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 rie  i-iiîtérléurj pour  fa partie  historique... 
 L e  même isirefeès  i-attenrioit  -chez'  ce  dernier  ;  il  y  fut  accueilli  
 rie  la  manière  la  plus-  flatteuse,  et il-  fut  chargé  de  publier  la r e lation  
 du  voyage et la  description  des  objets  nouveaux en histoire  
 naturelle ,  de  concert  avec- son  amfc *Lesot,tjr. 
 ?Voflà  Péron  “devenu ' tout-à-coup  un  homme  célèbre,  
 •recherchait,  on  fentôuroit ;  il  prenait  plaisir:  à  râcontefce  qu’il  
 a voit  vu  dans  ses  voyages;  et  l’intérêt  avec lequel-  il  étofr  êcOiitéi,  
 i ’engagèoit  à  entrer'1 dans  les  moindres  détails.  Il  disoitmaï^ment  
 ce  qui  étoit  â  son  avmtagefreem’étoit  jamais de  là  jactance^  mais  
 une  franchise  qui ne  lui  laissoit  pas calculer  les fomies. 
 Cependant  la  collection  déposée  au  Muséum^est  examinée ■,  et  
 une  commission  nommée  par  l’Institut - est  chargée  den  faire  un  
 rapport  a u   Couvérheitnènti’ril  résulte  de  ce  rapport-,  rédigé  pat  
 M.  C uvier, quelle  contient plus  de'cent  mille  échantillons  d’animaux  
 *  paririf-lesquels» on  a-découvert  plusieurs  genres;  quelle  
 nombre  dès JeipéceiP nouvelle^  s’élève-X  plus  deja^éa',  et  que  
 MM. Péron et L fsuüur ont eux seuls fait cohnoitre plus d’animaux  
 que tous  les naturalistes voyageurs de;èes derniers  temps ; enfin que  
 fesriéscriptionis de M. Péron, rridfg<lessurfin  plan Uniforme ,'■ &&  
 brassant  tous  les  détails  de  l’Organisation  extérieure  dés  àhimaux>  
 leurs  caractères  d’une  maniéré  absolue *  faisant  èririt  
 ftp^-ré  fours  habimdé^ét;l’'us^ê qu’om-en  peut  faire,  survivroit ;à  
 toutesTes  révofutioDï d é sgÿstèflSés et  des’ Éqséthodes. 
 Quoique  Péron  s’ocefipâ#  piticipalemeik  rie  la  reîation^É.  
 voyagé,  il  crut  devoir  détacher  de  son  travail  général  quelques  
 mémoires,  qu’il  lu tr so it  à  l’Institut,  soit  au Muséum,  soit  à  là  
 weiéée  de  médecme;  Tels  sont  ceux iu r k ^ r e ^ à lc f iîd  *, "ce 
 *&ƒ 4n p3??“-:’  ,  yelnme de, la r^ajtjon  dn,teage, pog^4?s  
 nuer volume de la relation, du voyage.  L. F.  et  suiv.  L. F. 
 •  ^  Çe ménioirë est imprime .dans le premier  -  . 
 zoophyte  éminemment phospfiorique dont nous avons parlé;  sur la.  
 température delà mer* ; sur  le tablier desfemmes Jiottentotes m Boschis?  
 mUns% ;  sur les zoophytes pétrifiés, trouvés  dans les montagnes dz Timor c ;  
 sur la  dyssentene des pays chauds,  et,sur l  usage du bétel?$ sur l ’ivygienne  
 navale*/  sur i  habitation  des phoques f ;  sur la force  des  sauvages  comi.  
 parée  à  celle  des peuples civilises^.  Enfin  i f  entreprit  ïhistoire complète  
 dey  Méduses  sur „lesquelles  il  avoit  fait beaucoup  d’observations,  
 et  dont  il  avoir  recueilli  une  multitude  d ’espèces; jusqu’alors  inconnues  
 \ 
 Leprèmier volume du voyage parut au commencement de  1807;  
 après  'avoir été long-temps* retardé  par  les  gravures,  et  dès-fors  on  
 putjuger  de toiit  le  mgrite  daJPÉRON. B 
 NôUs  ne  nous  étendrons  point  sur le et  ouvrage,  quinest  génér  
 râlement  connu;  nous  nous’ permettrons  seulement  quelques  ré-  
 flexions-Vsur  les  qualités  qui  le  distïüguent,  et,sur les imperfèc^ops  
 qu’on  peut-y  remarquer. 
 La  relation  des  faits  est  d’une  exactitude  qui  est  le premier mérite  
 des  ouvrages'de  ce  genre  :  la  description  du  sol,  du  climat,  
 des météores,  offre- des  phénomènes  extrêmement  remarquables;,  
 et  -la  comparaison  des- observations  dei fauteur avec,  celles^desmar  
 vifâteurs  qui  l’ont  précédé,  conduit  à  des^éguhats, généraux. 1 Le  
 lableau  des  peuplades» qui  errent  à  la  Nouvelle-Hollande,  et  ,-de  
 cellès  qui'habitent  la  terre  <fe  Diémen,  nous  frit  connaître, deux 
 *  Imprmit^urick«! us, ƒ?<%  
 b  Fen?^ïK)n'^é' pfuAhauûun  entrait épqèt 
 i  * Imprim#tp-tTessus^ pd jjfr itn e t suiv. Xi FJ  
 d  tin.prjnie<ciMessus,^ag, j r j .  et stui>, Jb; F.  
 '  Imprinj-é  dap  le  Bulletin  jlA  Sciences  
 m etficaks, avrilîî&qpV'  j 
 f  I exprimé cUJéSShs,, pag, 3 4 7  ÿf silfo. E. F. 
 .  *  I, pàfy’J ç t i  et suiv. X- F. 
 1  Ce  travail  d’une  haijteilmpprtiiitiK.’ft'  
 qui est presque 'entièrement achève., e t 
 “manusérmfe.nt-r'e-Ies'.niaiiîs'de !M, tisUEÜR,  
 se £rbpose de-t Ièf.eornptéfer jpottr ;le  p^s,  
 ,*blien  « 
 ’’’  Ueux^ miTO3ftgj^^riSâ,n1ï®ntWé'eprâifs 
 Â.pnhUsJIy. y iu s à tm  f l ’.k i f ie i i l   napurelh. L. F>  
 II faut ajouter  encore à tous  ces.WjmoirûÉ  
 te?- 
 “Qoljzip(frisi^màgiqms}  gùj  à jété-ïu à'I’Ina-  
 titut  :  j’en  ai p^ijâ^jt^Jra&inent ,wci|dessus