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 grande,  Y île Marengo,  a  près  de  3  milles  de  longueur ; 4ès  quatre  
 autres  sont beaucoup -plus  petites.  |   .  . 
 Vingt  milles  environ  au  S:  O.  des  précédentes,  est  un  second  
 groupe  de  petites  îles,  que  nous  avons,consacrées: |ous _ ie*, nom  
 k. r   d’iles  Catinat. L’une  d’eilës,  Y Ile  Montmorency, mesure  2  milles  de  
 long;  les  trois  autres  ont  moins  d’étendue,  et  furent  appelées,  
 Ile Valbelle,  Ile  Villars,  Ile  d’Assam.  - 
 Vis-à-vis  les  îles  Catinat,  par  3  8’  de  latitude  Sud^ét  par 
 pi. ïiîs.n.* 8.  13 30 4<$' de  longitude  orientale, se montre  le grand  Cap  Turenne,  
 qui  constitue  la pointe  d’entrée' occidentale  du  golfe  Bonaparte : 
 ,  les. terres  en  sont  assez  hautes;  mais, leur  couleur  grise 
 ou jaunâtre,  nejféiiSe  que  trop  la  stérilité  générale  de.;c^s*côtes  
 sauvages. 
 pi. 1,  Ici  paroissoit  sur le?continent uneôoupure profonde,  à i’éritrée 
 de laquelle on distinguoît deux petits Ilots  il riê-n^Us fuit 
 pas  possiJbfe  de  reconnoître  le  fond.  Le  Çap  ’>É ^ é t-le 
 CâplGrécourt  à  l’Ouèst  limitent  cette^is^@;|^doT)âré-,  que 'noSt.  
 avons inscrite dans nos canes sous le nom* de BaieSégkr.^le:Saint-  
 ..  Lambert en est à peu de  distance,  et  correspond au cap; J® EQues t.  
 Au-delà-dé^ce  dernier Cap,  une nbnvelleffctH? ^Ev^résem?  . 
 n’a  pas  moins  de  5  à  6  milles  d’ouverture,  et  s’enfonce  deipjgès  
 d’une  lieue  dans  les  terres;  -elle  fut  nommée  Baie  Jieme'à,  en  
 l’honneur de  cette  famille  qui  en  fait  tant  elle-même au^sciÇnceS  
 et  à  la  patrie.  Le  cap  Tournefort  sépare  cette  dernière: Lare~d’un  
 enfoncement  du même  genre,  mais  plus  large  et  plus  profond  
 encore,  que  nous  consacrâmes à la mémoire du  célèbre et malheu-  
 .  reux  L a v o i s i e r ,-  - 
 À  ce  point  les, terres  du  continent  sç  dessinent  sur  deux plans  
 très-distincts. Celui qui  constitue  le rivage est  abaissé, d’une coupe  
 généralement  abrupte,  et  paroît  être plus  particulièrement  formé  
 de  dunes  de  sable  qui  reposent  sur  un  sol  gréeux  et  jaunâtre. 
 Quelques  nuances  d’un  vert  foncé  semblent  indiquer  çà  et  là une  
 végétation  languissante : nous n’avons  pu y  distinguer aucun arbre.  
 Aif^p.ônd plan  àppartiennent des  terres  assez  hautes,  surmontées  
 encore  de  distance  en  distance  par  des  pitons  peu  sailians,  et  
 qui,  du point *où  nous  étions,  aüèctoient à nos yeux cette  nuance  
 bleuâtre  qui  caractérise  les  terrains  élevés  vus  dans  .  
 l ’éloignement. 
 Le, cap  VaùquUik, qui borne la  baie Lavoisier' à  l’Ouest, a l’apparence  
 d’un  énorme  bastion,  tant  ri , est uniformément  taillé  à  pic  
 de" toute p a r tf f 
 .  Au-dèià de fcc dernier ;èap, la direction  des -teyres'-'f hange  brusquement?; 
  »^ÜêlSdâurêht  du/N.  O.  au  S’.lp.-  ;dans  un  espace  de  
 ÿ© mjlle:s||sa-iis offrir d’autres^çints remarquables'que le cap Carmt:,  
 le ie'ap Mairan,  la.'baie' Reche^if§Jj(k poirft&iFeüillee': \ 1  
 :  ^ So>Us Tek  rapport  de  sâi||oristitution  physique, luette  dernière  
 partie  de1 cêteS^êstlanalogue  à^ceiiè qüenous  venons  de  décrire:  
 ;par-toutvdes^couleurS' grises,  sales  et  rembrunies ;  par-tout  Jappa-  
 It'ence.. d’une  stérilité  profonde.  Quelques  pitons-,  qui  continuent  
 'à| se  -montrer  dans  l’intérieur,Ifeâhtlévidemment  la  prolongation  
 de*cés. hautes  terres  que-ncjiîs^a’yo.ns  dit  former  un  àèfcOnd  plan  
 :|ferallèieî âu  rivage  de  la  mer.'Les--environs;'du  cap  Mairân  y  
 -Sbnt *snr-tout  remarquables  :  vers  ce  point  de. la  côte,  s’élève^ à  
 12  ou  milles* dans  l’intérieur,  un-  gros  massif de  innntàghcs  
 que  nous  avons nommé Piton  Bofda, 
 Tout le long  des rivages  qui  nous  occupent,  se  trouvent  disse^l  pi. j.  
 minées  de  nombreuses  petites  îlds&jLa  première, test  en  face  du  
 cap  C a rn o t/et  porte  vers  sa  pointe  Sud  un  petit  îlot  environné  
 de  brisans;  c’est  celle  que  nous  avons  désignée  sous  le nom  cYIIç  
 Guyton,:ç&  l’Honneur  du  chimiste  Célèbre  qui,  par  la  découverte  
 des  propriétés  salutaifèS  du  gaz  muriatique  Oxigéné,  a  si  bien  
 mériçé  de  toutes  les.nlasseg dp  corps  speiaï/'é-t  de  celle  des  navi»  
 gateurs  en  pl&ïjcul jer> 
 N  a