
 
        
         
		ie^|join$$^e  illorizon,  et  nous"obligière^de  mettre  %  la  fapç. 
 Le  2.0, avril,  de  grand matin ,mords aperçâmes  la  terre',’ vque  fon  
 reconnut  p.otir  appartenir*à  c^f groupes  d’îlesoet  driots^que-  nous  
 avions ’désignés,  en  t-août  18 b'i,  'iousies  noms  délies-  d’Arcçle  qt  
 d’Iles* Maret ;  nous  déc^vrîmès;  encore1 plusieurs  autres  îi,es  qui  
 n avoient point été  aperçues':  elles -jurent nommées Ile Fmtanes,  Ile  
 Tournefort,  Ile. Augereaü:,  lie ChaMpionnet,  &c.  Le  Gommaqdant  ne  
 voulant  pasV’qngager  au milieu  de; cet  archipel,  et  ne  jugeant  pas-  
 L p ropps  d y  envoyer  le'Casuarina,  sè  contentad’en  prolonger une  
 m o n d e   fois  extérieurement  le .contour.  Nous  retrouvâmes  ici‘ ces  
 formes  bizarres-de  tombeau^  antiques,-  de  plateaux  uniformes,  de  
 pyramides, régulières,  de  cônes'’élevés*  qui-,  dans  notre,  première  
 exploration,  avoient  si. particulièrement  fixé  tous .les  regards. 11 
 Dansla.soirée, nous doublâmes , à,petite  disftanqp-, uipgrand récif  
 hérissé'de  rocheVuf’fleur  d’eauy qui  gît-au  N$GX--jd^il^FMâret.  La  
 sondé i  à  un mille  de  ce'banc*, -ne - trouva; pas  le.foVd’^ ^ o   bia^t-.  
 Nous mouillâmes  la.nuit  au Nord de|^t^è*Battvre j)arSes^gf@^eç4$   
 bS^ses-d’eau," fond de marnel^r 
 :Le  21  avril  fut Remployé  , à  cohtïnuqr-  la  redonné) issa-nee^ de  
 l'archipel1 qué^nous  Avions  en  vue.  Quelques  points^d’une -teSre  
 éloignée | dont  le  plus  saillant  fut  (^igné-ljSQ^Il^iQip^rde  Gap  
 Châteaureiuwd,  nous  parurent .appartenir  au -continent ^plusieurs  
 fùméès  que  londistinguoif ça  ét  là!,  étoient  une -induction da^dd  
 râble  rà.cètte' opinion,' Nousigassâmes la nuit à l’ancfëdâns  Iq/|ff. O.  
 et  fort âu-Jârge  des  îles  Mbntalivet. 
 Les,  2^ et  .zmyîvril,  nous  fûmesytèllement  ’'contrariés,;.par  lès  
 calmes  et  les*  courap|,  quends  opémtionsrgéographiifues  furent  
 presque1 entièrement  nuftes.  Ce  dernier  jour,  dans  la^matinée,  
 nous doublâmes  un  flanc  à-fleur d’eau  qui fut  contourné, dans, pËst  
 par  le  Casuarïriâ. - A   midi,  nous ^étions  par  t,y  y ç iz " .  dedati-  
 tudç Sud,  1230  8*0"  de  longitude Orientale,  et en  vuè  dtifMès-de  
 l ’Institut. 
 f 
 f   L e   2^f;àWmatin,  fjê  cateekcontinuant-toujours-,  notre  Gom-  
 mahdànf.s.éîd'écida  à mettre  un  canot-à* la mer,  pouf  envoyertre-  
 $cbnnoîtmy.*îl^^aissini,tqüi'étoit  âlorypaaBi  notre,  trâvèïsi  II  eût été  
 |æ-desirçr  queEilielpbtjtidri  intérêpante  de  las»côte,  qui .jusquà  ce.  
 |ÿkir  n’avoit-été  exam*kiée|pàr. ni|tI|.Eîird^éen  ,  pût  être,exploré©  
 |wus  lésÿraÿ»po^»aéIas*géo^aphie'è^de  l’histoire  naturelle ;von, doit  
 donc  regretter* que * le ' commandeme&Ml^lcefcte  femnarcation  ,ait  
 été  confié  à  un  simple.matelpteLe  sômi’ ét^ntsur*un  fond  propre  
 au mouillage,' noirs  laissâmes  tomber  lancre  dans  le  N. O.  dej- l’île  
 Çassini, pour atteûdrq’notr©' embarcation^ dont-1 lë  retour"étoit*’fixé  
 aü  lendemain  matinfBe 
 feifce - 2:»|Iv*rjl ;  -au «léver  ayfsç^lefl*,  noi®(^^WriMesmorrê bateau  
 qui  manoeuvrait  p’our&ljoindrd'le  bâtiment?;;  à î^pt.dieures ,*nqus  
 le Vîmes  changerfdfe. 1 ou te jtq.utfèrrc oflp,  sj ertfo^êèr, dans, une grande  
 -Ouverture 'eomprise^en^è, deu%'ii'eVi|oisinesV%t bientôt-pi  fut perdu  
 '^^I^^CetÉei^onduît^tQmiatd’àibtq’nf'pl'u.àVout  le mond<Éa*bord,  
 que  cette  embarcation:¥éioign©it  ainsi feaiîfldufp  de  nôuspeflagjfë|§  
 soit  ehjgjpppôsitfon;des'  ordres* quii'lu^voiepfWiodon^^^â  
 •ç '  A   midi y ynQÉiMai.  imPsj reparaître  et  s'ortif - *<&$ lïemfqncement  
 ^dans^îèqudt’éïle’ étoit enfrdeyjr mâtrdV ar defl^IeujièS -/;du^fu^ieérè-7‘  
 ‘.t om b o 'r d   nciWappinm«  alwis*  que  -bè'-j«wa’ti«'ii-iirès|fddntyddus  
 n’avions-«, puHd(gt%iendâicâoesV * avaient* èp .pom-,|hji^d^S£|i îfappro-  
 cher  d’une, flottille  de pnos Mafâis4,, ‘âpèrçue|îpaï< >w>Mgèh^î derrière - 
 _c^sMî|Ës§3| 
 Suflcëtte même  île  ÇasSinfe où-riotsê canot avoit ahorqéybt^dans  
 une^apsej dè sable  voisine.d^çjlle pà tfl  avdi^jiasm'iaïnu% s^ t r êÀ   
 voient au mouillage,deux  granq^ÿte)s Malais  qui  n & o ie à t  pà&iiSj  
 |yus  dans  lâlVbiréfe ; mais: U la- pointé'* du  foair^  jfekbâtlm1ma*avâHt  
 mis’ soirs  voilel^^oûPVê  rappiîoc hérf di£$8/ùJ(0//di/tM  „ notrç.  canot  
 Ipfmit  àélëûLpMrfditË4, A*  jfei«AaYott-il  cïpublé. la  pornte<dê^  
 -père  laqnelfe |§%toikrffl^enus  S   en  .aperçut 
 deux autps  ’ qui  .mettoient  ad^d v cS è^ éM è li'y^ ita tio n . rNotre