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 p-Jus gffiça'Geÿgentgpfte.quedans- peu  d’années^-il  ne.&’en:trouvera*  
 pjus  qu’un petit  nombre en^pÿp^iatiom N,qus  allq%§  l’indiquer, ay@>  
 d’autant plus  de, soin,  qu’il  une-j dgs_. b^sesvprin,0ipaie^uB„lesr■ 
 quellfs  reposent  les mtéç^pdfcjpcs^ la  colonie.- M-. 
 :  En faisant aux particuliers  Iqs  ^onGe^sipps importâtes  dont noU$  
 avpijs précédemment parlé,  Gouvernement britannique sejrésêrva  
 à lui-même  les portions iesplus fertiles du sol,dont il venpit de s’emparer  
 :  maître des .esclave«  ondes  déportés,  il  en  choisit  un grand  
 nombre pour défricher et faire valoir ses nouvelles proprîgfésv'Elles  
 sont; aujourd’hui43ns unrapporf sr avte^ggûx, gu’èll^SjKymissem  
 déjà  fort au-dplà  du  blé  et du maïs  qui  doit  êjtpg, dis,|ribué%sp|t  aux  
 troupesj SoiL  aux  condamnés, soit  aux  propriétaires., .G’est a$eygttj,q  
 surplus de cgs^éçpltes  que l^jquvernement fait fabriquer léi-biscuit  
 dont se pourvoient les bâtimens qui, du  port Jackson,  partent pour  
 Ja  .Chine  ,  pour  l’Europe,  pour J ’Amérique   ou mêmp^ppur^ie-s  
 peâhes„dii.igrand  Océan :  le paiement  dë^ce  biscuit. s’effectue  pres-  
 que  touioufs, en  billets  colo||iaux,*e  qui  en  diminue  d’autant,le  
 nojq|»re.. Indépendamment  de  çe.pjemiei; mpyende  rettrer^de,. la  
 circulation  les  billets  du  Gouvernement,  il ep^estwplnfjç^|6vaja4;res  
 quj lui  sont  très-peu  onçreux  et  qui tendent constamment à.,mettre  
 des capitaux considérables  à  sa  disposition.^ifa constituent, en, quelque  
 sorte la hase du beau sy stèrne^çp joniaf dpnt qoqs«yenon%de rq,*  
 tracer  les  résultats et  iés^qtaiis.  . 
 JS Jjè .'^ojiïeipement, est  riche  en-propriétés  territorial^ ,41, n§,  
 Eest.pas  mpips  pn^|rpup«aux  de  . toji$q\ espèce  ;  et  Ips  railleurs,  
 pâturages  étant  cpippris  dans  |gs réserves,  oes  troupeaux- doivent,  
 être  naturellement  les  p k | , beauxg szsur-tqut  leg.  plusg ^^|)jeux; ;  
 ils sont  en  effet l’un  et  l’autre,  Ce  sont  eux à  la  vérité  qui doivent  
 subvenir  à plusieurs  besoins  particuliers,  tels  que.ceux  des  fn^pi-  
 taux,.&c.  ce  sont  eux  encpre  qui  fournissent  tous Je^esJiaux  
 que  le  Gouvernement  accorde  à  chaque  concessionnaire,  tops 
 ceux 
 fcefe qué îfesajèiirfqsrffl'lés’-jb 4a maison ffes  orphelines reçoivent en  
 doc^ë^Màlgréfce^rdistradtionsréitérée«,  ëëV troupeaux sont l’objet  
 de  tant  de  s©iirr^€Ss.ënü établis,  dans  des fieux  si  féconds,  que  le  
 Gouvernement,peut  eneore  en ten d re   annuellement.un  certain  
 nombre »d’inéivid'uêllaux» propriétaires  «qui  désirent  augmenter  les  
 leurs4. Ea vente <§ês laintes-^l(©sf|:ohtributrd3fes  ordinaires,  la propriété  
 des forêts,dès^emboutsemens des âvaffcés .faites  àuxparticuliers, et  
 sur-tout lés|r|d'êv^hcêilknntiêMfeSHdeswedncessionriâires,  sont  autant  
 de branches deiEêy^|îskqï®|ivten*hent offrir'au-tré^pr public des  rést  
 • s^é%èi suffisant#s4ffé’tpr maintenir dandtin sâgpîéquîiibre  la  cireuia-  
 tfeli  de m s 1 billets; ' D  <f||*ïhêiïi’e  léêîijæcqttes .’suffisent  presque  pour  
 subvenir  à toutes  l^Jépétrs^^dc  h   cdfcbig/eet  l’instant n’est  pas  
 éloignié^oàî^es^ipbs^lons^intainés^vsèndront  une  nouvelle  
 ■ source  de richesses pour l’A n ^ e jlr ie^ om m e   elles  seront-un  jour  
 l;un  desfprincipaUxiilémiP|i§?ldfetsa, pui^safree/iM 
 iJe ..neidiÿ.rienâcff descdrèits  imposésjsur je-s  bâtimens  de  commerce, 
  éffft étrangersjlîsott-'natipnaux, qui  viennent mouillerfau*po r t  
 Jackson,  nEdes? droits iplus- ou mofns^orts  que  doivent  payer  les  
 marchandises  à  l’importation  et  à  l’exportation,  parcé’  qu’ils sont  
 exclusivement .consacres! a^l entretien der.k maispn.d’édücafÎQh  des  
 orphelines. 
 Ainsi  queMtSUs^enons "de  le!voir-^lesbillets de.la banque d’A n gleterre  
 et'  les  bons “du  Gouverneur' de  la  'NouveJle-Galles-lsont  
 affectés.à.toutes des > grandes Régulations de  la  cplonje,  à  tous  les  
 paiemens  un  peu  elevés  que 4es,-q>cQ'ticuliers  et  le  Gouvernement  
 ont recRrPqtieihent àse faire.  Ces .moyens d’échange, quelque çom-  
 ? modes* qu ils  soient, ne  suffiroient  cependant -pascaux -bésSains' journaliers  
 des .divers  individus ; ils .serpient généralement  d’une  valeur  
 bëàqtpup  trop  forte.  Pour  obvier  à, cet  mçpnyériiejnt  sans  trop  
 multiplier  ,sês  propres  billets,  le-Gouvernement  anglois  a  pensé  
 -quil  etottplus  avantageux  de  laissèraùx  principaux  propriétaires  
 le !soin  dé  régler  eüx-mêmes  ce qüfles  intéresse.  En conséquence,  
 TOME  ii.  Hhh