du "Canada, n’en étoient jbàs moins à la Chiné d’un débit très-avantageux
, et la facilité d& lès'obtenir dëydit suffisamment compenser
l’infériorité de leu f valeur, lïe s^ é fa n c e s du Gouvernement Angïdis
ii’ont;^bint été-’trompéés. ©b'âcfûte' jour <#? commerce prend un
dévéloppêméfet<pfus rapide, ét tes profits1,èn deviennent, poür ainsi
dire, incalculables. Eh 1 comment pourroit-il n’en êtrfe pa§ ainsi d’une
spéculation;'pénj dispendlêlîMA'si' fâcde' ét si prompte-a réalisfer î
«Â midi, je'descéndî&'à terre avec quarante hommes‘S/pdit COREAL,
'«%ouVEntourâmes les’ Loups-marins ,■ et'en tfûe'demi-heure nous
» en'tuâmes quatre cents. » (Voy. de C ORÉAL, tom. il ,pag, i 8of]
« Pendant les huit jours que nous, restâmes’ dans la rade de Vla-
» ming '»'V dit Mortimer , ce notrtUâiAes douM délits Phôqüêsy
» dont nous emportâmeè' ïfô'peaux ?aprè's- les avôir fàit^éêhêr' aù
» ^jléil y é t si nous eussions pu donner quelques”*jou-rf dedplus à
»dé-ëfte^chasse, nous* en aurions tué sans peine phfsreù#s” tailnefc\&
O r , ces fourhires, dont on,peut* sê^proctoer^si facilement cl&
milliers en quelques jours"p§e-vendent à la Chine5 de1 x -piastrêffet
demieH 3 piastres, c’ést-à-dirè, de a iô-'Êraricf
cârgafêotfS en sont d’un débit certain;.et rapide-, Eei^'Cftftsoi.s en
paient la Valëilr a^èé du numéraire, qui est employé a [acquisition
dés marchandises' de retour. Par' cette Sorte cl échangé', qui
'dëviént éiaqué^jpur plus4* considérable, l’Angleterre seéf patVenue
du moins à diminuer de beaucoup, pour son propre*-compté''; la
ptopbrtion'des ' esp'ècés’îqu’elle étoit* obligée1 de lâisfer- annuellement
à la ÇbinéVSQÛs pç rapport f la Nouvelle-ff^llandè ést
■ ? Tons les endroits .étoient également bon?
pour chasser, les Veaux marins , car toute la
eèié ehhiiqitf SouvêîftéU\*» o©iÉ> 3S^#VoJt.,
|Oip. yitl ;> î* '.VioilIV
Toptes {es îles voisines de la terre des Etats
soàl rempliW <fe -Lions de me» y d’Ours'de
jaer, g f j
Pag, Çi. ) ,
| Les'LOüpsiftadnstr6Ufetfti«t sf grande
quantité ■, qu’on, ^ ep J,9*us Ies
roéhers' coùverts! ('FRÉtÎEB ,'Voy. a la finer
*du
| .-L'Avant ja.jgu^erflcfcMeatt; avec l’Espagne,
'I’Ârïgleterré’ etoit parvenue à retirer
d j S Êoni^â^ffe-dés Philippines, en échange
;des.. marchandises cded’E^iropf.
k js^tte compagnie
portion.de, l^tÿeht-'- ine^iiaire aah ddçiwetçe
devenue
devenue pour, elle !,de, la pli^ h^utg- irnpprtancp;; et son acté de,
P*m de yppssps^jonj ie^tppt l î% | a i , ,A u $ ^ E S paroît d’abord
i i i^ K eu-J§fe> eA effej;, un c^^dl%uYf^de‘politique. A la/ayeur dé
pÇkfÂESllIAl^nejlement pjoplamé.ipar r tppt, la..Grande - Bretagne
peut îpçartep 4t#9,p‘t g s é , l e s ppt{ou§.|Eurppçennes,,de cejvastç
précieux théajÿç \de^sp§.|^©hej^ ,N#As-«.eA ayOn^^rapporté dans
le. çbapitre^réftédjpit,uae.preuye.,au l » tris:te'qu?éi^de>rifp y
. . ^andis iqu’avepd^faucrures du Nord. de* l'Amérique, réunies k
celles^d^sj||4^qps4A?u;stra[es, l’Angleterre y a solder àaGantqn une
# rtIf>^es/War.chandi^s^qu’eï|^enjtjrer,;et,qu’el;le,dpit nous revendre
àthai^t.prix^laj ch||sse<dA quelque^^afPA^hppèfesdtlanimaux marins,
lui •pqo.ç-q.re*« ën Eur.qpei!d6^lfeéné|p^pl^^ i direef^^encprëy^ pop
moins, irppojjtans. Peit. ’Satjisfaû^ld’expJpil^r ^presq.ue^gxqlusiveiiient,
auj^qrcÇhq*i l^peçjie.du C achaj o bqîi B al gipp d, sejle
yieqt. d’envahir, ç e ^ P i r tR br#iyçl?e de. commerce dans, l'hégn^
-le- reviendrai ailleurs sur.m^^tgfap^gaUmppt-
^Ptagepses duyd#4pif de Magelldn ,r„de la 4 f e .d e ^ ^ t a lv, de;
la W ^ 4^*Kërgu-el00o,. de. fa, t^r^ de; Sandwich’^e^sur^püt de
^ ^PM^^lJ'^^Vëlandq*^ <j^e.- doist rçie -bowner,, en.’-çey moment aux
avantages du, même genre qqe la, nation;,Britannique r e t ^ dea,
Bbqqiiigs^,
. -ludégendamment, du Phoque à, t-rompo.^epqW'deux mti-es,
Ae,fournissentipis qne moindre quantité .d ^ u d e ^ ’e x
le Ejfm marin proprement dÿ [ffrana L e o f im 'a ,} .qui^,trouve
aveyJa .Çjane,, Dan?4èk.derniers
téftips, Arigfeis avoient ootenu des
ivant âgés- éneorç.',p['ûs préGi-euV:1'tnÂît1-y3désk
ftte 'Uj5Ie.de l’Inde, du cap de U'onne-L'pér
rai^cè et de £ côte de NataViJs l’ament aussi
dffiînerèe.d’ei l’iyoirs.; rrfbbnq^éfe'‘d,ej ïfêà.
.f^tlTOÔr.e^de ;SoW IetA*avptt, ^ ré d’iïn-
tnenVes fofçfi^boft'de sanda‘1 et beauhflp
de cire , Tcrnate ItSur f^urnissöft deS car^u
«ons inépuisable? dnl poivre le plus e?tinjê des
TOM?; IL
^ntbqine çt Bapda leur
Ajy'jroh’niJe mYm^/u pkis.rtcfiis
Mpiclfes j. ét-pa&fSr dWmrn^ri%n'JÖas^lTridfe;
9 göltet;^ ]qn?7 ik fîn tupnt pr&âup
ex cIusiÆi|eift Ja^yen te *(fe -l’oprn ni.. . Mnli
l’niÂvéïy entiéhéjioirraS a”cc^{îibMîenJ,"^u r
i^ Iî"rs^ k l9 ,wV'“f^.^'Çjl®-n|^tertq>av.ec fa
^Chrne, ce yk^’Iopnemcnt^ profligieux qu*â a
reçn'd^WÇdéMif^wriips.y. "
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