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 temps  pour  qu’il  puisse |n   prendre  la  tempérâture  actuelle1.  Celle  
 de  l’atmosphère-• ayant _ été.  déterminée  lau  «meme  instant,  soit  
 avec ‘le  thermomètre  qu’ohr vient  de  plonger  dans  l’eau,  soit  av.èc  
 un  instrument  pareil  dont  le  rapport  avec-  le ^P^miek est  exactes  
 ment connu-, on parvient à connoître ainsi', hbip-seülement la  température  
 absolue  de  Feau  de  la mer  à  s&'suiface  pour  l’instant-dé  
 l’observation, mais encorelps rapportsacttiéls avec ia température d_e  
 l’atmosphère ; rapports  intéressâns,  et sur‘lesquels  j’aurai -plu& chêne  
 fois  occasion  de-revenir dans  la rédaction générale  de^mesjLrayaûx  
 météorologiques/1.  Je,  dois me borner, ery  cejmpment, .a-,pr^enter  
 ici  quelques-uns  des résultats  qu’on  peut  déduire^,desoétto première  
 partie 1 de  mes  observations,  toutes*  faites  en  pleinç  mer,  et .répétées  
 quatre  fois  par  jour,,a  six  -heures,  du  matin,  à  midi,  à  
 six heures  du  soir , ,à minuit : 
 ^~ïl0  La  température  dès  taux  de  la mer  à ë&surface.et  loin-.cfef  
 terres,  est  en général plus  froide*a midi  que  celle de  l’atmosphère  
 observée;à  l’ombre ;. 
 2.  °  Elle  est  constamment  plus'forte V  minuit ;  - 
 3.  “ Le matin  et le  soir,  elles  se  font  ordinairement, équijibrè ;,  
 "'4-°  Ee  terme moyen  d’ùn  nombre  donné d’obseryations’;;çomparatives  
 entre  la  température  de  la  surface 7âès^3jatsret,celle  dè  
 l’atmosphère,  répétées  quatre fois  par jour,  à six ;h,pùres-du matin,  
 à-inidi,  à six heures  du  soir,  à minuit ;  et-dans~dl^méme¥ parages,  
 est  constamment  plus  fort  pour  les"eaux  de  la mer,  par  quelque  
 latitude  que  les/ observations  soient  faites  ;  du  moins,  je  m’ai  vu  
 aucune  exception  à^ee  principe,; du 49.e  degré .Nord  au .4y.'e  degré  
 Sud  ; 
 y.°  Le  terme  moyen  de  la  température  des  eaux  de  la  mer  à 
 * Cet ouvrage sur la météorologie n’a point  
 été entrepris ; et M. P-ÉîtoN,  en mourant, n’a  
 laissé  même,  sur  cet  objet,  que  les journaux 
 qu’il  a  tenus pendant  le voyage,  et  des, notes  
 sans  ordre. * 
 ■ MXJX  T E R R E S fp pE TR A L E S ’.  ,  32 ƒ 
 leur  surface  et 1 o infd eà £ on tinensf/élu* do rie ' p 1 us  fort  mie  celui  de  
 l’atmObphèaiçlàveG' iaeuellè-'lll flots  sont  en,  contact. * 
 7  Quelqu®p.^ypqfens ont ohtènudl^résteltifef^^renstdès miens:  
 mais  n%!i  voit-onffiasf®abordr lirrajson  dahsùla^ différence ^ dés;  
 lieUxtèt  ’dfeV^io.ques|/déSi|&#èw*rant^ Ei».  ejffëti, < toutes^ celles  
 qÆe* je? go nnbi& om «Se fàitèfMurant l^ ^ ff^ e tr l^ lu is  souven^èrs  
 s;én- .milieifôÿtoutes  ont^'étéréprâéésl'^pèû, dësdistancè^deS1 rivages.  
 ^dè^®ontinens|Sont la^mpèrat*ürè; v-anais#,  nbùS aurons bien- 
 _Sf$-  clevfebsèrvIr&sestidinqjfo'jst^^^'^prisidiéraMe  que 
 ,:eéj(éfrd^M'ots  :  riensdptonnantldèsflors  que  le  terme moyen  indi-  
 q n é ^ * d e   sembSlé^l^pérfe^l^'ait'îéc^ moindre pour  Id éau x   
 ,  mes  |irbp/r3s/|%^péiien ce/ |ttwçRii/rumen e,  • 
 ^ G e v p ïc rm c^ : don uépÉm’ont i^^i|‘wlté^lJ/®©irUE?e àiséhient  
 ü>mp«^géjm^ldbtciè^quehbren  anÎGiei^^^^titèf4féiiaqu’il  re-  
 monte^u moins||s.qu’au siè(|^dj;AAiSTOTEvdèj^i|lêLéchath§fe^‘nt  
 aès/^a^esigjar: leur  agitation.  lRvè,NMèEîEQii^'EËft par'èissén.'t avoir,  
 trompés^eux-mçmés  par,  observations,' 
  fournissent  à'^pL-ëgard  $ft||ux  que  j’ai-  , obtemtÉsé^oht  
 tpufoà-Lait  semblabl||gjt  et^pppndantÆesmd’elux^CT{i. que  |ei vais  
 -me servir pquivtdémonMertfe]Tem>,4es^nGieBS ,etda.7déirùire.2.JPour  
 cela.,  revenons  aux-faits.  viens .deï®fcei,  il  n’y^àtqu’kn  instant,  
 que  la  tèmpératureide^aux  de  îa.;ipe,ç|||l^gSurface  étedt  alternativement  
 piusiefiau<re  ou-plus  froide:-,que: cëllè'Me’• £atmosphère.  
 Dansi-eètteîsuhpession alternative^- plus ahimoins,  il'doit ytavoir  
 un  instant  où  l’équilibre  a  lieu ;upjenons/det  instant; e t  supposonr"  
 la  température .de, l’atn^sphère^Mid^ e a u x  ra. 20* degrés  fune  et  
 1 autre.;.supposons  en» meme» temps ique; la  surface de  là mer  soit  
 paisible,  ert, que  J’atmo^hère,Je?i|oi^Ms^||il;pèndant  un  orage.c  
 i^'élève imparti  dgs. régi^ns’ glâçé^i du poïe ,/trn vent  impétueux; tient  
 '^iter J  atmos^ère^-et (jSAulevèr  la  surface fsëq'j^jfs.^Quèls  eljEets  
 va|t-il  produire ^surj l’une etjsùVj’a u tr^  Pius/Tifoid'. qu’,eflês%il  leur  
 enlèvera  une  portion ^qjj,éleonque, i  dé!.- Galoriquèù * mais"  comme