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 médecins  prodiguèrent  à 'cçs  infortunés  tods^îes  sofos" que’ 1 humanité  
 réclame  :  ils  les  firent' détoehdfe  a  teïre, les'placèrent  dans  
 un  local  salubre^  et  leur  administrèrent‘les  plus;géiiéreux  secours-  
 mais  tous  Ges  efforts  vinrent  échouer ^ céntré Vne  maladie  qui,  
 lorsqu’elle  se'développe  avec  une  cemineifttehfïté-,  'e&'irrévoca-  
 blement mortelle B. 
 D u   i6.au  20  mai.  Nos"  courses.  fréquentes1  aux  ènvirons  de  
 Coüpang  n’avoiént  pas  ppurunique  but  lâchât  des'"SüRsistaofces  
 que-nous  voulions  embarquer;  nos  naturalistes  y  trouvaient  ^occasion  
 4e  faire  de  nombreuses  et  d’iritérèssarites; moissons  pûai^  
 augmenter  les'collections  déjà  si  riches  qu’ils avofenrtà&ëtobfëè&.  
 s Ë j  course! nous mettoienrefi^core à portée d’étudiér d’une în|mèÿe  
 partïcûiièré,' ’et  plus Y'ompfètp  quùriôus  ne  l’avions  fait -jusqu'lie  
 jour,  lès^moeursWles  usâgé^a'domestiqués^dYs Malais ; Æ%nt§Me  
 mieux coftnoîtreune  langue pleine  d’fiarm'onié, -de simplicité  et de  
 dàtceur ,  quoique  privéefsouverit  d è -ptte   vàriét^^formeÿ-qui  
 est  un  dés  principaux^caractères  du  langage  d é p e u p l e r o n t   la  
 'civilisationest  plus  avancée.  Il  me  setoit  impc&sibfê de; pVésenter  
 ici  f  énumération  dé  tant  de  récherches  je  dois*  à regret-En  
 renvoyer  l’exposition  aux  ouvrages-spécialemenl^|âlihjéV'ia ’ lés  
 \ recueillir  et  'à  les  publier.  " ' ‘  g '  „ 
 '  Ces  naturels  dés  environs  de Coupang  nous  ont  paru  etre -fort  
 attaches V leurs  souverains;  quoiqu’ils  rie  le iffd o n n en t•  p'as^^s.j  
 marques 'de respect excessif  d'ont  les  autres* peuplès'^êjf Inde Wi  
 si prodigues.  Souvent noüs’sdmmés  alIeVchez ces*rois, et  toujours  
 nou| le! ayons vus  entoürësde  leurs  süjelfe' et  assjÉfau milieEd euf,  
 plutôt  comme  dès CBiripàgho'ns  que  comme* des maîtres. 
 L ç  Malais  en  généial^ést  trop Eloigné de  nos moeurs  pour  resb 
   Nous avons  appris  plus  tard  que de „na-,., | Co.upang,  où, les^ Hoîjandois  I  ’ 
 vire  le. Hunter,  entièrement  désarmé'par  les  'pour  le  compte  de  la Compagnie.  ,  
 v,.maladiésyfiit' abandonné  dans  la  baie  d'e  -  b  fyyyî*tbm.  I*; phg;  iyrf 
 sentir  lès^hespins  facticps^ qîfe  rendent  nos  jouissances, si  diffici|q§j  
 il  méspîpastourmenté  par  la^oifodémesurée  des  richesses,  et  se  
 -trouve  d a n ^ é t ' étàt  moyen  de Civilisation,  où  l’on  doit  rencon-  
 trer-^sinidri: lâ -gloire yla sjilqndeu^-  la prépbndéranceftd’une  nation,  
 du-moins de  bonhemÿjîn|Iivdduêl , m 3 ,dome|tique.  Ce  qui  l’entoure  
 ne  peut  èfeiter^n-Iui  ni  l’orgueil,, ni  -l’enviej^ni,l’ambition,  suite  
 ordinaire  d’une  nature  dégéné é ^ ;,run. heüreiix - dirtiat;  lu i, offre  
 tout/C^qju’fi  .peut-  désirer  pou^sapsfairet yafe . peinegp|| jbèsoms,  
 phySiqüMj|et d’inégalité .désrMffditfonsM^ ^ ^ ^ s^ z   grande  en-  
 Ijarè-pe^fe^ti'gUer  l’amour-pMp're  des  inférons. J l  e|t*^rai qu’il  y  
 a  dt-VidavSV,  mais  -jl' f"ds'te^lmc  gtau dejÆfférence^é^  la ma-  
 ÉfèreS nc onÿles’'?rahe-ici  et Je' Régime  dé 'ri^d^pfopiesjd’Âmé-  
 rique ^ie fù^uge* dç. éouleup,  la  differejmeùde  l jn | l^ | r i ’e^ ten t  
 point;  f è s â y e   aime  son\njg|tre,  et .^itrgoes^e^dc  prévenir de!-  
 deOTs|M^èèiui dont,la jpîë  uniforme  ùq^e ^soumet à aucun  capîscÿ,  
 -D’ailleurs, laicondition^’èscjtoY,n^ést point durç, à Tjmor ;  comme  
 >c’é$t  un-, luxe-  d&n  avoir  un ^grand^npmbr-é^p^pryle^ service  inté-  
 ffeÙK^I  la maison,  ils*ne : font-: point-, stiMh»JëA>d ouvrage  y  ceux  
 .que  l’on  destine  au. servi^'tpMêjàéir^on^  emplMqÿà  la  culture  
 dù mafâpi du-riz ,yainsi  ojip 
 V  Ce\meupiës,ill)m|pai;tLe .paiVn^^paT tic  mahométans,  inais *ccf  
 fferhifil,  que  l’on  npmme  n&^gJon®âu|un  |c|u]^ule  ’de, 
 mangOEdu pol^ét' é‘^^ôinej^^|i^;^rè<|o^te|h^^,^Européens  en  
 ont  converti  quelques,- uns  au.  èhris^a^  npmb^.’sont 
 tous  lés. méfis,, tant - P onij^â|s "que. |I|)mndpm4|i, 
 B eaucdùp, dp gens ' paimi^èux< moient- au^4enâianteurs  et ’ auxehevèùx  
 roügey,,-et  ieur^-^ttrjhuen-t la-phte’, grande  puissance,,  aussi  
 bien  qu’à  certain p..^ vieil 1 es&nemmes * qui ^ A p t e i d e   donneMdés.  
 feemèdes,  toùytirés! d i^ re^ ^ ^ ^ g ||l.  Plfeiëu-r|.  ont  cjesqfétiches  
 ;pu  divinités btùtélctirè$4âuxiju^l^  il^ acl'Wsson ttféùrs^ycetpc  ;  uiie  
 pierre  ou  un *ar^rets©nt  ;prdinajr^méntJ^Spbj^s  d|;f oej culte,