient  dépourvues  
 de  toute  espèce d’arbres,  on y distingue pourtant çà et là quelques  
 traces  de  verdure,- A  travers  cette -chaîne,  la  ravine  des  Casoars:  
 laisse  apercevoir,  dans  l’intérieur,  d autres  collines, dont  quelques  
 parties» sont  boisées.  La»côte  du  Nord  est, aride  et  nue  comme  
 celle  du  Sud,  et  se montre par-tout-avec  une  constitution  ana-r 
 logue.  •  '  :  •!  '*'■ :  ‘  ;  ** 
 pi.ùàin.-9.  -  Les  rivages  de  la  baie  Bougainvillée sont  forméseux-memes  
 .  de'collines'  peu  élevéesr,’ maisJa  verdure^ quivleskfcouvre  et, les  
 forêts  dont Im^ommités'Se montrent  sur di^sipoints^ donnent  
 à  cette partie  de  file  un aspect- plus  riant  et. p 1 u&agfeables;-.| 
 Telle paroît,  aux  yeux  du  navigateur qui4a^<dr conscrit- dans  sa*,  
 route ,  la plus grande  île. dé la-,N6dvél^HoHand4  14 
 tableau que je viens de tracer;- rigoureusement çxaçt5pour toute^lcs  
 dôtês  dé  cette  île",  serait  devenu ,- sans  do’ute,- plus  jntérpsanfeét  
 phis  varié,  si}  nous  eut  été  possible  de-pénétrer  dans> finfGEieui;  
 du  pays yispéHjiéeii* .bbjsffiÊvjpar -là- constitution  physique^  les,- prQ^ 
 ductions  diverses.  g  -'“rir [ J■î 
 .  Dépourvue de montagnes^  étrangère*à  cette,végétation  active  
 qui développe-  rhumidité  de  la  terre  et  l’entretient,  l’île  Decrès  
 nous apparu presque entièrement, manquer  dleauqjpupe | | i p  vrai  
 que .noùs  nous  trouvions  alors  dans  la  saison  la.p.Lus. chaude  de  
 l’annéef nous  parvînmes  cependant*  en  creusant quelques,trpuS  
 dans  fa petite anse jfcs; Sources, à  nous procurer une  quantitéd’eaafc  
 suffisante pour notre consommation  journalière,^,. V ,  f  t - * ’ ■ — 
 .  Ce n’est pas  seulement  le- long  des-rivages  que  fîIe.Decrèfs.,  à  
 l ’époquedont je parle r était priy|ed’eau. douée *d est une partiçu*  
 iarité  delfhutojre  des  a n in w   qui  la  peuplent,  qui  semblerait, 
 annoncer 
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 annoncer que 'cette  disette-  étoit  alofô^ sinon  absolue,  du moins  
 bien  générale  dans  l’intérieur  du M É g l   effet,  aussitôt  que  la  
 chaleur  du  joûr^commençofrià*#cabjSÉt,4 on.  voÿbit  accourir  du  
 fond des  bcâàde  grandes  trüyjïés  de  Kanguroris  et  de  Casoars*,  
 qui  aboient  -demander  àff’oééan  unebtRfeson  que  la  terre  leur  
 reffisdit>sansidô'ute. 
 Cette  rareté  des^aux,  le  peu'd’élévation  dir  sbl,  la  foihiesse  
 générale  d* la itt^ tio n ^ à n cd u r a n t,  rêndré 
 plus-ivive  la  chalBM; dediàtafospKèl^Hl  ulest  pas-.élkmoant  qiie  lè  
 tenmfcmayen.dem*  observations. th.ÉmométrMuei^«é(é,  pbur  
 midi,-de  . segrtfce H  le a  J   , - l e . i * » ^ ,  M H |P É g H   
 ^»tt-tout.desqaum&s Srès^ehaudes :>Idrlâa I* à ,y 'M’éif,bïd.ét à  
 deux heurdsfde l’apfeès-midÿ,- »éleva'sur;!’fféfisqffà'èéli?-%H£nts  
 deuterre, po’êstrà-dire,- ceux  du N’.. E., ’>dü-‘-N#M|/1Êi^'ndfe TE.  N.> E  
 dominbieut ->af®rs?,»-et  nous  pûmes.laous'Ué’onvàmôrèiqulil^ parti'  
 ciporent  de là -rfàture  dès^nts hrûldns  qui .dêsoiènt  l’intérieur- de  
 la Nouvellevtiollande, 
 g  Latmo^pàèrevsur  les, côtes arides- etidéprimée^delyle Detès'-i  
 «ymOn^rféé  presque  toojours  dknétfeé»ff ’ parfkitèri *  à  péhïe‘  
 d an^ k sp â e^ lo '^ h u io joh fs.,, a f v ^ m t ^  q î f e ^ s   ihstaiis 
 1  M M  M  M BM H I W SÊÊÈm 
 vqmde^uest,  fut  dissÿé àm'slt%po,u^am^fc  qu’il eunfouefré  
 to v a g e s  defîfe.  La marchetfè*&|^^  . 
 deriatmosphère,  et dès  variations^  Ce t/inst ruinent,  comprimé  
 entre  6$  p   p4°,  nouridoimèrentfippùr, terme  moyen^aYoV  
 mais  de  tous  IbsC’résultats  que  nous  m M  genre  le 
 plus  précieux,;sans douté,Tut, laTmarche  >fapiâè.de l’aigèfë^ers  
 ^sécheresse,  au  moment  offresveh^du N. Evisouffloient W c   
 force  dans  la^es^nidi  de^dfecrMégraüa jusqu’à  6â° 
 ! S  F ®  ,reîna^ Uab*H m W È m ê   analoguesqué  
 nous  aurons^à rapportqrtdaÿde/ehapitm x^v,  nous pouvons donc  
 oeduire  la  conséquence  suivante': 
 Tome  Y '  ”  ,